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Anonyme
17/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Nous est brossé par des petits détails attachants, l'intimité d'une "conversation", et peu à peu le tableau se crée, les deux personnages nous apparaissent, c'est très émouvant. Il y a quelque chose qui vous captive instinctivement dans le déroulement de cette scène de vie qui nous est contée ici, c'est la complicité de ces deux êtres.
J'aime la simplicité de l'évocation de ce moment, par contre je suis quelque peu embarrassée par instant par la coupure de certaines phrases, il faut comme un peu se familiariser avec cette forme. Mais rien d'insurmontable, pour ce texte qui m'a plu de lire. Ce commentaire est du 25/02/2016 (j'ai oublié des mots) |
StayinOliv
27/2/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je pense que votre texte manque de cohésion et de "pauses". Je suis arrivé à la fin de ma lecture presque essouflé. J'aurais davantage vu votre poème en prose, et nos en une épaisse strophe de la sorte. Cela l'aurais rendu plus aéré et plus fluide. Concernant le fond, je n'ai pas tout à fait compris le sujet. Il s'agit d'une conversation certes, mais ? Est-ce une description des sentiments qui découlent au fil de cette conversation. Il faudrait rajouter quelques mots pour clarifier la situation. |
Anonyme
27/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai le sentiment d'avoir lu une prose poétique dont on a changé la mise en forme pour faire "poésie " C'est dommage car vos phrases sont belles. |
Robot
17/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'ai apprécié la lecture de ce texte... mais seulement après avoir recomposé son découpage dont je ne comprends pas la finalité. Les phrases sont belles sans avoir besoin de les hacher au milieu d'une proposition. Le seul intérêt que j'ai vu à ce saucissonnage c'est de donner l'impression que le texte paraît plus long qu'il ne l'est en réalité. L'auteur nous donnera peut être en forum une autre raison ?
En attendant entre un "bien+" pour le texte et un "vraiment pas-" pour la construction je ne peux que me prononcer pour "un peu-" que je réviserai en fonction d'éventuelles précisions sur l'intention de l'auteur. |
Pimpette
17/3/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est exactement la forme poétique que j'aime;
Le sujet est abordé par touches successives que seul l'impact poétique relie! Pas de règles. pas d'explications. Pourtant le lecteur, moi en l'occurrence, entre dans cette conversation intime comme si il la vivait pour lui... Tres réussi... "Un instant plaisant, la fragilité évanouie soudain, une stabilité, une diversion de paroles, enserrent le cœur" |
Anonyme
17/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Chris,
J'apprécie beaucoup votre écriture globalement, où la part de l'intime est grande, toujours abordée avec pudeur et délicatesse. Dans cette conversation, il me semble que l'on a frôlé le pire. Les images entre l'ombre et la lumière sont nombreuses : La "langueur" est "placide"- "assise" qui donne un sentiment de calme tranquille aux côtés "d'achève" plus brutal. et c'est ainsi tout au long de ce beau texte. Je me suis aussi demandée pourquoi vous avez choisi cette forme, que l'on retrouve dans tous vos poèmes. Alors bien sûr, j'aime imaginer des réponses : Pour une continuité dans l'écrit, par timidité vis à vis de formes plus audacieuses. Pour inviter le lecteur à pénétrer un univers intime, où il doit se départir de son côté voyeur ... J'aimerai beaucoup savoir. Au plaisir de vous relire. |
Francis
17/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un clair-obscur de Rembrandt, une scène de cinéma en noir et blanc...un moment de tendresse, de quiétude. Avec une telle complicité entre les deux personnages, les silences parlent plus que les mots. La lecture nous emmène hors du temps. J'ai apprécié la sérénité de ce tableau.
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Anonyme
17/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Comme d'autres commentaires l'on fait remarquer j'aurais préféré lire ce texte écrit en prose.
Beaucoup de finesse dans ce tête à tête " Une femme assise achève chaque phrase d'un murmure " " Les mains posées sur le tissu jouent avec la source d'une ombre ". Le terme "stabilité " m'a un peu gêné dans le contexte poétique. |
Pouet
17/3/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bjr,
Ce qui me frappe ici c'est la surabondance d'adjectifs qualificatifs, chaque nom ou presque en est pourvu. Certes il faut user du qualificatif mais à ce point... Les silences sont brefs, la langueur placide, les confidences simples, le moment flou, la tendresse épurée, la complicité rêveuse, le regard furtif, la fragilité évanouie etc etc etc... Je ne sais pas... Il me semble qu'on peut essayer soit d'évoquer l'objet, le nom, en le qualifiant avec un autre nom, "confidences de satin", par exemple, je dis n'importe quoi, soit trouver des adjectifs un peu décalés, parce que "silence bref", "regard furtif" ou "moment flou", ça cause pas vraiment... Le masque du silence, ou un moment de bruine par exemple encore une fois j'en sais rien mais je trouve un peu de facilité à coller des qualificatifs un peu partout. Voilà mon impression, je ne sais si ce que je dis est clair ni si l'auteur pourra en tirer un quelconque bénéfice. Sinon je trouve l'idée assez bonne. La forme rend bien le sentiment d'intimité. L'exercice serait à mon sens réussi s'il n'y avait cette litanie de qualificatifs communs. |
Lulu
17/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Chris,
je n'avais pas lu votre poème en espace lecture, car j'avais perçu, comme les fois précédentes le même problème - c'en est un pour moi - : celui d'un texte compact, formé de vers qui ne sont pas en soi porteurs de sens. Mais je vous lis aujourd'hui, sachant que vous avez des choses à dire. Et je ne suis pas déçue. Vos propos sont beaux. Il manque juste la forme ; forme plus simple que je n'imagine même pas spécifiquement, vous laissant là parfaitement libre de faire, de produire comme bon vous semble. Mais, ici, je trouve dommage de voir des vers qui, pris isolément, ne signifient pas spécialement. Vous pouvez me rétorquer que c'est l'ensemble qui importe et vous auriez raison, mais je suis gênée tout de même par cette forme particulière qu'on retrouve dans vos textes. Et c'est dommage, car votre poésie est très fine, vraiment belle. D'autres ont suggéré la prose ; c'est vrai que cela pourrait fonctionner, mais les vers libres aussi. Il reste juste à poser les mots dans un bon rythme. Je mettrais "beaucoup" si je ne devais évaluer que le contenu, voire "passionnément", mais je privilégie la notation "bien" en tenant compte des éléments que je vous ai spécifiés en espérant qu'ils puissent vous être utiles. Bien à vous. |
Anonyme
17/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Conversons un moment, si vous le voulez bien...
Une conversation tout en subtilités : décors feutrés, brefs silences, murmures, langueur placide, moment flou, complicité rêveuse, ombres, fragilité évanouie, pâleur suave, regard furtif, sérénité retrouvée... Que d'images en si peu de mots ! Je salue la subtilité du propos autant que la performance... Bravo à vous ! Wall-E |
Teneris
17/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Pour commencer par ce qui ne m'a pas plu, je trouve la disposition un peu dérangeante - et après plusieurs lectures ne parviens pas à en voir la finalité. Peut-être pour suggérer, en rendant la lecture plus difficile, le poids de chaque mot lorsque les ans pèsent sur le corps ? Ou pour mettre en avant certains silences ? Dans ce cas, c'est en partie réussi, mais je ne suis pas certain que cela renforce vraiment le texte. Au contraire, j'ai eu l'impression d'une sorte de carcan m'empêchant de respirer où je le souhaite, ce qui a grandement gêné ma lecture et rendu l'immersion dans vos mots plus difficile. Il faut, me semble-t-il, pour pleinement apprécier un poème -ou toute œuvre littéraire-, se trouver physiquement dans un état suffisamment confortable pour se concentrer uniquement sur les mots. Or, c'est justement ce que ce découpage empêche (du moins en ce qui me concerne).
C'est dommage, car je trouve par ailleurs ce poème très réussi. Malgré la profusion d'adjectifs qui ne me semblent pas tous nécessaires (cela dit, certains apportent vraiment quelque chose), vous peignez admirablement la vérité d'un instant nimbé de cette complicité silencieuse dont seul le temps sait tous les rouages, entre distance et intimité, innocence et gravité, empli de mille souvenirs et de tout ce que demain semble promettre. |
hersen
19/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il m'a fallu plus qu'une lecture pour être admise dans ce salon et me fondre dans l'ambiance.
Mais une fois installée, je m'y suis sentie très bien, écoutant les choses sans importance que l'on y dit, seul compte le ton d'une grande douceur employé l'un envers l'autre. Alors, à contre coeur, je me suis retirée pour laisser ce couple à cette sérénité. Plus aurait été du voyeurisme. La compacité des vers confère au texte une idée de cocon. Au fil d'une pâleur suave, le regard furtif caresse une paix, une sérénité retrouvée... Merci pour cette lecture. |
chris
13/4/2016
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Commentaire modéré
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