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Vincent
10/5/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Le regard
dérobé dégage une lourdeur figée. Le gris blessant d'une atmosphère happe un danger.La perception d'un bruit ardent entache l'impression d'une attente. je ne suis pas emballé par votre texte sa structure apporte une difficulté à la lecture les phrases sont sans verbes je sais que l'on est dans poésie libre, mais bon ... et puis cela ne décolle pas, c'est un peu descritif désolé |
Lulu
27/4/2015
a aimé ce texte
Pas
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J'ai beaucoup de mal à me représenter votre représentation de la ville, si ce n'est qu'on perçoit bien son côté hostile. Mais pourquoi l'est-elle ? On ne le sait vraiment.
Il y a méfiance, de la peur, du silence (ce qui m'étonne), du gris, du danger, et enfin du bruit... Dans cet état d'esprit, on peut comprendre qu'il y ait envie de fuir. Je regrette cependant qu'il n'y ait pas de nuances. La ville apparaît totalement hostile, quand elle est en réalité ambivalente. Concernant l'écriture, je regrette aussi que ce texte ne soit pas suffisamment aéré par des strophes. Bien que bref, ce poème gagnerait en lumière, et en images, s'il était composé de strophes qui comporteraient chacune sa spécificité. Ce texte donne l'impression d'avoir été écrit rapidement, sans recul, sans autocorrection. |
Anonyme
29/4/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Ce texte me semble un peu chaotique, comme si un sentiment devrait être dit mais sans arriver à l’air libre de la parole.
Je ne sais pas de quoi il s’agît. Fuir la ville, oui, mais je ne comprends pas assez pourquoi, comment, ce qui n’est pas forcément gênant en poésie, mais les images ne me parlent pas assez non plus. Il y a un thème et des idées, des sensations, mais je pense qu’il faudrait aérer le tout, peut-être simplement en revoyant la mise en page. |
Robot
10/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le découpage à l'oralité sert bien ce texte qui prend de la force en lui donnant des respirations différentes de celles d'une prose. Ainsi les rejets à la ligne suivante souligne bien cette idée de fuite, et la renforce.
La métaphore de la ville pour souligner la peur de se laisser enfermer dans les habitudes et l'acceptation quotidienne, est une des lectures que je fais de ce texte libre excellemment ponctué. |
Anonyme
10/5/2015
a aimé ce texte
Bien
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" Dans la ville tourbillonnante,
une méfiance, un soupçon fébrile. Le choix de la fuite. La peur cerne la place du jour impuissant. Le silence, la faille du destin disloquent l'air aux alentours." ... Jusqu'ici, je trouve que les images font bien ressentir cette espèce d'angoisse et insécurité que vous attribuez à la ville. " La hâte sombre décline en facettes la marche précipitée aux quelques empreintes." Un double achèvement encercle l'aube inatteignable." A partir de là cette écriture quelque peu sophistiquée me gêne et casse un peu, à mon goût, l'ambiance créée. " Le gris blessant d'une atmosphère " ? |
papipoete
11/5/2015
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bonjour chris; comme je me sens bien dans ma campagne, où rien ne fait peur, si ce n'est le glas venant à sonner le départ d'un appelé au ciel?
Votre texte, aux vers " très " libres, semble une chronique écrite quand les loups entrèrent dans Paris, et que la peste montrait ses horreurs à chaque coin de venelle! Je ne trouve pas de teinte poétique à votre récit. |
Anonyme
11/5/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Une très belle fuite or de cette ville devenue insupportable, vers autre chose...
Trop de bruit, de frénésie, de "fureur"... ça tourbillonne et parfois le trop plein nous gagne au bénéfice du calme et de la nature, comme un retour aux sources, en quelque sorte. Les images sont sublimes. Un grand bravo ! |
Pussicat
14/5/2015
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La forme que vous avez donné à votre texte est pour beaucoup dans son attrait. Je l'ai déplié pour voir et la différence est flagrante.
Le retour à la ligne donne de la puissance à cette fuite, un côté inéluctable, obligé : le rejet comme forme et mot-clé. Un bémol : "le choix de la fuite" vient un peu tôt dans le texte. à bientôt de vous lire, |