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Marite
4/12/2012
a aimé ce texte
Pas ↑
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Est-ce la profusion de mots traduisant ce "Malaise" ? Je n'ai rien ressenti de particulier en lisant ce poème, plutôt un sentiment de banalité et de lassitude.
Je remarque cependant que cet excès concerne surtout les adjectifs : " faces lointaines - heures entachées - souffrances amères - réel déchiré - éraflure nette - larmes éjectées ..." ceci rien que pour la première strophe ! Et la suite est pratiquement semblable. Peut-être serait-il bon d'alléger et d'ancrer ces expressions dans le réel en les diluant dans des images. |
fugace
6/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Synthétique, ramassé, ce poème nous dit tout sur la destruction subie telle une punition brutale, injuste, incomprise.
"L'éraflure nette, un jour, comme cela, pour rien, un détail,..." "La fêlure en une folle désespérance..." "La blessure qui efface la paix d'un sommeil ravi..." C'est fort, dépouillé, avec une sincérité de vécu. J'ai compris, ressenti cette vérité dans laquelle ne nous reste plus que "L'envolée vers ailleurs pour oublier de stériles angoisses". Merci de ce beau partage. |
brabant
19/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Chris,
Comme ça fait mal et comme vous avez raison ! Mais après faut tourner la page hein : "L'envolée vers ailleurs pour oublier de stériles angoisses." En attendant bonjour l'insomnie et les pensées parasites : "La blessure qui efface la paix d'un sommeil ravi." - "ravi", j'ai bien compris, mais pas très heureux, parce que pas ravi du tout, le sommeil ravi. Ravi au lit ! [lol. Ben oui, j'ai osé. C'est de votre faute aussi. Z'êtes trop triste. Veux dérider l'héroïne moi. La dévictimiser un peu :)] Ben dites-donc, c't'un vrai "Malaise" là, qui ne renie pas sa majuscule. D'ailleurs ça commence pareil : Malaise Majuscule ! "blasphème... damnation... désespérance... offense... blessure... affliction... angoisses" sous l'égide de la terreur. C'est un vocabulaire religieux ça ! Faudrait p'tête aller voir du côté de Morgane. L'est plus coulante ! Ben oui quoi ! lol :) |
Pimpette
19/12/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Excellent!
J'aime par dessus tout ces textes traités par juxtapositions simples autour d'un thème...il me semble que, libérée des astreintes habituelles, la poésie s'envole toute seule, légère, limpide,irrémédiable... "la frontière du réel déchiré. L'éraflure nette, un jour, comme cela, pour rien, un détail, une damnation," Bravo! |
Artexflow
20/12/2012
a aimé ce texte
Bien
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Un poème qui fait très mal, avec une fin un peu désespérée... Tout ce que j'aime !
Je regrette vraiment vraiment, comme sur beaucoup de poèmes, l'absence de rimes qui me donne toujours comme une sensation de facilité... Le poème a eu du mal à me toucher profondément, malgré un thème qui je le répète ne me rebute pas, loin de là :) Alors du coup la question c'est pourquoi ! Un peu trop court pour moi, un peu trop obtus, pas assez universel... Comme souvent je fais le mec un peu vache mais malgré que je n'ai pas été emballé, votre texte dénote une certaine capacité à interpréter vos propres ressentis (qui s'hybride de faces lointaines. Les heures entachées de blasphèmes), et c'est ça la grande qualité du poète :) Pas pour cette fois, donc, mais je gage que le prochain, ou celui d'après me plaira, parce qu'il suffit de peu ! Bon, en même temps je dis ça, en même temps c'est vraiment très très loin de m'avoir déplu :) :) :) Bravo ! Et désolé pour ce commentaire qui ne veut rien dire ahahahaha |
tchouang
9/3/2013
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Commentaire modéré
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Anonyme
9/3/2013
a aimé ce texte
Bien
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c'est pas mal
un peu planplan et on connait tous ça, plus ou moins, planplaner :-) j'aime bien "qui s'hybride de faces lointaines", cela a quelque chose de sentimental, de gentil, sans pouvoir expliquer pourquoi j'aime aussi "L'éraflure nette, un jour, comme cela", on déconne toujours sans bien comprendre pourquoi une biolésie nous a fait chier, comme ça, comme cela, d'un coup j'aimerais vous noter plus fort parce que ce n'est pas désagréable à lire mais ce n'est pas brillant non plus, excusez-moi "Bien" correspond assez bien :-) N.B : perso, j'aime bien le style Sardou et Lama. J'ai un faible pour ceux qui ont prouvé quelque chose, les "faiseurs" |