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Lunastrelle
22/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien, ça accroche, ça harponne si je puis dire... On se sent emporté par le rythme, les images, il y a un mélange plaisant entre ces deux caractéristiques, qui sont très importants pour une poésie en prose...
A certains moment, je me sens un peu perdue, mais je réussis à retrouver (mon) pied, et ça repart... |
Anonyme
24/12/2010
a aimé ce texte
Bien
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Très nouvelle vague. Pas désagréable, loin de là. L'écriture cependant à vouloir trop faire d'effet casse les effets.
"Ils encensent nauséabonds" "se fracassent coquilles de verre, aux intruses peurs de jais." Je suis toujours un peu gênée quand les mots prennent des détours pour dire les choses. Des peurs de jais, c'est quoi ? Une référence à la pierre, à la couleur ? Ceci dit cette poésie reste agréable à la lecture. |
Leo
26/12/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je suis très gêné par la ponctuation très atypique, ce qui n'est pas un problème en soi, mais qui hésite et louvoie tellement entre la norme et autre chose qu'on en vient à lui chercher un sens sans parvenir à savoir si elle en a un.
Cette quête inutile pollue la lecture, détruit le rythme du texte et empêche de voir au-delà des mots la poésie pourtant présente. Je conseillerai à l'auteur de se relire à haute voix, et de contrôler les points de respiration qu'il souhaite introduire, les rupture de sens qui désire faire ressortir, et d'adapter la ponctuation à cette découpe de son récit. Sans cela, c'est un bel essai, mais trop incomplet, inachevé et, à dire le fond de ma pensée, très mal fagoté. Il est vraiment dommage qu'un aussi bel effort dans l'écriture se brise sans recours sur un mur de non-sens qui pourrait, avec un minimum de sens, être facilement évité. Vraiment désolé, mais pour moi, ce genre de faute est totalement rédhibitoire, en ce sens qu'il est la négation même de la langue et de la poésie des mots sous un prétexte de modernité d'écriture, aussi fallacieux qu'incorrect. |
Marite
29/12/2010
a aimé ce texte
Pas
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"Etude de lumière" ... je n'ai pas trouvé de lumière dans cette poésie en prose. Lorsqu'une image semble apparaître elle est tout de suite brisée par un mot sur lequel on s'interroge. Et cela trop souvent pour saisir l'ensemble et les idées. Ce texte me donne l'impression d'un tableau qui aurait été brisé en mille morceaux et recomposé en plaçant les morceaux au hasard sans aucune recherche de sens. Bon ceci est très subjectif bien sûr, c'est peut-être aussi que quelque chose m'échappe et que j'aurais besoin d'explications... Mais la lecture m'a fatiguée.
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Raoul
30/12/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je me demande si ce texte truffé -c'est de saison- de gongorismes n'a pas été écrit par plusieurs personnes et/ou en cadavre exquis.
Pléthore d'adjectifs et d'épithètes obscurcissent tellement le texte… C'est tout de même ennuyeux puisqu'il parle de lumière, nous précise-t-on. Je n'y vois goutte. Pour ma part, cette prose sans narration n'a ni sens, ni cohérence que ce soit d'une "phrase" l'autre, d'un paragraphe l'autre, d'une image l'autre. Pas de rythme, pas de musique, juste une préciosité ridicule comme dirait J.B. Poquelin. Suffit-il de juxtaposer des mots pour composer une phrase, quand je lis : "Je bois ta peau douce de celle d'un bébé et me couve au soleil du môme qui te ronge…" ? La réponse est non. Bling-bling, tout au plus. |
tibullicarmina
30/12/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Beaucoup de mots, de verbes et de sons. Peu de pensées claires dites avec art et beauté. J'ai peur que l'indigence réelle de ce poème ne cherche à se cacher derrière un flot de belles paroles, de néologismes, d'images lassantes à force d'outrances. La ponctuation plus ou moins absente n'aide pas à la compréhension, au contraire.
Cette phrase : "Deux cloportes riches en calcaire de nucléus mendigotent le purificatoire" m'a entraîné dans un vaste fou-rire, tant elle est burlesque. Etait-ce le but ? C'est réussi. Je crois que votre talent serait plus à l'aise dans la satire que dans la poésie. Il y a quelque chose de Léon Bloy dans la phrase citée. Mais la poésie... Et dire que ce poème obscur invoque la lumière ! Pardonnez moi ma véhémence. Mais je déteste qu'un auteur gâche son talent à aligner des mots brillants et clinquants comme les cailloux d'une ornière, pour le seul plaisir, dirait-on, d' observer leur couleur au soleil. Vous avez certainement du talent et du vocabulaire ; mais ce talent n'est pas formé, je le crois. Au plaisir de vous relire, mais dans un poème achevé et plus lumineux que celui-ci ! |
Anonyme
3/1/2011
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Thème intéressant (le titre), j'ai essayé de faire des relations mais j'avoue en vain :
Les sépales, d'une fleur attaquée par des pucerons avides ? Le sexe d'une femme ? Bref, c'est vrai que l'on perd son azimut florale dans cette botanique étrange... |
David
22/1/2011
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Christiana,
Je pense à une benne à ordure, sans rire, le "corps de fonte", la "benne suspendue d'Ali Baba", même "Serre les dents !" Comme un poème écrit d'un coup d'œil sur le fatras d'un tas d'ordure au creux du véhicule, ses couleurs et toutes les images qu'il pourrait amener. Un petit vertige à lire, une prose un peu mystique, sans être trop sombre à mon goût, bravo. |
brabant
20/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Surprenant, hardi, j'ai eu un instant l'impression que vous décriviez un tableau ("Etude de lumière") de... du Caravage avec ses clair-obscur et la lumière redécouverte par ses soins. poème aussi révolutionnaire que pouvaient l'être les tableaux de ce monsieur à son époque.
Quelques mots que je n'ai pas aimés ou qui m'ont semblé inappropriés ou inadéquats :"benne/acariens/le purificatoire". |
Anonyme
11/7/2016
a aimé ce texte
Pas
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En incipit "étude de la lumière", c'est curieux mais je n'ai rien vu de tel, plus obscur que ça, ce n'est pas possible.
Je dirai des mots, toujours des mots, rien que des mots, pour ne rien dire de cohérent, comme entre autre " Puis, ferment les portes et s'empoignent en marge des genêts à leur constitution païenne. " Il faudrait recopier pratiquement tout le texte, tout étant du même acabit. Après plusieurs lectures, je n'ai pas vu poindre la moindre petite lumière qui m'aurait permis de sortir de ce tunnel de mots crépusculaires impénétrables. |