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Lebarde
7/5/2020
a aimé ce texte
Pas ↑
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Une totale économie de mots pour écrire ce court poème pour lequel je ne retiendrai que deux sons: âge et er, la brièveté provocatrice et la sentence en forme de maxime succincte des deux derniers vers.
Est-ce suffisant pour passer les barrages et enthousiasmer les lecteurs? À titre personnel j’en doute un peu. Désolé. En EL Lebarde |
Pouet
7/5/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Slt,
juste avec "plage", "cage", "quitter" et "pleurer", je trouve que l'ensemble évoque pas mal, il y a sans doute une histoire d'amour qui finit mal en général, de paysage intérieur, de geôle formatée et d'espoir à barreaux... Pouet |
Vincent
28/5/2020
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J'ai lu cette page
et j'en suis navré elle m'a mis en rage mais dois-je en pleurer viennent les nuages je dois m'en aller je quitte la plage et j'en suis navré |
Anonyme
26/5/2020
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour Chvlu,
Je ne vais pas passer par quatre chemins, cette poésie, sur 2 rimes majoritairement en age,ne présente aucun intérêt. Une seule lecture m'a suffi., et je n'ai pas cherché à comprendre le message. Je respecte l'écrit mais je suis bien loin d'y adhérer |
Donaldo75
26/5/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour ChVlu,
Le titre est excellent. Le poème joue gravement sur les mots et les sonorités. J'ai envie de dire "pourquoi pas ?". Il y a de l’originalité dans ce poème et la symbolique qu’il utilise est efficace, un peu comme dans une chanson rock. 😛😜😝 |
Anonyme
26/5/2020
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J'aime ce poème qui ne se livre pas en première lecture.
J'ai cru tout d'abord à une apparente improvisation un peu facile, un cousinage avec le jeu de mots et le plaisir de la répétition des phonèmes mais c'eût été juger avec trop peu d'aménité ce texte - certes un peu sec d'apparence - mais néanmoins charpenté par un vrai projet d'écriture. Bravo. |
papipoete
26/5/2020
a aimé ce texte
Bien
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bonjour chVlu
à première lecture, ce texte parait saugrenu, du n'importe quoi pourrait-on dire ! puis, à relire il parait tel une chaîne dont les maillons sont attachés en boucle, que l'on ne peut désolidariser ! en fait, chaque strophe emprisonne les larmes qui quoi qu'il puisse arriver, ne feront que couler... NB il n'est qu'au dernier quatrain, où le 2e vers " à plage de cage " me semble trébucher ! une exercice de funambule qu'il faut regarder, revoir comme au ralenti pour en apprécier la substance ! |
Ascar
26/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Pas évident de faire un texte qui tourne entre 4 mots comme entre 4 murs ; "Cage Plage Quitter Pleurer" et de lui donner un sens.
J'ai l'impression qu'il parle d'une rupture amoureuse. J'apprécie les deux derniers vers : "quitter fait pleurer pleurer fait quitter" et dans une moindre mesure la 1ère strophe. Le reste me perd un peu car il semble servir davantage la rime au détriment du sens. |
Vincente
26/5/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Quelques mots qui reviennent en eux-mêmes, ricochent et s'enlacent, s'attachent… en une obsession qui s'affiche ainsi prégnante, dans une sorte d'étranglement spatial. Force du verbe qui en si peu d'arguments affirme le lieu encagé d'une écriture.
En lisant ce poème d'un trait, l'on voit nous pénétrer ces invectives à nous-mêmes, auteur, quand l'on tourne en rond dans les égarements de notre expressivité. Trouble du poète qui bute aux fils "rouillés", à la fois demeure et espace à tous vents de son écriture lasse, enlacée, liesse à bas, laisse sans attache autre que celle d'une espérance vaine. Le répétitif tente par de nombreuses variations, retournements syntaxiques, basculements sensoriels, bouleversements narratifs de signifier l'enfermement du narrateur bridé dans les murs de sa prison et sous son ciel, (ses limites et sa pensée, où nicherait quelques espoirs désespérés). Son point de vue dans le moment où se "cage la joie", est terrible d'insu-portabilité, à son insu, les "mots à quitter" s'imaginent issue, enfin je crois, je voudrais le croire… c'est peut-être de cette voix sans issue sur la fin que je regretterais un nihilisme par trop exclusif dans cette originale expression. |
Provencao
26/5/2020
a aimé ce texte
Pas
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Les mots de l'extérieur à l'intérieur, les mots du geôlier se réimposent .
Après " quitter sa cage, pleurer sa cage' le poème fait retour dans le monde des adieux : « Des mots à quitter». Vos mots sont perçus à mes yeux comme des mots à durée limitée. Quelques rimes "age, er" et puis s’en vont. Ainsi l’extraordinaire illumination qui avait suivi" le cage ta joie" s'en trouve censurée par vous-même.... Désolée, je ne suis pas arrivée à percer ces mots. Une autre fois Au plaisir de vous lire Cordialement |
Davide
26/5/2020
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour chVlu,
Le jeu de mots dans le titre est particulièrement bien illustré dans le poème. A la lecture, j'ai eu d'abord la sensation d'un enfermement mental, à l'image d'une personne qui tourne en rond dans sa tête, puis celle, plus visuelle, d'un casse-tête de mots qu'il s'agirait de remettre dans le bon ordre (mais y a-t-il un ordre ?). D'une rupture ou d'une perte ("pleurer ta plage", "où pleurer notre plage") émergent quatre mots simples ("cage", "quitter", "plage" et "pleurer"), rimant deux par deux et commençant par la même sonorité consonantique deux par deux. Quatre mots, quatre leitmotive d'une douleur lancinante, deux lieux (cage-plage) qui s'opposent, deux actions (quitter-pleurer) qui se répondent l'une l'autre, et un poème qui n'en finit plus de tourner en rond (dans sa cage). Une lecture qui m'a plu. Merci du partage ! |
Anonyme
26/5/2020
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Pourquoi pas? Pour ceux qui aiment,ma foi, il en faut pour tous les goûts je vous dirais, avec empathie et respect pour votre travail. Un poète n'est il pas un créateur d'ambiance?
Dans un second temps je vous donnerai mon avis subjectif plus tranché et franc: un poème qui jouent sur 4 mots principaux :plage cage pleurer quitter...s'enferme lui tout seul dans un petit monde exigu où il m'est difficile de ne pas me sentir claustrophobe dans cette interactivité. Il se réduit à lui même. Je préfère les espaces plus...incommensurables ou infinis en poésie, mais cela n'engage que votre humble commentateur. Vous avez tenté là un exercice au combien difficile... |
Myndie
26/5/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour chVlu,
Déjà, je suis à 100% d'accord avec l'incipit. Ton poème étonne, "enrage" même, si je voulais y ajouter ma petite rime^^. J'y vois moi un réseau de sonorités répétitives, obstinées, qui marquent l'acharnement - voire la complaisance (la douleur n'est elle pas délectable?) - avec lequel l'auteur ressasse son malheur et sa peine. J'y vois une tension recherchée et libératrice en même temps. La répétition des mots et le développement très bref des vers suffisent à donner des accents lyriques au texte. Ainsi celui-ci se passe t-il parfaitement du "je" et d'un verbe conjugué. D'une certaine manière, il ressemble à un calligramme. Il se dessine, dessine son histoire et tourne en rond comme le serpent qui se mord la queue. Sans issue, nihiliste. J'aime myndie |
Myo
26/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour chVlu,
Il y a de l'originalité dans le titre et la forme de cet écrit. Il y aurait eu matière à creuser davantage, certains vers étant moins percutants que d'autres. Je ne vois pas trop l'intérêt de la plage dans cette histoire. Personnellement, j'aurais choisi l'orage... Les mots en cage Des mots pour pleurer Les mots de l'orage Des mots à quitter Quitter sa cage pleurer sous l'orage Pleurer la cage quitter l'orage Quitter des mots cage et l'orage pour pleurer une cage rouillée à quitter où pleurer comme l'orage de cage à l'orage à l'orage d'une cage quitter fait pleurer pleurer fait quitter Mais c'est une autre histoire ... |
Anonyme
27/5/2020
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour ChVlu,
Je suis assez partagée sur ce poème. Pas vraiment conquise. Le travail sur les sons et les sens est évident. Seulement le peu de mots, la palette de vocabulaire du texte (même court) me laissent vraiment sur ma faim. En fait, devant ces mots trop peu nombreux qui tournent en rond, je n'ai pas eu envie de chercher plus sur les sens qui pourraient être cachés. J'ai cependant adoré le tire. Bonne continuation, Éclaircie |
Castelmore
27/5/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour cheVlu,
Comme une boule de flipper le lecteur est constamment renvoyé sur les mêmes bumpers... mais dans un circuit différent ! Impossible de s’échapper ! Évidemment puisque l’auteur nous parle d’amour ...! Et à la fin TILT ... on pleure ... Exercice intéressant et lecture plaisante. |
Miguel
27/5/2020
a aimé ce texte
Pas
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Je n'aime que le titre qui est une vraie trouvaille et qui aurait mérité, à mon sens, un meilleur texte. Cette espèce de jeu de bonneteau avec des mots a quelque chose de répétitif et de lassant, heureusement que le poème est court. Il y a sans doute une recherche, une esthétique, mais je ne suis pas outillé pour y entrer.
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Robot
27/5/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai trouvé un certain intérêt à ce jeu de Ping-Pong ou la cage est renvoyé de plage en plage.
Plus circonspect avec quitter et pleurer. Je pense que le jeu de renvoi aurait mieux fonctionner avec une autre rime en "ter". Mais l'exercice globalement ne m' pas déplu. |
chVlu
6/6/2020
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un petit mot pour mes lecteurs
http://www.oniris.be/forum/joie-sans-foi-en-cage-t28196s0.html#forumpost388973 |