|
|
Anonyme
1/10/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Les méfaits de la tourista en direct et en détails, comme si on y était !
Par bonheur, l'écran ne restitue pas les senteurs ! Un récit amusant qui "sent" le vécu ! ps : Il y a quelques fautes à corriger. |
Vincent
5/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
L’onde de choc fut telle, qu’elle se propageât
Du colon vers le grêle, puis jusqu’à l’estomac, Lequel rentra en résonance ; J’expulsais le repas, pris la veille dans l’Airbus, Au visage du toubib qui frisa l’infarctus, Furieux de mes incontinences. ou Une lave en fusion s’échappant de l’Etna n’eut pas brûlé autant mon caleçon Athena, Je dus jeter toutes mes guenilles Et me débarrasser, même de mes godillots Car je ne portais pas de pinces à vélo Ni d’élastiques à mes chevilles….. bonjour à franchement parler je ne suis pas vraiment attiré par la sensibilité qui se dégage de votre texte il est à prendre avec des pincettes mais passé ce cap cela peut faire une chanson de corps de garde rigolote comme tout et puis c'est très bien écrit j'ai donc beaucoup aimé |
lala
7/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
Je serais bien embarrassée si je devais classer votre texte ! Comme vous l'écrivez, c'est une histoire, et elle est très drôle. Vous faites preuve d'un bel humour de situation sur fond scatologique, avec un vocabulaire emprunté aux catastrophes naturelles, qui laisse donc une large place à l'imagination. En vous lisant, on rit bêtement mais spontanément comme lorsqu'on assiste à une chute grotesque, parce qu'on comprend toute votre gêne et qu'on est ravi de n'être que spectateur ou plutôt lecteur. Rassurez-vous, il n'est pas nécessaire de voyager à l'autre bout du monde pour connaître ce genre de mésaventure ! |
Anonyme
20/10/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Je dois dire que cette épopée gastro-intestinale presque scatologique ne m'a pas amusé plus que ça.
Je retiendrai toutefois le parallèle d'avec les colères météorologiques. |
Anonyme
20/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Drôle d'histoire en effet, heureusement un brin inventée...
Quelques bijoux : "De magnitude 9 sur l’échelle des sphincters" "Une lave en fusion s’échappant de l’Etna N’eût pas brûlé autant mon caleçon Athena" "De ne plus jamais boire autre chose que du rhum, D’emporter avec moi vingt boîtes d’Imodium" Wall-E |
funambule
22/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Excellent travail sur la structure de "l'orage", il fallait s'y risquer et le texte ci-présent se chante aussi bien que l'original. Sonorités et rythmique sont vraiment au point. On dira que la comparaison s'arrête là, petit bémol simplement pour les quelques emprunts à l'original (imbécile par exemple) même s'ils tombent parfaitement dans le sens et le déroulé. Le fond (rire) ? Je ne suis pas de ceux qu'il rebute m'y étant aussi (d'ailleurs) essayé. J'aime l'idée que l'interdit soit contourné, lorsque c'est fait avec talent il n'y a rien à redire... et c'est le cas présentement. Un très beau travail que j'ai chantonné comme il se doit, sans bouder mon plaisir.
|
Anonyme
22/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Quand c'est drôle et bien écrit on ne peut qu'aimer. Le rythme est très bien construit et le vocabulaire bien choisi.
Tout est fluide et ça se lit sans accroc. C'est un texte qu'on a envie d'entendre. J'imagine déjà la voix et les intonations. |
Fabien
22/10/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
Ah! Encore un texte stercoraire dont j'ai du mal à goûter le sel attique. C'est possible d'écrire sur le sujet, l'humour a une licence mais là, c'est juste médiocre et lourd.
|
Anonyme
24/10/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Superbe texte qui colle à l'esprit de Brassens. Un vocabulaire emprunté aux catastrophes naturelles, bien en adéquation avec vos turbulences gastriques....
Sublime! Enregistrez le! |