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Anonyme
25/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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La fin est sublime, m'envoilà tout étourdi.
Pour le reste, je n'ai pas tout compris, mais il m'a semblé ressentir le courant de ce texte, cette femme qui fait plus qu'il n'en faut car elle est… Ben non en fait on sait pas ce qu'elle est mais on se dit bien que ça doit pas être chouette, très beau texte cielsmonloup ! |
Marchombre
25/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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La fin est sans doute de plus beau. Bravo ! Cette fille qui se "déguise" pour oublier... quoi, d'ailleurs ?
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leon
26/9/2008
a aimé ce texte
Pas
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"pour oublier... quoi, d'ailleurs ?"
C'est un peu là le problème de ce texte : on ne voit pas trop de quoi ça parle : sensualité et culpabilité ? Et puis ces trois "ô" à la fin, c'est un peu grandiloquent, non !? Surtout le "ô cruelles !", dont je ne comprends pas le sens... |
Anonyme
27/9/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Les poèmes d'introspection sont risqués, ou je me trompe ? Il s'agit de poser sur le papier ce qui tourne comme vague à l'âme dans notre ou une pauvre tête en phase de mal être...
Et en fait on y trouve pas de sens ou la porte de sortie du dilemme. |
Anonyme
3/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il n'est pas très aisé de compréhension ce texte, on sent qu'il y est glissé un message, une intention, mais qui tout d'un coup vers la fin comme un "pétard mouillé", ne fait pas l'effet voulu, à cause de ces trois phrases :
" Ô présence ! Ô absence ! Ô cruelles !" Après plusieurs lectures, je pense comprendre qu'elle souffre de vivre une vie qui n'est pas vraiment la sienne, elle est en représentation, ce qui finit par la miner de l'intérieur, "Calvaire trop vivant". Elle n'est que l'apparence d'elle-même, et non elle-même. Dans l'ensemble c'est bon texte, qui se lit bien, et porte sur l'apparence que l'on se donne, sur le jeu de rôle qui finit par devenir bien pesant, et qui sait, peut même vous dértruire. |