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Anonyme
30/12/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème très étrange pour moi, que je n'ai pas bien saisi mais qui m'a laissé une impression plutôt forte de regret et en même temps de fierté, d'isolement voulu. Le chapeau éclaire peut-être : le narrateur est "vil dans la ville", il parle de son incapacité à "posséder" la ville et se faire posséder par elle.
Si c'est ça, je trouve l'approche vraiment intéressante, exprimant avec habileté l'aliénation et une relation d'amour et de répugnance mêlés avec les "êtres qui grouillent dedans". Beaucoup d'ambivalence. |
senglar
14/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Claus,
"Vil"... "Ou Ville" : pas trop compris... : 'Un Vilain à la Ville' ? "Le bourrelet" : J'imagine bien les limites sur un plan (murailles) mais "Les bras et les seins" je ne vois pas. "La main dans les cuisses" non plus... "Pardon peut-être De ne pas m'être Servi de toi." Une chose est certaine, ce monsieur n'est pas Rastignac. Une autre chose est certaine aussi, il considère la ville comme un ventre. Reste à savoir de qui... Celui de Lisa ou celui de Louise ? brabant |
Anonyme
17/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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On peut imaginer pas mal de choses ici, et pourquoi pas un mec qui vient d'être papa sans doute pour la première fois et qui se sent un peu démuni, un peu maladroit, un peu désorienté, et qui doit de toute manière faire face à la vie... qu'il à l'air de se prendre en pleine gueule.
J'ai en tout cas pensé à ça en lisant ce texte. |
David
17/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Claus,
Ça me plait bien, l'atmosphère est prenante, il y a les deux trios du milieu qui font sagesse zen, et les pardons successifs aussi ont un petit air de propos de monastère, mais dit comme ça il manque encore les côtés charnus, grouillant, d'une ville/femme et ville/ruche, ou même ville/cadavre avec ce "Trop d’êtres te grouillent dedans". Le rythme prend des airs de métronome pour parler d'une certaine frénésie, ça fait un chouette contraste aussi. |
Anonyme
4/10/2016
a aimé ce texte
Pas
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Après plusieurs lectures, j'ai toujours autant de mal avec ce texte, qui cultive l'ambiguïté, je n'arrive pas du tout à en cerner le sens véritable.
Ce "Pardon peut-être", accentue ce fait, car en général il s'adresse à une personne, et là, à qui est-il destiné, je ne m'y retrouve pas vraiment, vous avez pour moi, une manières d'utiliser votre phrasé d'une manière déroutante. Je perds le fil d'un semblant de compréhension, des informations diverses, n'ayant pas tout à fait de relation les unes avec les autres, finissent par m'éloigner de votre écrit. Exemple : " J’ai bien senti derrière et autour Le bourrelet, Les bras et les seins, Gros pour la première fois" J'ai pensé à une "femme" Et là : " De ce qui te grouille dessus, Des bruits Et de tous les recoins, De tout ce qui te fait grande. " J'ai pensé à une "Ville" Franchement c'est bien trop complexe, le ressenti en souffre, il est bridé par ce manque de possibilité de ne pouvoir interpréter un peu ce qu'à voulu dire l'auteur. |