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clementine
27/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Même si trop de ventres, j'ai aimé le propos qui me parle très fort.
Les femmes seraient-elles les seules à avoir un ventre?...( bah, ça va Messieurs, j'ai rien dit...je sais pas , moi.) Original et très insolite. Je trouve que les vers courts (très) donnent de la puissance au message. C'est juste que j'aurai repris moins souvent le mot ventre mais je comprends que tu voulais l'asséner. |
Anonyme
27/3/2008
a aimé ce texte
Bien
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Non clémentine, nous aussi on a un ventre... Bon ce n'est qu'un cimetière à ailes de poulets tandoori, bud et cacahouètes mais bon...
Le mot ventre revient un peu beaucoup, c'est vrai. La succession "ventre dictateur/ventre despote" me semble maladroite car les deux mots sont très proches en sens. Sinon c'est un poème fort, presque rageux, mais qui peut aussi parler aux hommes, hé oui hé oui... |
Scrib
29/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce n'est pas une question de ventre, mais de boulimie ...avec tout ce que cela comporte dans l'aspect des gens...
C'est presqu'un appel au secours ! J'en ai des frissons...(mais effectivement, il y a un peu trop de "ventres" dan le texte...) |
mimich
23/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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C'est l'obsession du ventre en somme.Nous sommes tous plus ou moins des ventres puisque beaucoup de fonctions se trouvent en dessous de la ceinture! C'est le réceptacle de notre stress quotidien. Mais qui commande le ventre ?
Un thème intéressant La forme? C'est du quasi premier jet. Une catharsis, l'écriture est un exutoire |
Olalla
22/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je viens de lire "Résistance" et la curiosité m'a entrainée là . pour le coup, j'aime moins... trop long, trop de choses dites, pas assez de place pour moi ! et mon imaginaire !
J'aime toutefois le fond, qui résonne et déraisonne ! Je te découvre O. |
Anonyme
8/5/2016
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte est un cri déchirant, mais quel dommage d'avoir mis trop en avant ce mot "Ventre", il prend bien trop de place, et ne laisse pas les autres mots approfondir le sens plus profond de cet écrit, eux aussi ont des choses à nous exprimer, même peut-être plus pertinentes que ce mot en lui-même. Je crois que le texte y aurait grandement gagné. Il aurait peut-être ainsi plus consistant, moins éparpillé. Il ne faut pas en faire de trop sinon cela perd un peu de sa crédibilité, cela fait surenchère.
Même si la douleur est intense, compréhensible, nul besoin de s'épandre ainsi. |