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jaimme
30/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une atmosphère à la Lovecraft. J'aime. De remugles en horreurs fondatrices de notre enfer chrétien, le contexte est particulièrement bien rendu.
J'ai juste accroché sur le "frigorifié" d'effroi que j'ai trouvé un peu simple dans cet ensemble. Quant à deviner... puisque ce ne peut être un nom précis de dieu égyptien, je m'hasarde à proposer: un psychopompe. |
FIACRE
30/8/2009
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Très " peplum " comme on peut aimer si d'aventure l'épopée nous séduit encore, j'avoue préférer le tulle plutôt que le fracas des avatars.
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Bidis
7/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aurais beau relire pendant 107 ans, je ne comprendrais pas mieux de qui, de quoi il s'agit. Et que chercher dans Google ? Bon, d'accord, je suis une ignare...
C'est très beau et une image se forme d'un personnage terrifiant et splendide à la fois. Mais je suis, pour ma part, trop sensible au rythme pour ne pas relever que dans ces vers, qui sont pour la plupart des alexandrins ou bien de treize pieds, ce qui pour l'oreille revient un peu au même, quelques vers ressortent de quatorze, quinze, seize pieds et, pour moi, cela rompt l'harmonie... et le charme. Et, dans cette incompréhension que j'ai envers l'ensemble, je me demande particulièrement de quoi il s'agit pour : "le regard craintif de l’astre vénéneux" |
Anonyme
30/8/2009
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Bonjour colibam
Et avant toute chose, j'avoue mon inculture. Je l'ai lu plusieurs fois, sans chercher à savoir de qui il s'agissait, parce que je ne trouverai pas. J'attendrai les explications ou les lumières de plus cultivé, c'est pas ce qui manque ici. Première chose "Nous attendions prostrés..." j'ai lu et relu dans l'espoir de savoir qui était ce "Nous". j'ai pas trouvé. Je ne comprends pas ce vers : "Ses oreilles félines bordées de mousse humide Frémirent de plaisir, contaminant la peau" C'est le plaisir contaminant qui me gène, j'attends vraiment que d'autres lisent et m'éclairent. "Sous le regard craintif de l'astre vénéneux" regard craintif... d'un astre ? Vénéneux qui plus est... duquel s'agit-il ? Hormis cela, si je me contente de lire sans chercher à comprendre, sans chercher qui ici est représenté - ce qui ôte pas mal au plaisir de lire - je garde de belles images, de belles couleurs, une horreur bien distillée... A lire et relire ainsi c'est beau. Une belle peinture. Mais pour la note, je sais pas du tout. Je reviendrai. Au plaisir, colibam |
Anonyme
30/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cela fait quatre fois que je reviens à ce poème sans oser mettre un commentaire. Peur d'avoir l'air stupide.
On dirait pas un poème, on dirait du Michael Moorcock et le personnage mystère me fait penser à Sauron, le grand méchant du seigneur des anneaux. Je sais que ce n'est pas ça, mais l'ambiance est telle que je ne peux pas m'empêcher de le penser. Particulièrement réussi, je trouve. |
Anonyme
30/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Eh bien nous serons plusieurs à avoir l'air stupide, alors :-)
Colibam, tu auras déjà le mérite de m'avoir fait creuser les méninges et d'avoir fait chauffer google, histoire que je m'y retrouve un peu dans tous ces éléments que tu nous livres. Des références à une très lointaine antiquité bien sûr, à des rituels d'un autre âge, une espèce de plongée dans un passé très reculé, une réincarnation... d'une créature/un dieu aux oreilles de chat, à la peau d'écailles rouges et à la tête de crapaud ? Mais qu'est-ce donc ? Et une fosse avec... quoi ? Des animaux/des humains sacrifiés en train de pourrir ? Non, puisqu'après, on nous parle d'accouplement, et de machins qui s'envolent et qui sentent le poisson (lol, je caricature là), et qui apparemment poussent des cris à vous glacer les sangs. Et puis ce "signe antique" et cet astre vénéneux (la lune ? Mais elle est pas vénéneuse la lune !) Et cette "cité impie" ? J'ai pensé à Baal à un certain moment... mais non. Mon dieu, que de questions ! J'espère que tu satisferas ma curiosité, sinon je t'envoie dans la fosse avec les autres créatures :-) Bref, pour le fond, ma langue au chat (mais pas à ton monstres aux oreilles félines, là, pas question !) Pour la forme. L'ambiance : fabuleux ! J'adore les images, j'adore l'atmosphère, j'adore le glauque et la mise en scène... je m'y croirais (brrrr). Par contre, effectivement, quelques accroches rythmiques et sonores que je trouve vraiment dommages. D'abord c'est vrai, tu es trop proche d'alexandrins réguliers pour que tout ce qui "dépasse" n'ait pas l'air d'une faute de goût. Je préfère des vers carrément destructurés, à des alexandrins imparfaits. Parce qu'automatiquement, l'oreille attend le rythme parfait, et inévitablement, elle est écorchée quand le rythme est rompu. Ensuite, des sonorités comme "sur son passage fangeux", je n'aime pas trop. On pourrait penser que tu as voulu faire une allitération, je ne sais pas, mais si c'est le cas, elle n'est pas réussie. "capable de supporter" aussi, ou bien "remugle marin" --> il est impossible d'élider le "e", sinon c'est imprononçable. Conclusion : bel essai camarade, j'espère que tu recommenceras vite ! Un peu plus de travail sur la forme, et je pense que tu aurais pu arriver à un résultat encore bien meilleur. Par contre, pour camper une atmosphère, chapeau. C'est presque comme si tu t'étais baladé avec une caméra, j'ai adoré. Ma note sera donc un mix des plus et des moins. |
Anonyme
31/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Colibam. J'ai relu plusieurs fois le poème...difficile. J'ai pensé aux peintures de Giusseppe Arcimboldo aux têtes anthropomorphes. Votre créature mi-homme, mi-poisson ou autre batracien, j'ai aussi pensé bêtement à l'Atlantide ! Un vieux rescapé...Je cherche encore... Superbement horrible !
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Melenea
1/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Sombre comme description... moi j'y ai vu un lépreux, un mage sans doute, un devin, mais le tout dans une ambiance glauque, comme si l'on changeait de dimension. A faire froid dans le dos de rencontrer un tel personnage, dans nos cauchemars peut être ?
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Meaban
1/9/2009
a aimé ce texte
Un peu
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quand je vois le mot flavescent dans un poème, je commence à me gratter la tête, je me dis que je vais surement trouver astre, antique, impie...
il manque un soupcon de ô et de céruléen peut être.. l'exercice est néanmoins bien mené.. |
Anonyme
1/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai adoré l'ambiance...
Glauque à souhaits sans tomber dans le pathos... le vocabulaire varié et adapté à l'époque narrative ou en tout cas cohérent avec la narration... J'avais jamais lue de poésie Colibamienne et j'avoue en ressortir agréablement surprise. C'est poétique, recherché (je parle ici de l'ambiance, des mots/époque/chronisme...), les images claires et puis moi j'y sens encore du King (dans le côté sombre et putride hmmm), un peu, et ça me parle... Je déplore la répétition d'oreille... Donc, chapeau, pour unr première c'est une belle première... et à la limite, on se moque de savoir qui ça décrit. C'est tellement bien écrit qu'on s'en fait sa propre idée (noire, l'idée...) et que c'est bien, le but étant une compréhension universelle, un truc qui parle à tous... moi ça me parle! Merciiiii |
David
10/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Colibam,
Un dieu fou et maudit des origines insondables de l'humanité, un homme san nom comme la terreur qu'il inspire... un poème d'atmosphère en tout cas, assez sobre vu le thème, il n'y a pas d'abus dans les descriptions, l'horreur se distille au fil des vers sans se laisser capturer par une image particulière, pas de tape à l'oeil. |
Anonyme
12/9/2009
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Épique et donc terriblement pas ma tasse. Rien à reprocher, belle ouvrage, juste pas mon truc (Houellebecq non plus c'est pas trop mon truc, c'est pour dire combien le goût c'est relatif).
Je me garderai bien de noter. Je ne saurai être juste. :) |
Selenim
15/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Comme disait l'autre, chacun voit midi à sa porte.
J'aime voir dans ces vers le portrait de Triton ou d'un Grand Ancien. J'ai trouvé ce texte fortement inspiré par Lovecraft, les images évoquées m'ont rappelé avec plaisir Cthulhu et sa bande de joyeux camarades putrides. J'ai été absorbé par les mots au point de ne pas faire attention à la forme, ce qui est plutôt bon signe. J'ai particulièrement été charmé par ces vers : Son regard batracien flamboyant comme la braise Il tenait dans sa main un oiseau sans plumage Au bec mou suspendu dans un cri silencieux. Délectable. Selenim |
Ariumette
17/9/2009
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Bonjour Colibam
Bon je dois avouer que à la base déjà le poème épique me parle qu’a moitie… Néanmoins, celui-ci ne m’a pas vraiment déplu, j’ai presque même apprécié ! Donc félicitation ! (me faire changer d’avis n’est pas simple je suis une bête têtue !) Quelques remarques cependant sur la fluidité du texte : « Nous attendions prostrés dans une adoration étrange. » ici le « dans accroche l’oreille. « S’envolèrent en couinant dans un remugle marin. » ici « remugle marin », je trouve, fais perdre le rythme Et enfin quelques associations qui ne me paraissent pas très heureuses (ce n’est que mon avis): « les odeurs insensées Qui s’élevaient en vain » « moignon pulpeux » « flamboyant comme la braise » « Frigorifié d’effroi Au plaisir de te lire à nouveau Pas d’appréciation cause concours. |
Anonyme
17/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte qui m'a interpellée, intriguée, au point de le lire et relire plusieurs fois ces derniers jours ...
J'apprécie l'atmosphère créée par ces descriptions détaillées, et l'emploi de mots forts, comme "insensées", "jamais plus", "terrible", "exorbités" ... Et l'étrangeté du récit teinté de fantastique ... Juste un bémol pour "frigorifié d'effroi", pas très heureux à mon sens. |
Maëlle
21/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Là, c'est l'originalité qui prime: en général, on décrit la beauté (ou du moins, la vertu). Ici, c'est l'horreur présenté au lecteur.
Je pense que j'aurais apprécié un traitement plus classique (rimé) du sujet. Affaire de goût personnel. Et puis, j'ai jamais réussi à lire Lovecraft... du coup je manque un peu de référence en la matière. |