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bulle
21/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aurais pu croire que le mot rire, à revenir trop souvent, m'aurait lassée. Ce ne fut pas le cas, au contraire.
Je le trouve bien exploité, sous toutes ses coutures, et dans tous ses coloris, dans de belles images : « Rires de funambule Chevauchant son vertige » « Grands rires blancs, dépecés sous la lune » J'aime beaucoup aussi le titre. |
Anonyme
27/12/2010
a aimé ce texte
Bien
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Mignon et assez fluide. Sans prétention et c'est honorable. Une revue des rires de toutes sortes pour en arriver à la peur du silence. Pas mal dans l'idée, pas mal dans le traitement.
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Lunastrelle
27/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'avoue avoir eu peur, parce que le mot rire revient assez souvent. Mais son utilisation ici n'est pas redondante, du coup ça passe. A part au début, je pense qu'un de moins serait pas mal. Mais ce n'est qu'un détail.
C'est un poème léger, aérien. Il se laisse prendre, et revient comme en boucles effacées... Un peu comme un écho, en fait. J'aime beaucoup. |
Leo
27/12/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un petit poème libre sans prétention, qui illustre joliment le rire en tant que propre de l'homme : varié, divers et plein de sous-entendus.
C'est bien mis en mots, bien mis en strophes. Ça ne va pas au-delà de son but, et c'est très bien comme cela. |
thea
5/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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une farandole de mots pour ..rire
cela se lit bien c'est varié et puis de belles images, on s'engouffre , on suit , et on rit ... une préférence pour la 1ère strophe, légère embrumée et colorée un poème réussit et qui donne plaisir à lire. Merci |
Anonyme
5/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé le ton de ce texte : nostalgique, doux-amer. Avec de jolies trouvailles : "rires de duvet bleu" ; "Des failles parcourues pas à pas" ; "Le rire de l'os nu"(qui résonne sèchement, cassant, inexorable) ; "Rires de funambule chevauchant son vertige". Moins peut-être : "Malgré tous mes rires convoqués". Et le vers conclusif qui annonce, peut-être, la chute du funambule.
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Arielle
5/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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On aimerait le garder tendre, duveteux, voire acidulé, mais le prisme des rires est instable et sa lumière devient vite inquiétante, témoin de failles et de blessures (l'os à nu)
La fin est splendide : ce funambule qui s'accroche à son rire pour ne pas sombrer dans la solitude peuplée de vertige. Sous une forme légère, sans grands effets de manches, avec des mots simples et des images inattendues, l'aveu de notre fragilité qui est bien le propre de l'homme. J'ai été touchée. |
irisdenuit
5/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je reprends les propos de Bulle, j'aurais cru que la répétition de "rire" m'aurait ennuyée mais bien au contraire !
Je trouve cet écrit original et bien trouvé. J'adore la première strophe. En fait, je dirais que ton poème a fixé un sourire tout au long de ma lecture. Bravo et bonne continuation. Cordialement, Iris |
Anonyme
5/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Tissez, croisez serré"
... voilà comment je ressens ce poème. L'auteur y tisse, fil après fil, la trame d'un bien joli paysage émotionnel. Une sacrée palette de couleurs, on se croirait dans les Andes ! :) Il y a une légèreté non dénuée de gravité dans ce texte et dans le traitement de cet arc en ciel de rires. Et un sens de l'image qui touche. En ce qui me concerne, c'est une poésie qui m'émeut, par sa beauté et par son fond, et c'est presque à chaque vers qu'une image me parle. Vraiment très beau, je suis sous le charme. Un petit bémol pour la dernière strophe, que je trouve un peu plus faible que les autres, et c'est dommage pour une chute. |
nora
6/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le poème reconfirme, dans ma lecture, le tragique du rire. Quelle que soit sa diversité et malgré la couleur (que l'auteur a d'ailleurs très bien exploitée), il n'est qu'une feinte provisoire pour oublier le vide et l'éphémérité de la condition humaine. Le rire cache plus qu'il n'en révèle et c'est l'écho celui qui pourrait nous renvoyer, de manière grotesque et obsédante, la distorsion de l'être. Comme un miroir qui déforme et qui pourtant montre la vérité.
Merci pour ce texte émouvant! |
Anonyme
8/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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ce qui est bien c'est que ce texte ne tombe pas dans le piège d'une simple liste de différents rires.
c'est bien développé, ça raconte quelque chose, l'émotion n'est pas oubliée, tout est en profondeur. l'apparence reflète des états-d'âme très vaste, et tu as choisi un: le rire, qui fait partie d'une de ces catégories aux multiples facettes dont seul l'attention à l'autre permet de décoder ces expressions, et encore, ce n'est pas toujours évident. la dernière strophe est superbe!! |
Anonyme
8/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Très joli poème, pas grand chose à en dire, je l'ai trouvé très doux, musical, avec de belles images.
Merci Colinede. |
ristretto
8/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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plusieurs lectures, et la gorge nouée .. le comble si l'on s'en tient au rire léger
mais ce poème n'est pas léger Nora a bien su exprimer ce que je n'arrivais pas à poser le rire de l'écho -titre et chute - résonne de tous nos incertains |
Anonyme
9/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je me suis retrouvée avec bonheur dans tous ces rires, si différents les uns des autres.
Les images et les couleurs pour les qualifier m'ont parlé. Pas toujours gais, ces rires, et le dernier rire du dernier vers, lui, donne carrément froid dans le dos. En peu de mots, vous avez fait un tour d'horizon avec un sens de la concision remarquable. Bravo. Deux vers que j'ai particulièrement aimé : "Dérisoires barrières pour nos volubilis" "Le vide contagieux du rire de l'écho. " Ils sont forts, et assoient le rythme du poème. joceline |
David
14/1/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Colinede,
Il y a des strophes que j'aime bien, comme celle-ci : "Rires jaunes Retenus Serrés entre les dents Rire noir qui précède Le rire de l'os Nu" Et la dernière : "Malgré Tous mes rires convoqués En foule Je redoute Le vide contagieux du rire de l'écho." Les autres n'ont pas de défauts particuliers, ou alors dans leur enchainement. Ça va des "rires verts" et je crois que j'aurais bien aimé la reprise de l'adjectif pour faire lire "rires verts de duvet bleu" par exemple, et d'autres teintes à partir de couleurs primaires, Mais bon, c'est plus par jeu, la couleur n'est pas le seul leitmotiv, il y aura les "rires acidulés" et les "rires de funambule" avant de finir sur ceux de l'écho. Il y aurait peut-être une gradation quand même, les premiers rires seraient moins équivoques que les jaunes ou ceux du funambule, avant ceux de l'écho qui auraient un côté funeste, comme un rire de folie seul face à une falaise ou un autre panorama qui s'y prêterait. Je crois que ce sont les couleurs qui promettaient plus au début de ma lecture et qui resteront un poil trop ternes pour amener ces "terribles" rires de l'écho, pour leurs donner plus d'impact, mais l'idée m'a bien plu en tout cas. |
Anonyme
5/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Le rire de l'écho, oui encore faut-il rire!...
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Flupke
14/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bien aimé cette « convocation » énumérative, avec cette chute – pourtant suggérée, annoncée dans le titre – qui claque comme un coup de fouet et qui conclut magistralement.
Un petit bijou de concision. Bravo. Amicalement, Flupke |
Rainbow
29/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai souri à votre rire, écho fragile et tendre. Votre poème remue les êtres, ressac paisible mais timide qui s'échoue au croissant de Lune sur la grève.
Merci, toujours. |
Alcyon
3/1/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour
j'ai lu plusieurs fois votre poème un rire de plus à la fin même si à mon sens la gravité est de mise non sans rire bravo vos images sont pertinentes que le rire demeure merci |