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Anonyme
25/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonsoir ! Ce texte aurait été plus à sa place dans la catégorie Slams/ Chansons ! Par ailleurs je ne retrouve pas ici la gouaille du titi parisien... mais seulement certaines tournures pour le moins maladroites comme ce qui suit :
De sa pluie et son soleil, j'ai tout pris sans restrictions De ses bouffées d'oxygènes j'en ai sorti toutes mes pulsions Car le temps sur nous s'attarde il accomplira sa mission A mon avis c'est à reprendre et à proposer dans une autre catégorie... |
Anonyme
26/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oh le joli clin d'oeil ! Une poésie gouailleuse et douce, colorée, parfumée, avec un arrière goût d'authenticité et ce n'est pas l'appartenance à une région qui permet ça, c'est le savoir faire en écriture :)
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bulle
26/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bon je suis bien partie, j'appréciais le premier passage :
"Un jour d'un froid novembre au détour d'un café à boire Il était là un air pensif, il me fixait sans rien y voir Et j'ai glissé sur sa tristesse pour y trouver un peu d'espoir" Je trouve le premier vers un peu trop rentre-dedans, trop brut pour l'entame, trop "descriptif", dans sa première moitié, cependant. Le troisième me plaît par contre. Par la suite, j'ai vraiment peiné à suivre. Déjà, chaque tercet est construit en monorime, ce qui entraîne une monotonie, alors que le fond se ressent heureux et ludique, ce qui me paraît être un paradoxe. Il aurait mérité un entrecroisement de rimes joueuses, sur plusieurs sonorités, pour inviter à la danse. Je n'aime pas, du moins en poème, les ellipses ou les contractions, telles qu'elles se peuvent en chanson, par ailleurs. : "p'tit tour" "t'ses sentiments" J'entends bien qu'elles se voudraient ici adaptées au parler "titi", mais dans l'ensemble, ce parler ne m'apparaît pas. En fait, je crois que ces contractions ne sont pas directement liées au langage d'un Titi.. Ce sont des mots particuliers, d'argot, par exemple, qui auraient pu davantage s'en rapprocher, à mon sens. Cette gouaille particulière est très difficile à retranscrire par écrit, j'en consens. Les lignes, au contraire, s'essaient au lyrisme, au romantisme, même si certaines formules portent un brin d'humour, comme celle-ci : "Et quand l'orage est arrivé un coup d'foudre nous a plaqué" En, résumé, si j'ai ressenti un certain enthousiasme de par l'histoire contée, je ne suis pas enthousiaste pour autant, désolée. C'est d'autant plus dommage que le titre m'emmenait vers une intonation poussée, en rappel d'une réplique du film dont il est extrait. |
Garance
8/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème écrit dans le flux des sentiments. L'autre est source qui s'ignore, il est l'air "charmant" qui emplit nos poumons, l'impalpable qui a pris corps et auprès de qui la conscience d'être s'éveille.
J'apprécie ce poème où l'on sent ce transfert d'amour et de force entre deux êtres qui se trouvent. Un amour sublimé, mais dans le sens de l'aérien vers le terrestre, ce qui n'est pas habituel. J'y suis vraiment sensible ! |
LeopoldPartisan
11/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour ce qu'on pourrait qualifier d'histoire banale que cette rencontre de deux solitudes dans un Paris intemporel, il y a un petit je ne sais quoi qui rend l'ensemble assez spécial et poétique. C'est une petite alchimie que ce texte là, parce que c'est pas le côté "titi parigot" qui est pour tout, ni ces pauvres solitudes avec tous les risques que ce type de rencontre, peut susciter. Une bouée de sauvetage appelée Amour, à laquelle 2 naufragés s'accrochent, c'est pas toujours non plus ce qu'on appelle une rencontre sous les meilleurs auspices. Non c'est la somme de plein d'éléments, de vécus, d'échecs, d'humour, de volontés, d'acceptation, de fierté d'être ce que l'on est, qui font de ce texte un bien bel écrin à l'amour.
Y à là de la vie en rose, de l'Arlety "Oxigène, est-ce que j'ai une gueule d'oxigène", de l'autel du Nord et aussi plein de belles images à la Jeunet. J'ai vraiment passé un bon moment. |
Anonyme
14/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très joli texte qui palpite à n'en plus finir, et où un anticyclone s'est installé durablement... Aucun problème je voudrais m'immiscer moi aussi dans ce calvaire d'intempéries. Merci pour cette lecture revigorante !
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Leo
21/3/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Un texte original, qui aurait davantage sa place en chansons, tant il semble fait pour être fredonné. Quelques jolies tournures, mais assez peu de la gouaille du titi parisien, n'en déplaise à l'auteur. Attention aux élisions, il existe des codes qui ne sont pas toujours respectés.
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Anonyme
31/3/2010
a aimé ce texte
Pas ↑
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Pas convaincu personnellement.
Le titre en forme de réplique de film est le seul élément qui m'a fait penser à quelque chose de "titi parisien", pour le reste je n'ai pas franchement vu de "parler parigot"... Après, le rythme, je ne l'ai pas trouvé. Vraiment compliqué à lire à mon avis, pas ou peu de "musique" ici, contrairement à ce que pourrait laisser penser la catégorie du poème. J'ai pas compris le début et son "café à boire", ne connaissant pas le "café à manger", j'ai trouvé un brin de pléonasme dans cette expression. Les rimes ne semblent être là que pour elles-mêmes. Le propos est assez convenu à l'instar de l'expression. J'ai trouvé l'ensemble lourd et forcé. Désolé. Bonne continuation. |
Anonyme
31/3/2010
a aimé ce texte
Pas ↓
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Déjà je ne retrouve pas du tout le style Titi parisien, si j'excepte le titre, il n'y a pas un moins d'argot, pas une tournure de Panam.
Ensuite je trouve ce poème sans âme, plat, aux rimes sans recherches. Et puis il y a des phrases qui n'ont pas de sens pour moi: "J'ai aperçu dans un éclair la couleur de ses yeux bleus" parce que mal construites, celle là est un exemple. Bref, un texte qui ne me plait pas. Désolé. Bon courage. |
Anonyme
31/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je suis pas particulièrement interpellée par le "côté titi parisien"...
J'aime bien l'entame. Après ça me plait moins. Premier vers du tercet 2 est assez étrange. En effet, la ponctuation finale, l'enchainement avec le vers suivant sont assez particuliers. Tercet 3 est très banal. Plein de jolis petits clichés. ça aurait pu sentir la valse, mais non! Tercet 4 est pas mal. Tercet5 j'aurais mis en un éclair au premier vers. J'acceptais son mauvais temps ne me semble pas très joli. Le vers suivant non plus d'ailleurs. Le tercet 6 est presque dans le rythme et les sonorités du générique de Mask, le refrain... oui je sais j'ai des références assez bizarres mais en définitive pas plus étrange que la tournure et les images de ce tercet. Et la fin est juste terriblement cliché. Pour un poème. Cela dit ça passerait top en chansonnette... parce qu'il y a du rythme. Voilà... merci et bonne continuation et puis désolée si je n'ai pas accroché, ce sera surement pour une prochaine fois. |
MCboulette
17/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est juste dommage que je lise ce texte et que je ne puisse t'écouter le clamer ....slameur devant l'éternel juste un conseil : gueule gueule et continu a le gueuler ce petit texte beau grand et enflammé...
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Anonyme
13/10/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce texte n'a rien d'un phrasé "titi parisien", il est loin dans avoir la gouaille très prononcée qui tranche, ici rien de cela.
Ce qui a particulièrement gêné ma lecture, c'est le manque de ponctuation, elle est là par instant, comme jetée négligemment, c'est un peu dommage, car cela donne au texte un côté un brouillon. Il y des phrases un peu périlleuses à lire comme : " J'ai aperçu dans un éclair la couleur de ses yeux bleus J'acceptais son mauvais temps car nous étions bénis des dieux De sa bouche soufflait la brise et tous ses mots devinrent heureux " " Il sentait un rien la tendresse il était en manque d'affection Ses gestes étaient si doux qu'il transpirait ses émotions Et nous sommes partis sur les tournants d'la perfection " Il y a de belles choses, dans cet écrit touchant qui a un petit côté original, mais qui ne sont pas mises en valeur, le texte manque un peu de "pétillant", le rythme donné par la première strophe s'estompe peu à peu. |