|
|
Robot
31/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Les changements de pronoms m'ont un peu dérouté.
Le récit étant à la seconde personne je ne comprends pas bien ce "devant soi". Pourquoi ne pas démarrer avec le tutoiement "Le monde est devant TOI" Au début je pensais que le narrateur parlait de lui à la seconde personne du singulier mais j'ai été démenti par le vers "je t'engage à m'y attendre". Et puis alors qu'on suppose le personnage seul, tombe tout à coup le "vous" du vers "et la carie qui vous écarte" Le rythme et les images ont retenu mon attention de manière agréable. J'ai lu dans ce poème une sorte de parcours initiatique. Une immersion dans le monde ou le personnage est absorbé. |
Brume
31/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Cordiale,
Je lis votre poème plusieurs fois et jamais je n'en comprend la même chose, toujours un tableau différent apparaît. J'ai l'impression que "tu" se métamorphose à chaque strophe. Rien n'est pareil. Vous m'avez engloutie dans un songe. Une évasion onirique à travers vos belles images. |
Lulu
31/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Cordiale,
j'ai bien aimé lire ce poème qui m'a entraînée bien loin, dans un univers qui ne m'est guère familier, notamment avec cette "eau des rizières". J'ai beaucoup aimé le rythme posé de l'ensemble du poème, et cela dès la première strophe. J'ai bien aimé vos images, notamment "la carie qui [nous] écarte de [nos] prétentions. Cela m'a fait sourire, mais j'ai senti un ton grave tout au long du texte qui m'a beaucoup plu. Je n'ai pas tout saisi, mais j'ai été happée par l'atmosphère de ce poème qui dénote un rapport à l'autre très sensible. |
funambule
31/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Poésie "à la Manset", en images superposées, en sens imbriqués, spirituel (voire métaphysique) et visuel; agréable, à lire et à relire tout autant qu'à méditer. Un mantra. Sans être impénétrable, sans être obscur, chacun choisira son accès qui peut varier à chaque lecture. Un moment passé qui ne semble pas vain.
|
Pouet
31/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bjr,
J'ai été happé par votre poème qui me laisse sur une belle impression. J'ai particulièrement apprécié ce passage: "garde avec toi ce qu’on emmène partout les bras qui se balancent l’eau bue au milieu de la marche et la carie qui vous écarte de vos prétentions." J'ai trouvé, sans parler de la forme, un esprit "haïku" à ce texte. Calme, sérénité, philosophie, le tout teinté d'un doux surréalisme. Au plaisir. |
papipoete
31/12/2016
a aimé ce texte
Bien
|
bonjour Cordiale,
Le monde est si grand, que si tu rêves d'en faire si non le tour, mais en lui quelques lieues sans les fameuses bottes, va je te rejoindrai là où naissent les rêves d'ailleurs ; Mais ne t'encombre pas de superflu et use de ce que tu as, de tes bras, d'un peu d'eau et ce rire qui te protège envers et contre tout . " et son oeil entrevu comme une petite sphère de chagrin ", joli ! |
Marite
31/12/2016
|
Le rythme et les mots de ce poème m'ont entraînée jusqu'aux derniers vers, malgré moi, avec l'espoir d'y découvrir un "je ne sais quoi" qui m'aurait éclairée. Hélas, je reste là, sans rien, mais peut-être ai-je été engloutie ...
|
Proseuse
7/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Cordiale !
Il règne dans votre poème beaucoup de sérénité, peut-être même de sagesse , mais pour moi, qui ne le suis pas toujours, il me faudra vous lire plusieurs fois ( sourire) En tout les cas, vous avez su me dépayser et je vous remercie bien de cela ! un très beau moment de poésie partagé ! Merci et à vous relire bientôt |