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troupi
29/3/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai un avis mitigé à la lecture de ce sonnet.
Le sujet difficile est traité de manière originale mais je préfère de loin les deux quatrains. Leur écriture me parait plus recherchée"parques, camarde," que celle des tercets, "merde, deux fois de surcroit dans un sonnet" "chialer également deux fois" me suppriment tout le plaisir éprouvé à la lecture des quatrains. J'ai beau relire, je trouve de la classe et de la délicatesse aux quatrains et de la vulgarité aux tercets. Je suis surpris qu'il s'agisse du même auteur. Je pense néanmoins qu'il ne faudrait pas grand travail pour faire de ce poème un excellent sonnet en retravaillant les tercets. |
Vincent
31/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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je nai pas été emballé plus que ça par votre texte
certes il est bien écrit sur la forme je n'ai rien à redire il tourne bien rond et n'est pas désagréable mais je trouve qu'il manque de puissance et de flamme |
Pimpette
15/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Touchée!
Un sujet bien triste traité un peu à la Brassens! C'est ça que je trouve TRES réussi! "Que la Camarde et toi auriez conté fleurette, Que tu aurais séduit ta suprême conquête, Et qu’elle garderait ton cœur de grand enfant. cette façon de voir les choses de la vie et de les écrire avec tendresse et humour est RARE...Bravo! Je note tres haut! |
Arielle
15/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai beaucoup apprécié la progression de ce sonnet impeccable qui passe du classique presque impersonnel des illustres poètes aux mains des Parques à ce crabe croqué tout cru dans un torrent de larmes.
Il me semble que vous avez réussi à concentrer dans les 14 vers d'un sonnet l'essentiel de ce que la mort d'un être proche peut nous inspirer. douleur, tendresse, révolte, tout cela teinté d'un humour grinçant qui ôte toute mièvrerie aux larmes. Bravo pour" ce vide ouvert sur tout un rien" |
Robot
15/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Une écriture et une composition qui accentue l'émotion à chaque strophe.
Un bémol: si le double chialer me convient car il renforce la phrase, autant le double merde me contrarie. Non pas le mot ! mais il me semble que la seconde fois il fait cheville. Sinon, je trouve beaucoup de force d'expression à ce sonnet et notamment aux quatrains. |
papipoete
15/4/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Cox;" plutôt que jouer avec toi encore longtemps, la mort, de guerre lasse s'est retirée du jeu; pour aller tourmenter une autre âme, soumettre à la question un autre corps meurtri. Parait-il qu'enfin ton souffle, apaisé se mêle au vent? "
Ces 2 quatrains évoquent de poignante façon, comment " il/elle " passa de l'autre côté... Les tercets montrent l'isolement extrême où reste le/la survivant, au fond d'un chagrin qui ne laisse aucune place aux " lèche cercueil " et autres pleureuses comédiennes! Dommage que se termine votre poème de façon si abrupte, car si la tristesse peut se mêler de colère, que dire des " autres "? de tant de pleurs sincères, de tant de chagrins sans larmes, de tant d'éplorés qu'un cercueil épouvante? Ne faut-il pas voir que ces choses-là, et perdre la vue face aux hypocrites? le 1er quatrain est lumineux |
Condremon
15/4/2015
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J'aime bien.
Un sonnet tout bête, qui se tient bien et se retient, mais avec effectivement toutes les émotions qui accompagnent une perte. Je note la progression, "on m'a dit", puis "merde", puis "j'aime mieux". "Digérer un vide", à défaut de combler, c'est bien là tout le problème. |
Anonyme
17/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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D'un cancer tout bête, ne l'oublions pas...
Alors m...., oui, et chialer, chialer... Mais deux fois m...., c'est un m.... de trop ! Un sonnet très recherché, qui sonne vrai ! |
Pussicat
17/4/2015
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Pour vous le dire tout net, votre texte me touche personnellement.
Difficile en ce cas d'aller plus avant. Je vous dis simplement, et n'irai pas plus loin : je retiens les inventions poétiques et la force de vie. merci pour ce poème, merci encore. à bientôt de vous lire, |
Danali
18/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Garder une belle forme, faire référence à l'inspiration la plus élevée, tout en parlant de la révolte la plus crue, je trouve cela fort. Le poème n'en est que plus émouvant. Les vers ne donnent aucune impression de contrainte; le sonnet n'est pas le prétexte à quelques trouvailles virtuoses. On dirait la dernière arme contre la maladie et toute sa laideur. Bravo pour ce texte.
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