Je reste assez dubitatif quant au message de ce poème.
Se consummer d'amour? Pas convaincu.
Au moins, aurai-je appris deux termes végéteaux.

Moi j'ai appris plus que deux mots. Ca m'éclaire mais je reste assez sceptique sur le fond. L'amour, l'étincelle, la flamme, l'incendie ?

Quelques images ... Mais je ne suis pas sensible à la poésie. Merci de m'avoir un peu cultivé. Le seul conseil que je peux donner est de dévelloper les idées.

Ce poème aurait très bien pu être écrit sans ponctuation.
Juste laisser couler les mots.
Mais il y a une douce sonorité dans ces vers.
Une ou deux strophes de plus n'auraient pas été de trop pour développer un peu plus le message.
Cependant ce trop peu laisse entrevoir une combustion d'amour ( ? )
Où peut-être le retour d'une communication éteinte entre deux êtres. Je ne sais pas trop en fait.

La catégorie te libère du décompte des pieds mais je trouve que, du coup c'est un peu déséquilibré. Principalement la première strophe que je compte : 7-6-7-6 ou alors 7-7-7-7 mais en appuyant sur le "e" d'étoupe et c'est pas terrible et sur le "e" de enflamme et c'est pire. (Je parle de sonorités)

Pourquoi pas siroter un verre d'amidou avant de se consommer ?

Oui... Il manquerait pas un morceau avant la dernière strophe?
Je ne suis pas très convaincue, le texte n'est pas assez long pour ressentir cette envie de se livrer à l'autre... Et pourtant je ne suis pas adepte des longs poèmes!

Ce texte ne me parait pas abouti. Les mots sont choisis souvent par obligation de la rime.
Et sur les brûlures de l'amour, on pouvait développer, il me semble.
Comme dirait Cyrano: "C'est un peu court, jeune homme!/ On pouvait dire...oh, Dieu!...bien des choses, en somme!"

Bonjour Craone,

J'aime bien le mot-titre, avec sa majuscule qui fait croire au prénom, rien à voir avec Mozart :)

Joli court (trop peut être) texte.
J'aime assez le ramassé des vers, le choix de certains mots qui sonnent de façon déroutante en faisant sortir des poncifs feux de l'amour…
En revanche, j'ai un problème avec l'imparfait/présent de la deuxième strophe…
Un petit poème qui a une patte!

un aperçu de révolte lyrique qui fait mouche.

encor !

Court, vraiment. Une flamme ne se consume si vite !

Dommage !

A étoffer certainement, même si ces quelques bribes sont prometteuses.

Pandora.

Et voilà qui pour moi coule de source. simple comme le jour où..

Une brièveté qui ne permet pas l'erreur ou l'approximation.

Je reste bloqué sur

"Il y avait du bleu,
Qui noie tous les principes."

et sur

"Et on boit la jusquiame"

Ces vers me semblent uniquement servir la rime : le sens m'échappe... Pourquoi la jusquiame ? une référence à l'Odyssée ? une manière de dire le trépas de l'amadou qui se consume ? (merci wikipédia) Pourquoi le bleu ? un élément aquatique... il s'agit de faire du feu sous la pluie ?

Certes c'est plutôt joli mais ça clash par rapport au reste qui évoque plus simplement, à l'image de la première strophe que je trouve très bonne.

Cordialement.

Ce poème est un peu déroutant, il est plaisant à lire mais reste dans le fond très mystérieux, sur les tenants et les aboutissants.

Je pourrais donner une certaine vision de mon ressenti, et là je risque de me sentir un peu ridicule, mais j'essaie quand même, je vois "le feu de l'amour" qui nous consume avec force, difficile de résister.

J'ai malgré le fond un peu distant, la forme aisée, et l'ensemble tout de même, de qualité.