|
|
Absolue
29/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
J'aime surtout les 4 premières strophes (bien que je regrette la répétition de "frappent"). Les verbes finaux résonnent bien. La suite m'a moins emballée, surtout la transition entre les 2 dernières strophes (tâchent... de s'imaginer) car je trouve que ça casse le rythme...
|
Anonyme
29/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
"uniformisés" ou en uniforme? C'est pas tout à fait la même chose. J'aime bien la recherche de sonorité ici. Je suis sûr que certains parleront de rap ou de slam pour ce texte, moi pas particulièrement.
C'est un peu court mais y a de l'idée. Force et inspiration! |
widjet
29/5/2009
a aimé ce texte
Pas
|
Un peu comme Absolue, je regrette la répétition de "frappe" et cet "uniformisé". Sur un texte si court ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Et puis le "front apeuré" franchement...
Enfin le titre et le fond du message "tous des pourris"....Bof. Widjet |
TITEFEE
29/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
court et heurté, un peu comme si à l'instant suprême, ne sort pas un mot. J'ai aimé la peur qui s'en dégage.
|
nico84
29/5/2009
a aimé ce texte
Pas
|
Des idées profondes. Une ambiance sinistre. Mais rien ne me parait développé. Je ne comprends pas pourquoi. Alors on comprends mais on entre pas dans tes mots, on ne vit pas la souffrance.
Dommage. Ca va trop vite. La répétition ne me gène pas, j'ai surtout peur d'oublier trop vite ce poéme. |
colibam
29/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Une vision fugitive, qui claque comme une balle de fusil pour cette arrestation ou vérification d'identité musclée.
Honnêtement, si je n'ai rien à redire sur l'idée de fond, ça manque terriblement de matière, de densité. Le titre n'est pas approprié et sonne mal. Pour uniformisés : tu as choisi à priori l'acception "standardisé, unifié" du mot uniforme alors que tu souhaitais sans doute parler de l'uniforme en tant qu'habit. |
FIACRE
30/5/2009
|
Court, sec, noir je ne sais pas si aujourd'hui la " couleur " fait encore la différence dans le traitement des individus.
Mais fond et forme " claquent " bien dans l'air du temps ! |
Anonyme
30/5/2009
|
Court, heurté, c'est vrai et certainement c'est voulu. Mais il se dégage quelque chose, une ambiance, de cette poésie. J'encourage l'auteur à continuer de nous faire lire ses écrits.
|
Marquisard
30/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bon, tout ce qui a été dit se tient, mais la chose qui m'interpelle, c'est l'age de l'auteur, si ce texte a été écrit à seize ans, alors il y a bien quelque chose, le rythme est prenant, le contexte dans lequel il a été écrit aussi peut (peut-être) apporter beaucoup, même si en france les ratonnades ont (du moins je l'espere) tendance à se faire rare, il n'en est pas de même partout.
Au plaisir d'un prochain texte |
Anonyme
31/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
J'aime les strophes 1, 2, 3 et 6 par le fait qu'elles se terminent par un mot qui sonne, qui frappe.
J'aurais aimé qu'il en soit de même pour toutes les strophes, pour ce coté claquant et cassant qui aurait pu rythmer l'ensemble du poème. Pour ce qui est du fond, ce n'est pas assez. Le peu peut parfois faire mouche, mais pas ici. C'est trop "pas assez" Alors qu'il y a quelque chose d'assez accrocheur je trouve dans ton poème. Donc dans l'ensemble pas assez abouti à mon sens. |
David
5/6/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Cris,
La violence est présente, le titre est étrange, il ne fait pas trop poème - ce n'est pas forcement un défaut - comme un collage de mots. Le Clac/Claque/Claquent est un peu le fil conducteur, mais ça semble être bien plus qu'une gifle, je pense que le poème parle d'un coup de crosse, dans une ambiance "civil" : "Les passants consentants", cela prend une autre envergure. |
Anonyme
17/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Contraire à votre autre texte, je trouve celui davantage réussi, et surtout réaliste, vous avez bien retranscrit ce danger d'être de couleur, et cela est encore vrai aujourd'hui, quelques exemples de difficultés rencontrées, entrer en boîte, se promener tard le soir, dans les transports, peuvent engendrer des vérifications musclées. Un ami de mon fils réunionnais a bien connu ce genre de problèmes, et cela dans les années 1982 (il avait 16 ans), 1996,1999. Il était trop typé, cela lui a valu de bien nombreux déboires, je vous passe les qualificatifs dont il a été victime, encore aujourd'hui cela joue pour une promotion.
Pour revenir à votre texte, vous avez su très bien faire "résonner" l'angoisse, qu'engendre cette bêtise humaine, sans limite, c'est horrible notion de "peur contre peur". C'est sans restriction aucune que ce poème m'a plu, sans oublier le titre tout à fait dans le ton, il fait entrer de plein pied dans le vif du sujet. |