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genevieve
18/7/2007
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J'aime beaucoup !
Tu as su trouver les mots pour parler de l'indifférence des touristes, de leur appropriation des lieux ainsi que de leur non-respect des indigènes... |
Lariviere
19/7/2007
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Pareil que Gene !... Pas plus.
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strega
28/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Oui, excellent même. Je confirme tes dires, habitant à une quinzaine de kilomètres de la mer, je fais plus que confirmer même.
Pour être honnête, j'ai eu un peu "peur", jusqu'à la dernière strophe. Je me disais, ah mince, c'est vrai, il a raison, mais quand même, il ne faudrait pas non plus cracher dans la soupe et tendre à la généralisation de ces touristes quand même. D'abord parce que moi aussi je suis touriste, et que j'espère ne pas être vue comme ça. Et puis voilà, à la fin, on en voit des gens bien en fin de compte, des gens qui n'oublient pas que si eux font les touristes, il y a une vie après eux aussi. Très bon Cyberalx, vrai, sans amertume, juste et sans jugement, bravo. |
clementine
28/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Comme un court métrage, des images, des flash, des rires, des sourires, des moteurs qui démarrent, des au revoir.
J'ai tout vu et j'ai apprécié. Merci. |
Anonyme
25/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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la première pluie juste après l'été, c'est celle que je préfère. C'est vrai qu'elle nettoie tout, c'est vrai que déjà, il est loin encore, mais elle nous prépare à l'hiver.
Ces vrai pour ces touristes, je ne les aime pas non plus, ils ne sont que des portefeuilles sur pattes et ils ont en général, quel que soit le pays qu'ils visitent, du dédain dans le regard. Mais ce que je me dis quand je chope un regard comme ça, c'est qu'on est tous le tourriste de quelqu'un. |
Anonyme
5/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime le côté descriptif pittoresque de cet écrit, j'en ai souri, c'est très bien vu, c'est un brin caustique, tout en gardant ça petite touche d'humour, j'ai pensé aux vacances de Monsieur Hulot de Jacques Tati. Pendant ces sacro saintes vacances, les autochtones voient défiler toute une palette colorée d'individus appelés vacanciers qui ne manquent pas de les interpeller, ce sont de bien drôles d'oiseaux" de passage. J'ai aimé lire et relire ce texte, dont la lecture est fluide.
Je retiendrai : "Elle fait du bien la première pluie juste après l’été. Celle qui soulève le sable et donne comme une odeur de larmes au port." |