|
|
belaid63
15/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Le grand questionnement eternel. existe-t-il? oui? non? peut-être? beaucoup se sont posé la même question, ils sont partiss sans réponse.
l'auteur le dit si bien: "le Temps m’a conquis et je grignote l’envie de vivre" autre Question que serait la vie sans la mort? j'ai bien aimé cette lecture. la forme est jolie, le fond personnel |
Melenea
15/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Dire, entendre, voir et sentir... les sens l'un après l'autre (manque le toucher) pour apréhender le mystique et ses questionnements... j'aime beaucoup cette approche pudique et pourtant si forte...
Mél |
Anonyme
15/7/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Tiens un poème ontologique :)
Ah.. voilà deux domaines que j'affectionne en principe mais là cyclo.. bien que facile à lire, je reste sur ma faim. |
Anonyme
15/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Ce qui m'a frappé, cyclo, est que le texte s'adresse au lecteur en même temps qu'à Dieu. Le lecteur est donc assimilé à Dieu.
Je suis donc resté, à la fin, sur une impression bizzare : est-ce que j'existe ? |
lotus
16/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Croire en" l'impalpable"...toute la question est là et pourtant , tu n'évoques pas vraiment ce sens qui me paraît important.
J'ai bien aimé ton approche du sujet même si j'ai eu un peu de mal avec la forme. |
Anonyme
27/10/2016
a aimé ce texte
Un peu
|
Je crois qu'au fil de mes lectures, j'aurais toujours à faire au même défaut de vos écrits, des coupures qui ne sont pas appropriées et qui dérangent énormément l'écriture, où avez-vous lu ou vu que l'on sépare un article du nom qui accompagne, c'est ridicule. Pour vous lire aisément il faut tout reprendre de l'écrit pour lui donner bien plus de compréhension et d'aisance.
Vient un moment il faut te dire où rien n’existe ce rien perçu comme creux comme envers du Temps vide de l’Envie Vient un moment il faut t’entendre et je tombe si loin las effarouché superbe dans l’Entendement pur dans la demeure des Demeures enfermé dans le moi enfanté par le noir Vient un moment il faut te voir la Matrice est innée c’est là qu’on se rebelle qu’on enfonce des portes qu’on ouvre des pogroms Vient ce moment il faut te sentir je tremble dans le Vide sauvage le Temps m’a conquis et je grignote l’envie de vivre Sidéré je te questionne existes-tu ? Les mots enfin trouvent toute leur densité, ils expriment, ils viennent proposer un questionnement qui peut paraître à un moment ou à un autre existentiel, ils quémandent, même si je pense que le sujet n'est que survolé, mais vous l'avez à votre manière ébauché, avec votre ressenti. Je pense que vous savez écrire, mais vous utilisez une mise en forme qui vous défavorise. |