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Melenea
12/7/2008
a aimé ce texte
Bien
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Pour avoir écrit et lu des textes sur le silence, j'apprécie cette approche nouvelle et surprenante... Mais j'aurai tout aussi bien pu penser à la solitude sur ce texte...
"j’ignorais même que j’existais" ... "Avant que le monde ne m’habite" j'aime beaucoup ces deux vers qui nie ton existence et les deux lues l'un après l'autre sont plein, d'un grand silence... POur moi le silence est bien représenté par le dernier vers, qui paradoxalement "me parle beaucoup" :) "Que mon cerveau touille et trifouille Comme un vol d’hirondelle innocente" J'aime moins ces deux vers qui eux ne m'évoquent rien du tout, ni dans les sonorités, ni dans les images... Mél |
Anonyme
24/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une introspection surprenante, et un poème percutant.
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Anonyme
28/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je vais commencer juste par ce qui m'a gêné, cette phrase :
" Que mon cerveau touille et trifouille", ce n'est pas très joli et à l'oreille, ainsi que l'image qui se projette après cette lecture. La ponctuation est bien singulière, " Oui, me voilà bientôt revenu ", bien brève apparition, quel dommage ... Pour l'ensemble du texte, je suis très surprise, après tout ce que j'ai lu jusqu'à présent, de trouver enfin un texte sans coupures "aléatoires", voilà donc un écrit de vous plaisant à lire. Il y a vraiment de très belles choses, elles ne demandent pas forcément à être trop expliquées, vous tentez de nous faire partager un moment "le silence", son importance. Au travers de vos mots, je peux ressentir l’expression d'une certaine souffrance : " Ce passé est présent jusque dans le futur Il bout au fond d’un cauchemar Que mon cerveau touille et trifouille Comme un vol d’hirondelle innocente " Que je retrouve dans cette dernière strophe : " Oui, me voilà bientôt revenu Dans l’herbe folle et la fougère Et ce village ancien où il n’y avait personne Avant que le monde ne m’habite " Je m'interroge, quel est ce monde qui vous habite ??? |