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Poésie libre
cyclo : Traces
 Publié le 17/07/08  -  4 commentaires  -  466 caractères  -  48 lectures    Autres textes du même auteur

Hommage à ma grand-mère.


Traces



Toi qui as disparu toi
qui fus tant aimée toi
le phare-océan de nos veilles d’enfant

Apprends-nous à vieillir comme un arbre à
étendre nos branches vers la joie à
écorcer la vie de ses douleurs

On te retrouvera un jour miroir sur
la vague étincelle du Temps où
naviguent sans fin les météores

Tu ouvriras alors tes oreilles gourdes et
de ton œil d’antan tu
fixeras les traces du Retour


 
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   Anonyme   
17/7/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
J'ai aimé suivre ces traces..

un peu comme on prie de l'intérieur

merci pour ce bout de chemin

   belaid63   
17/7/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
je la vois se plisser sa peau de parchemin
et son regard lourd fatigué par les ans
j'aimes ce poême touchant et simple
bel hommage cyclo

   Melenea   
18/7/2008
Aucune balise de ponctuation pour guider notre lecture, et les vers sont posés là, coupés dans l'élan... donc à chacun sa propre lecture... j'y ai vu un proche, une mère disparue ou une grand mère, qui se fait ange gardien...
Etrange lecture aux nombreuses images...

Mél

   Anonyme   
27/10/2016
 a aimé ce texte 
Un peu
Il faut absolument que vous cessiez ainsi de couper vos phrases, cela nuit considérablement à votre texte. Cela donne une lecture déstructurée, un style à l'effet désastreux. Vous alourdissez et enlaidissez votre texte.

Pas très joli non plus "tes oreilles gourdes"

J'ai beaucoup aimé cette strophe, mais à ma façon :

"Apprends-nous à vieillir comme un arbre,
à étendre nos branches vers la joie,
à écorcer la de ses douleurs.

C'est un bel hommage à votre grand-mère, mais qui aurait besoin d'être retravailler, pour lui offrir un meilleur écrin de tendresse filial.


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