|
|
Pimpette
4/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Délicieux
Un poème parfait,plein de poésie à ras bord dans une simplicité totale! je reste sur ce bonheur de lire pour quelques jours! "À peine mes yeux dans les siens Qu’une frégate – son visage Accosta mes berges sauvages Mes appétits de béotien" J'imprime et je garde!!! |
LeopoldPartisan
4/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Oui et non, car pour ce qui me concerne ce texte relève plus du fantasme que d’une véritable éducation sentimentale, où comme de bien entendu, ne nous voilons pas la face, ce n’est assurément pas le côté sentimental qui est mis en avant.
Ne me croyez certes pas bégueule mais, et c’est bien là que personnellement le bât blesse, je n’ai en rien retrouvé cet émoi typique d’une première fois où se mêle et s’entremêle innocence et appétence, pudeur et impudeur, retenue et abandon. C’est bien écrit et même avec certaines analogie à la littérature courtoise, mais il manque vraiment de ce réalisme qui souvent nous apporte un supplément d’âme. |
senglar
4/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour Cyrill,
Cet amoureux impétrant m'a paru bien habile dans l'art du délacement pour être un béotien Cyrill :) Bravo pour les "cailloux adamantins", peut-être pas pour les sifflantes (sa belle zozoterait-elle ?), les "margelles" d'un corsage peuvent sembler un peu lourdes qui ne le laissent cependant pas de pierre, l'ourlet d'un bas ne glisse-t-il pas ? Mais qu'importent finalement toutes ces remarques puisque l'effeuilleur s'est abreuvé au "Calice festin", suprème "bien" et nectar, ambroisie, âme et Graal conquis. Non, je ne suis définitivement pas d'accord avec le mot "béotien". (-) de pure jalousie. lol brabant |
Anonyme
31/3/2014
a aimé ce texte
Un peu
|
Personnellement, je trouve ce texte un tantinet trop technique. Les rimes en "ien" me paraissent - mais c'est subjectif- mieux convenir à musicaliser une ambiance sinistre (rien, chien, ...) qu'à cette atmosphère mutine.
Quelques images pour rimer gâchent un peu le plaisir et la fluidité : "Aux caractères magiciens" (magiques ? mais la rime...) "À peine mes yeux dans les siens Qu’une frégate – son visage Accosta mes berges sauvages Mes appétits de béotien" Enfin, comparer "son bien" à un chardon me paraît audacieux... |