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Anonyme
8/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
En effet stupéfiant, je suis stupéfaite ! Les deux "comme" du premier quatrain accrochent un peu le regard, sans le charmer. "Comme au bout de l’archet la note coule vibre" ne manque-t-il pas une virgule entre les deux verbes "coule" et "vibre". Hormis ces détails, je ne sais pas si je flashe ou non sur ce poème. Cependant il me laisse la porte grande ouverte, les images s'engouffrent, sensuelles et c'est bien agréable. Merci du partage, Éclaircie |
BlaseSaintLuc
15/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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faut il en prendre
pour comprendre ? c'est la question que je me pose , d'une réponse je ne dispose hélas pour moi pas de lumière , ni dans les branches ,ni dans les airs , cela pourrait être beau , mais pour moi ce fut fort clos. |
izabouille
17/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai voyagé dans un univers blanc, que du blanc. Je n'arrive pas à capter où a voulu m'emmener l'auteur, mais j'y suis allée quand même et j'ai trouvé ça très beau. "S'accrocher aux ailes du verglas", "drapés impérieux des nuances d'écume" ou encore "comme au bout de l'archet la note coule vibre", ce sont des images magnifiques
Je ne comprends pas "Et se folle à lier, vint ensuite l'éclat"?? Ne faudrait-il pas mettre une majuscule au titre et supprimer le point? Merci pour ce bon moment de lecture |
Vanessa
27/8/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Il manque à votre poème un fil conducteur. Dans les deux premiers quatrains vous choisissez des images ayant trait à la musique pour ensuite laisser ce fil de côté et partir dans des images concernant la mer. Personnellement ça m'a beaucoup gêné car j'ai l'impression que vous avez cherché des images en vous détachant du fond de votre texte. "Et se folle à lier " reste un grand mystère car je n'arrive pas à trouver le moindre sens à cette formulation. |
Anonyme
27/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Cette poudre blanche, absinthe de notre époque, qui entraîne le narrateur, dans un abîme, provoque des flashes puis l'oubli.
Une bizarrerie, "se folle à lier", mais l'écriture est plaisante. |
papipoete
27/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Cyrill
Je crois lire sur la " pierre de rosette ", et interprète mon idée sur votre poème ; un musicien joue en équilibre, une partition où la moindre faute est fatale, alors le piano entre en scène et la musique coule ... NB de belles lignes comme celles du premier tercet, et à nouveau l'ultime strophe me plonge dans un imbroglio dont j'ai du mal à défaire les noeuds ! Dans le premier quatrain, " la note coule vibre et /cela/ folle à lier, vint ensuite l'éclat " .............est-ce le sens de votre phrase ? la ponctuation minimaliste ne facilite pas la lecture de votre sonnet contemporain . |
Anonyme
27/8/2018
a aimé ce texte
Pas
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J'ai lu dans ce texte des images - intéressantes je dois dire - mais les ai trouvées éparses, sans vraiment de lien entre elles.
Ces " flashes " n'ont pas éclairé mon ressenti. A vous lire une prochaine fois. |
lucilius
27/8/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Il ne suffit pas que l'écriture soit élégante pour apprécier un texte, de quelque nature qu'il soit ; encore faut-il en comprendre le sens. Je ne reviens pas sur les tournures déjà citées dans les autres commentaires. Personnellement je navigue en pleine nébulosité, du premier au dernier vers qui semblent jongler avec des leurres. |
JcJaZz
27/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Il y a indéniablement des images poétiques dans ces vers
C'est vrai qu'il y a également un côté abscons dans ce poème J'ai cru comprendre qu'il s'agit de l'histoire d'une désillusion amoureuse : l'excitation, l'enivrement, la folie (strophe 1), la chevauchée, l'aventure, "l'histoire" (strophe 2), le fragile équilibre rompu, la rupture, le "ressac", (strophe 3), le désenchantement, l'amertume, la souffrance (strophe 4) Je ressens ces pénétrantes émotions dans ce poème Merci |
Miguel
28/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Le thème est traité par des images assez réussies, mais je suis déconcerté par la syntaxe; je sais bien que quand on plane, la syntaxe devient relative, mais tout de même.
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Dian
3/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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J'ai vogué sur le fil surveillant le ressac
L'esprit touchant les cieux ... Poudre de magnésie sur ta crinière blanche, pianiste aux doigts fous. |