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| Anonyme
8/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Des vers répétés avec pas mal de classe ! je ne suis particulièrement attiré par ce genre de poésie, mais y'a un bon effet ruban, je ds "bien bien".
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| ristretto
8/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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un après midi interdit
très douce évocation une pause réconfortante dans leurs chemins de vie beaucoup aimé merci |
| clementine
8/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai beaucoup aimé, particulièrement la musique de ce poème, et finalement aussi son rythme, son "allure".
J'adore les 2 derniers vers. |
| marogne
9/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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intéressant, l'amour alors qu'à l'extérieur il vente, il fait froid. Les mots comme autant d'eau, le bruit du vent dans les arbres qui revient de strophes en strophes.
Vivement qu'il pleuve! ps: de saison vraiment, car seul le professeur Mortimer semble être à même de nous ramener le soleil dans cette guerre de météores aqueux. |
| David
9/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Damedevelours,
Le titre s'accorde bien au thême, j'ai bien aimé la conspiration des soupirs, j'ai regretté que soit écrit le mot si bien suggéré, je me demande bien qu'est-ce qu'il y a d'improbable à la fin à ce face à face, ces amants, cet amour... |
| Anonyme
10/6/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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j'ai bien aimé le départ , dommage dans la deuxième strophe comme un retour avec la répétition de probable. et la même chose avec la troisième strophe je comprend donc que c'est un effet d'auteur.
la répétition de après midi par contre passe bien à ma lecture. je ne suis pas un fan des répétitions...mais j'ai un petit peu accroché grâce à cette inclinaison. |
| Anonyme
2/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime comme il est répété ce "improbable", il dit à lui combien les chances pour que cela arrive, étaient vraiment très minimes. Mais voilà les éléments naturels s'en sont mêlés, et la nature humaine a fait le reste.
Je me suis laissé absorber complètement par vos mots, sans rien en vouloir de plus, qu'une l'histoire de vie ici qui m'est contée comme une parenthèse qui se devait d'être vécue par ces deux personnes, sans tenants, ni aboutissants. C'est juste un après-midi de pluie, interdit, sans bruit, d'envie, d'oubli, oui c'était un après-midi à vivre sans remords, ni regrets, sans autre état-d'âme que de vivre dans l'instant présent, qui s'offre sans retenue. Disons que c'est l'occasion qui fait le larron ... Vous êtes dans la justesse, dans le vrai d'un moment "d'égarement" et comme vous le dites si joliment dans votre dernière strophe " Et l’amour s’étire dans l’enchevêtrement De leur gourmandise Mouvements intemporels Inscrits dans un silence haletant " |
