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Lebarde
11/9/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Vers libres en tercets pour parler de couleur,
Trois couleurs seulement, le « noir », le « blanc », le « rouge », En trois tableaux figés et froids où rien ne bouge, Atmosphère macabre à provoquer la peur. Pour le « rouge », le « sang » d’une scène de crime Pour le « blanc » éclatant, le hall d’un hôpital Pour le « noir », un cachot au châtiment fatal ; Ces sombres « visions », me font chercher la rime. Un schéma d’écriture assumé, reprenant, Pour enfoncer le clou, les mots et les entames, Convenant je l’admets à ces scènes de drames : L’écrit est réussi, l’effet est surprenant. Si Je veux oublier les fautes prosodiques, Les e non élidés, le mètre sans rigueur, La lecture des vers peut faire mon bonheur, Séduit par ce poème aux accents poétiques. |
Boutet
19/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
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L'enchainement d'un meurtre poétisé par les couleurs, ça ne manque pas d'originalité, l'acte, l'hôpital ou la morgue et la prison. L'ensemble colle bien à nos sociétés ultra-violentes. Bien imagé, le poème parle de lui-même comme un polar.
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papipoete
19/9/2024
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bonjour Dameer
On peut écrire sur tout sujet... mais celui-ci fort bien écrit, rajoute à la couleur des infos quotidiennes, son lot d'horreurs comme si celles-ci venaient à nous manquer. Tout est habilement suggéré, avec ces teintes qui ne sauraient mentir ; j'ai grand mal à partager ces sentiments, dont même la couleur blanche, fait froid dans le dos ! NB pour ne pas accabler l'auteur, je ne donnerai point de note, car chaque ligne trousse bien le thème ; mais la monstruosité de ce qui se trame ici, rallume trop de souvenirs à peine oubliés, repoussant comme pissenlits parmi les ronces. je sais qu'il est difficile de faire rire, à travers les lignes d'un poème, mais au moins sourire serait entreprise, tellement salutaire ! |
Dian
19/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Un style qui ne cède pas au sentimentalisme habituel et qui va droit au but. Une sorte de correspondance rimbaldienne revisitée.
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Jemabi
19/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Une construction basée sur la répétition qui donne au poème sa vision clinique et dont les variantes chromatiques nous ramènent surtout aux similitudes existant entre les trois situations extrêmes, où s'enchevêtrent vie et mort. Un poème-constat sans concession et visuellement très parlant.
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Robot
19/9/2024
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EDITION: J'ai finalement supprimé mon commentaire initial car je n'arrive pas à exprimer mon ressenti sans être trop négatif.
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Provencao
20/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Dameer,
Plusieurs lectures, et in fine la démence m'est apparue plus claire en votre poésie. Une fin de vie sans terme suffisamment distinct, qui n'est pas étrennée officiellement avec ces couleurs, et spécule donc que trop peu d'énergie et de prévenance qui en précède. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Cyrill
22/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Après la nouvelle, la poésie. Re-bonjour Dameer !
Trois tableaux, trois couleurs, chaque paragraphe respectant la même construction en offrant d'infimes variations. On peut à loisir les lire de façon chronologique ou les mêler pour en faire un unique tableau, dont la signification est laissé à l'imaginaire ou l’interprétation du lecteur. Il y a un côté systématique dans l’écriture, et un parti pris purement descriptif qui bride le ressenti et me laisse comme indemne d’émotion. Le locuteur n’est pas partie prenante des scènes décrites, il est en creux et semble se dérober à toute identification. Il reste en grande partie insaisissable, sauf à considérer la froideur avec laquelle il campe son décor. Il se peut alors que l’émotion de lecture se situe dans cette absence. Quoiqu’il en soit, un poème intéressant et questionnant. Je suis curieux d’en comprendre la genèse ! |