|
|
Artexflow
6/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
611 caractères, 19 heures de recherches sur Internet plus tard, me revoilà à commenter votre texte !
Car oui ce qu'on peut dire c'est que bienheureux est celui qui n'a pas eu à chercher le moindre terme dans le dictionnaire ! Au passage je n'ai pas trouvé pour Bairro. Un poème qui m'a donc été difficile d'accès mais dans lequel j'avais déjà reconnu la beauté. Et une fois les définitions sues, eh bien ! En effet ! C'est beau ! La conclusion est superbe, résume très bien ce poème qui sent bon l'Espagne, le Portugal et l'Orient. j'ai noyé l'amphore pleine de toi Bien joué pour ça, c'est très beau. En conclusion ? Une réussite, qui m'aura tout de même demandé un certain effort. Je pense que ce texte plaira sur Oniris, en revanche vous ne pouvez pas demander à n'importe quel lecteur d'être aussi curieux que les lecteurs de ce site... |
brabant
22/12/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Damy,
Chant où sont accumulées les rimes et assonances en "a" (Amour) et "(ei)ne" (Haine) où le poète revient et pleure sur son amour perdu d'une héroïne/amante fatale, Amour-Mort. "coulent la mort dans ta veine" Mythologie du Fado ! Exotique (Temps et Espace) en peu de mots = dans un concentré de mots et une concentration du/des sens/sens. Percutant. A analyser après le knock down infligé par un gaucher. La première fois on se retrouve par terre avant d'avoir compris d'où venait le coup. C'est déroutant un gaucher, on ne le saisit et le bat/l'assimile qu'au deuxième combat. Aïe ! Ouille ! Mais si ! ça fait du bien ! :) |
pieralun
22/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Comme je verrais bien ce texte dans la bouche et la musique latino de Bernard Lavillers; imagine le Damy tu verras..
Ce texte est incontestablement à lui seul une musique au point qu'il est nécessaire d'être concentré pour en percevoir le fond pourtant simple. Bravo pour cet enchainement de syllabes aussi esthétique et la triste petite histoire qu'il raconte. De la poésie |
Cristale
22/12/2012
a aimé ce texte
Passionnément
|
Loin du langage de tous les jours une belle densité de mots et une richesse géographique qui emmène le lecteur au delà de nos mornes horizons sur un tapis volant au couleurs du monde d'Aladin.
La lampe merveilleuse est la lumière spirituelle et intellectuelle émanant de ce poème où l'auteur fait pleurer ses tripes sur des vers mélodieusement douloureux dédiés à cette "Maria"... Quand la poésie s'écrit comme ici avec une majuscule, que dire de plus, que dire de moins ? Avec un TB+ que j'estime encore modeste pour une si jolie plume... et puis non! je note au dessus, ça le mérite! Merci de ce régal Damy Au plaisir de vous relire. Cristale |
Mona79
23/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Pas très facile à suivre, mais belle prestation. Sonorités agréables et dépaysement assuré. Bairro ? Quartier de Lisbonne, non ? Le voyage m'a plu.
|
Anonyme
1/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Je trouve ce poème très poétique. Il est doux, fugace, pur, mielleux, ecclésiastique. Ses termes lui donnent un aspect latin, espagnol et marocain. Je ne trouve rien à lui reprocher.
|
Titato
23/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un poème où je me suis laissé emporté, comme une petite feuille sur la seine ou sur le tage...et puis ça fredonne, ça volète, musicalement parlant, et là n'était pas chose des plus faciles, de par les rimes revenant, mais la musique est là, et qui porte plus qu'une tristesse, mais un vrai déchirement...dans la séparation comme dans l'exil, et cet "abandon" conté, presque forcé, et difficile, que je ressens ainsi.
Du Portugal à la France, un poème qui emporte vraiment, autant dans l'horizon qu'en des contrés plus intimes...et puis c'est un poème de vie, sur la vie, ce que l'on vit, ce que j'ai apprécié. Amicalement. |
RogerAngelo
16/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
sausade et la voix de Maria Bethänia, voilà ce que m'inspire ce magnifique poème avec ses rythmes lancinants de l'Orient au Portugal.
et puis, il se dégage de ce texte une sensualité magique qui rime docilement avec une forme de tragédie fatale. très beau! |