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leni
11/5/2014
a aimé ce texte
Bien
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j'ai tenté de comprendre Les gymnopédies étaient des danses entre hommes et enfants nus à Sparte Comment enchainer ce texte qui semble respirer le blues ou tout au moins une certaine tristesse C'est peut-être une danse triste dans une piaule foutoir Je ne veux pas barrer la route à cet écrit et je note bien
edit supplémentaire mon opinion après avoir lu les autres commentaires c'est que l'interprétation du texte est possible après réflexion mélange Satie Guinsbar mais que l'ensemble texte plus musique est très compliqué Une chanson devrait être plus simple C'est mon avis Salut cordial Leni |
Anonyme
26/4/2014
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai un peu le bleu à vous lire... c'est vrai que sans la voix ni la musique...
Lu sans être entendu, j'ai envie de vous dire, trop peu, trop "truc" à la Gainsbourg mais pas sur la même verve. Tout cela se noie évidemment lorsque cela entre dans la dimension acoustique... |
Anonyme
8/5/2014
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Bonjour Damy
Un hommage à Eric Satie à la façon de Gainsbourg. Au génial pianiste d'Arcueil, tu empruntes le titre. La"gnose nonchalante" rappelle sa célèbre gnossienne. Du chanteur, tu adoptes le style, littéraire et musical (bravo à Jules Box, le compositeur-interprète) et l'univers des piano-bars. C'est une excellente idée car l'un et l'autre ont marqué leur temps par leur talent (immense) et leur goût pour la transgression. J'ai adoré Merci Damy et chapeau bas devant ce blues gymnopédique. |
Pimpette
8/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très réussi!
Texte et musique...un beau mariage Pourtant j'entends mal les paroles. TU connais le célèbre mot de Satie? "ce n'est pas suffisant de refuser la Légion d'Honneur...encore faut-il ne pas l'avoir méritée" |
Anonyme
8/5/2014
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Je relève, dans ce morceau, les superbes harmonies à la guitare bien coulées sur un trois temps; je dis bravo à la mise en notes.
Pour le reste, interprétation et texte, je ne suis pas séduit plus que ça. |
Anonyme
8/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Damy,
La musique est bien évidemment non sans rappeler celle de Satie que j'ai pas mal étudié et que j'affectionnais tout particulièrement. L'atmosphère, à la fois vaporeuse et mélancolique qui se dégage de cette chanson, me suffit à elle seule pour l'apprécier. Elle m'a permis de m'évader et je trouve que c'est déjà une belle victoire en soi. Quand aux paroles et à la voix, je ne suis pas vraiment fan mais je les trouve tout à fait adaptées à la musique. Merci pour le partage ! Olivier |
David
11/5/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Damy,
La succession de scènes des passages invite à tisser une histoire, je trouve. J'ai imaginé le blues d'un pianiste de boite à striptease, ce n'est pas tant l'alcool qui ressort que le féminin qui apparait par ses apparences, le 3ème et le 2nd passage, le striptease est traduit en quelque sorte par "danse nue" mais il pourrait être imaginé une amoureuse ou une prostituée aussi sans doute. En bon public de piano bar à striptease, bien qu'ayant écouté la chanson, je n'ai eu d'yeux que pour les allusions géométriques, le désir est un théorème décidément, je ne sais pas si c'est le sens de ce mystérieux "gymnopédie". La voix m'a fait penser à Arthur H, ça demande un petit effort d'écoute pour la laisser se faire entendre, mais c'est parfois mon goût. |