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Robot
24/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Voilà un hommage tout en simplicité qui honore des poètes pour leur art et dont les strophes célèbrent pour chacun une forme où il a excellé.
Texte sympathique et léger. |
papipoete
28/1/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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voici de la poésie contemporaine (fort bien ponctuée) tissée aux fils d'or du savoir-faire des artisans scribes, écrivains, rimeurs!
Ces tercets aux rimes embrassées lumineuses, chantent si bien l'art de ces grands maîtres des mots au cours des siècles, qu'ils semblent une vitrine où s'expose, de chaque époque l'excellence aboutie! On comprend au final la préférence de l'auteur pour écrire l'amour, pour le sonnet d'origine italienne; Roméo anachorète sur une ile vénitienne soupirant pour Juliette? Infimes bémols; "du beau du Bellay" la sonorité me gêne "ne veux donner" je mettrais "je ne veux donner" |
Anonyme
18/2/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Cette évocation de nos maîtres anciens par ce petit poème n'est pas sans charme. J'aime bien tous les tercets même s'il existe quelques acrobaties pour faire tenir l'idée en si peu de mots. Par contre l'ultime strophe me déçoit singulièrement, autant de par sa construction que son idée : pourquoi réserver l'amour au seul sonnet et à l'anachorète ? |
Anonyme
18/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle réflexion tout en méditation. L'anachorète ne donnera sa main que pour écrire de merveilleux sonnets, rien d'autre. Et c'est déjà une belle île en soi...
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leni
18/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Damy
Une jolie ballade parmi les poètes dans leurs oeuvres Original et cool!!Salut cordial Leni |
Anonyme
18/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Damy... Un passage en revue de toutes les formes poétiques d'antan qui ne manque pas de charme... Dommage que le sizain final ne soit pas à la hauteur de ce qui précède...
Pour le fond tout d’abord... Pourquoi le sonnet serait-il plus adapté à l’Amour que d‘autres tournures poétiques de cette époque ? Mais soit... Pour la forme aussi car je pense que six vers hexasyllabiques auraient facilité la lecture... Toujours facile de critiquer après coup mais j’ai tout de même tenté de le réécrire à ma façon, que l'auteur me pardonne ! Mais, pour l’amour, poète, En vieil anachorète Je ne puis que donner, Isolé sur mon île, Et la main et l'asile Au merveilleux sonnet... Nonobstant cette chute qui me chagrine un peu, l’idée est bonne et l’ensemble de qualité... Merci Damy ! |
pieralun
18/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup de charme.
Un petit texte comme une toile née du pointillisme, le charme est impulsé par ces petits vers très courts. Très jolies strophes 3 et 4. Un ensemble poétique et original. À te relire Damy |
emilia
18/2/2015
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Un charmant poème original dans sa conception et qui propose avec une certaine malice le florilège de formes fixes qui définissent la poésie classique sous une sélection contemporaine, ce qui équivaut presque à produire une forme d’oxymore, en favorisant de plus les compétences mnémotechniques chères à la pédagogie dans cette suite séquentielle de tercets de même métrique 6/6/4 nous offrant le souvenir de quelques grands maîtres dans l’art de la villanelle, le chant du rondeau, la tendre ritournelle du virelai, le récit des triolets, l’élégance du lai, en passant par la ballade et l’aubade et, pour conclure, plaçant au sommet par choix, l’exigent sonnet qui, seul, saura satisfaire le poète anachorète et son chant d’amour…
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jfmoods
18/2/2015
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L'apostrophe générale ("Ô poète", impératif : "Parle-moi", "Chante-moi", "Récite") assortie d'une connotation visionnaire de la fonction ("aux yeux pers") ouvre le champ à l'évocation d'un florilège d'auteurs de renom ayant, au fil du temps (conjonctions de coordination : "ou" x 2, "et"), porté à leur apogée différentes formes poétiques. Cependant, ce qui marque plus profondément la lecture et se présente comme la ligne de force du texte, c'est le jeu d'oppositions entre la première et la dernière strophe (généralité : "vers" / exclusivité : "au seul sonnet", adjectifs possessifs : "tes" / "mon" x 2) dont le but est de mettre en relief, à la chute, la prééminence sur toutes les autres d'une forme poétique magnifiée parce que plus exigeante (modalisation : "ne veux donner", champ lexical de la solitude : "anachorète", "asile", "isolé", abandon de la rime pure au profit du glissement doux de l'assonance : "donner", "sonnet").
Merci pour ce partage ! |
Damy
19/2/2015
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Francis
20/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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De belles rencontres dans cette rétrospective originale et bien maîtrisée ! J'ai croisé leur plume au lycée, à l'université et je pense que ces poètes ont influencé ma perception des choses et des êtres.
J'aime le sonnet et l'utilise souvent. Je ne sais pas pourquoi ! |
Anonyme
21/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir
Du beau monde chez vous ....ça sonne juste et on pourrait en faire une ritournelle " Je serai poète, et toi poésie " de F Coppée Il me semble que vous devez être touche à tout ,je vais essayer de m'en faire une idée en me "baladant " sur vos textes J'ai aimé |