|
|
Robot
18/3/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
D'abord très visuel ces quatrains se déroulent en créant une atmosphère très sensible qui n'est pas sans rappeler le quai des brumes.
Le lecteur reçoit le dernier quatrain avec une violence contenue qui donne de la force à ce final. Un texte qui marque. |
Anonyme
23/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Comment ne pas penser à l'Amsterdam du grand Jacques ?
Des trottoirs de Manille aux bordels d'Ostende, il n'y a qu'un petit pas et ce poème classique nous le dit clairement. Sur le texte lui-même : De beaux vers entre autres : Où grognaient en pissant les ombres des marins. Ses charmes exhibés aux oiseaux de passage, Les marins, amarrés au ventre d’une fille, Ce que j'aime moins : Faveur à son corsage : le mot faveur me semble trop isolé. Sa mignonne gueule : l'inversion passe mal, peut-être que mignonne devrait être changé. Au final, un poème agréable et triste à la fois sur une réalité trop souvent ignorée ou plus simplement moquée. |
Myndie
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
*Edit:
Quelques corrections apportées à mon commentaire (effectué en EL). La relecture est parfois salutaire. Bien à vous myndie S’il n’a été votre source d’inspiration, c’est pour le moins l’ombre de Brel qui plane sur votre poème. On a quitté Amsterdam pour Ostende mais on retrouve les mêmes figures, les marins qui pissent et les filles de joie. Ne manque que la lune décroissée. Et cette fille fragile, n’évoque t-elle pas la Fanette qui mourut dans les vagues ? Mais pourquoi pas après tout. Puissance émotionnelle différente mais bien présente et votre poème recèle quelques pépites : « ses charmes exhibés aux oiseaux de passage » « les marins, amarrés au ventre d’une fille » (dont j’aurais supprimé la première virgule) Un très jolitexte, magnifiquement écrit. |
rosebud
26/3/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Comme je n'ai aucun doute que cette poésie sera éditée sur Oniris, je vais être dithyrambique: voilà la plus belle poésie classique qu'il m'ait été donnée de lire ici!
Et elle n'est pas près d'être égalée, parce que le talent est une denrée rare et qui semble se raréfier encore. Je serais incapable de dire "ce quatrain-ci me plaît mieux que celui-là" et c'est ce qui fait merveille: tout est absolument à sa place, avec des mots si simples et pourtant troublants, c'est-à-dire qu'ils étonnent de se trouver là où on ne les y attendait pas. Et ce ton distancié qui fait toute la différence avec les barbouilleurs de sonnets qui semblent courir échevelés en se tordant les bras et bramant leur douleur, comme s'il fallait pisser du sang et des mots convenus pour écrire de la poésie! Si je n'avais qu'un vers à garder - mais ce serait dommage - je prendrais le dernier: "Elle croyait qu'Ostende était mieux que Manille". Tout est dans le "mieux", si petit, si modeste et qui convient si bien à ce qu'on pourrait imaginer de la pauvreté de cette fille. C'est vraiment très beau! |
Pimpette
8/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
Damy
Une petite merveille celui là! Poignante histoire dans une prosodie parfaite! ce personnage modeste et tendre est bouleversant et mérite la voix haute... Ses charmes exhibés aux oiseaux de passage, N’ayant pour seul désir qu’une tendresse au cou, Elle osait un « chéri », sans réclamer beaucoup, Mais jamais n’accrochait faveur à son corsage. |
Francis
8/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
Magnifique contraste entre l'âpreté des décors ( ombres des quais, grognaient, mer blafarde) et la fragilité de cette fille (tendresse au cou, fragile, elle osait ). L'émotion est là, la pudeur aussi. Une belle plume qui transforme un fait d'hiver en pépites d'amour.
Merci pour ce partage. |
leni
8/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
OUI DAmy c'est superbe Bien sûr il y a Brel Et la Fanette Bien sûr il y a "Comme à Ostende"De Caussimon chanté par FerreEt il y a moi qui suis allé souvent derrière le casino désert voir les chevaux de la mer
qui fonçaient la tête la première... Et je repense ....à...si ça vaut l'coup d'vivre sa vie TON texte ne doit rien à tout cela il se situe dans ton ailleurs personnel avec des mots qui mettent dans le mille TU as créé ton climat avec le sensible à fleur de peau Je ne vais pas tout citer Mais les quatre derniers vers que je trouve superbes Les marins, amarrés au ventre d’une fille, N’avaient pas entendu son appel au secours : Une idylle pas chère et des gouttes d’amours. Elle croyait qu’Ostende était mieux que Manille. Je t'invite ce midi :langoustines et Rodnbach Salut amical Leni |
Anonyme
8/4/2015
|
Salut Damy
Avec ces quatrains où à chaque coin de vers plane l'ombre de Jacques Brel tu mets en plein dans le mille. L'ombre de Ferré, qui chanta Ostende, "quand sur la ville tombe la pluie" n'est pas loin non plus. Et sans doute, la jeune exilée de Manille se demande "si ça vaut le coup d'vivre sa vie" En tout cas c'est un super poème qui associe la maîtrise de l'outil classique et la force des images. Un très grand bravo. Merci Damy pour ce poème de très haut niveau. |
Michel64
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un poème poignant et très bien écrit.
La tristesse qui s'en dégage sur fond de port, de prostitution et de marins m'a emporté. Comme déjà dit, un Brel ou un Ferré auraient pu le mettre en musique, bien sûr. "Ses charmes exhibés aux oiseaux de passage, N’ayant pour seul désir qu’une tendresse au cou, Elle osait un « chéri », sans réclamer beaucoup, Mais jamais n’accrochait faveur à son corsage." Bravo Damy et au plaisir de vous relire. |
papipoete
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
bonjour Damy; elle avait la fille de joie, tant de tristesse au coeur, que son sourire rictus n'était qu'illusion! Son commerce ,proposait pour un corsage défait, un " chéri " contre un petit billet.
Par un matin aussi blême que que son emblème, elle rêva devant la manne possible de tous ces chalands, et s'aventura dans le marécage des marins poisseux; pires qu'à Manille, sans écouter son appel, ceux d'Ostende prirent la fille comme à l'abordage... Des alexandrins pesants, mouillés d'émotion, qui vous prennent aux tripes, comme coups de surin! Un récit pathétique à ne pas lire avant d'éteindre la lampe de chevet, on y verrait ces " sangsues " amarrées au ventre d'une fille, qui croyait Ostende différente! Le 2e quatrain est si doux au milieu de cet enfer. |
Anonyme
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour
beaucoup a été dit déjà sur votre beau poème. C'est vrai qu'il est très bien écrit et très pathétique - au bon sens du terme. A part Amsterdam de Brel ça m'évoque aussi un peu Marizibill d' Apollinaire. Que du beau monde quoi...et pour une fois j'arrive à apprécier le genre classique. Bravo. |
Anonyme
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Pour chanter les filles des ports de Belgique et d'ailleurs, il y avait Brel, Ferret et quelques autres... Aujourd'hui il y a Damy qui n'a rien à leur envier car ces quatrains sont vraiment extraordinaires par l'émotion qu'ils dégagent. Je vais quand même y mettre un léger bémol qui concerne ce vers :
La mer blafarde, étale, offrait tant de chalands ; Je crois que tu pouvais facilement trouver mieux que "étale" qui fait un peu cheville à mon avis... Par exemple... la mer triste et blafarde... C'est toi qui vois ! Autre chose, car qui aime bien châtie bien, ces deux vers ne sont pas très clairs à mon sens : Ses charmes exhibés aux oiseaux de passage, N’ayant pour seul désir qu’une tendresse au cou,... J'ai un peu de mal avec "une tendresse au cou" au point d'avoir compris "au coup" dans un premier temps... ce qui m'aurait également rassuré quant à la forme dans la mesure où Sorgel n'admet pas la rime cou/coup. Bon, ces quelques vétilles mises à part, ça reste malgré tout du Très bon Damy ! |
Automnale
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Damy, de son écriture coulant de source, propose, avec "Ostende", un modèle de poésie classique. Preuve en est que des mots simples, de notre époque, sont capables de dépeindre à merveille une atmosphère, transmettre des émotions.
De ce fait dit "divers", devenu un tableau de maitre, j'ai aimé, entre autres, la façon d'évoquer des petits jours chagrins, et le sourire tragique... J'ai vu la malheureuse livrant ses reins, ses seins puis sa mignonne gueule/Aux poupes des vapeurs peuplés de goélands... J'ai entendu son appel au secours : Une idylle pas chère et des gouttes d'amours... Hélas, Ostende n'était pas mieux que Manille... Tout ceci est magnifique. Cependant, j'ai un tout petit peu tiqué sur "Où grognaient en pissant les ombres des marins". C'est tellement connu, tellement du Jacques Brel ! En insérant ce vers, l'auteur a-t-il sciemment voulu accentuer la "couleur" (peut-être) ? N'a-t-il pas hésité ?... Et je remarque, de façon rapprochée, deux fois le mot "ombres" (oh, je pinaille !). Si j'étais un musicien, je composerais immédiatement une mélodie pour ce petit bijou de poésie fleurant si bon la mer du Nord. Bravo, Damy ! |
Anonyme
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour !
Qu'importe si on peut penser à Brel ,vous en avez fait un texte à la fois émouvant avec des mots coups de poing ,et réaliste malheureusement ... On lit bien la souffrance du manque d'amour , ce désir de tendresse Vous avez retranscrit admirablement cette solitude ,cette détresse ,ainsi que cette soif de vouloir certainement une autre vie ... Touchée par ce choix final ,qui semble le seul possible pour elle ! |
Gemini
8/4/2015
|
Je l'avais déjà lue sur un autre site. En fait, vous l'avez reconstruite. Retapée si on peut dire. C'est parfaitement réussi.
L'élagage fait toujours du bien. Peu de verbes faibles. Comme Alexandre, je crois que la rime cou / beaucoup est suspecte. Je ne l'ai pas trouvé chez Hugo (mais on trouve coup/ égout, coup /partout), et Musset fait coup / beaucoup. J'imagine que vous l'avez vue chez quelqu'un d'autre. Bon moment de lecture. PS : Trouvé chez Rimbaud dans Rêve pour l'hiver (cou / beaucoup) |
Anonyme
8/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
A ce stade des commentaires je ne trouverai rien à relever de plus que tout ce qui a déjà été écrit.
Un poème empreint de sensibilité et d'élégance envers ces femmes dont on oublie, la plupart du temps, qu'elles aussi ont une sensibilité. Très joli poème. |
Cristale
8/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Quand la poésie atteint un tel niveau que dire de plus que merci et bravo ?
Tout a été dit et je suis certaine que ces "ombres" répétées sont un écho volontaire de l'auteur pour souligner autant la noirceur de l'endroit que ces silhouettes anonymes de passage. De jolies expressions viennent adoucir un tableau assez sordide, telles que (entre autres) : "N’ayant pour seul désir qu’une tendresse au cou" ainsi que ce vers magnifique par ses allitérations "Aux poupes des vapeurs peuplés de goélands". Superbe ! J'aime la musicalité de vos couleurs poétiques. Bravo Damy ! |
Anonyme
8/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Eblouissant !
Tout est parfait, comme cela a déjà été dit ; chaque mot à sa place, simple et juste à la fois. Il n'y a plus qu'à se laisser porter par la lecture et apprécier l'ensemble à sa juste valeur. Un poème qui restera dans les annales ! |
jfmoods
9/4/2015
|
L'utilisation de l'imparfait comme temps de référence du poème (le passé simple : « pénétra » et le plus-que-parfait : « N'avaient pas entendu » en figurant respectivement l'événement et le non-événement) prépare une fermeture hélas trop prévisible. Personnifications (« petits jours chagrins », « les ombres des quais », « La mer blafarde ») et métonymies (« les ombres des marins », « ses charmes exhibés », « ses reins, ses seins et sa mignonne gueule ») avalisent tour à tour le caractère interlope du lieu et sa destination d'abattage sexuel. Cassure de la première phrase (en particulier l'adjectif qualificatif « fragile », abandonné inéluctablement au début du vers 2) et suite d'enjambements de la seconde, soulignent, entre resserrement et desserrement, l'excès, un équilibre d'emblée introuvable et que le reste du texte confirmera. La modestie relative de l'attente est entérinée par les tournures négatives (« N'... qu' », sans... beaucoup », « jamais n' ») ainsi que par le comparatif (« mieux que »). Les périphrases (« oiseaux de passage », « tendresse au cou ») et la formulation passe-partout (antiphrase : « chéri ») définissent le cadre infiniment étriqué de la perspective. Le vers 10, haché par 4 virgules (« À l'aurore, hébétée, elle y pénétra , seule, »), est à l'aune du déchirement, du désespoir traversé. L'enjeu mortifère est porté par la gangrène du nombre (marqueur de quantité : « tant de » et effet de masse, de disproportion, traduisant la monstruosité : « Les marins, amarrés au ventre d'une fille »). Un jeu de contrastes (« offrait » / « Livrant ») illustre un échange en quelque sorte obligé dans cette tractation du malheur. La construction en forme de chiasme (« Une idylle pas chère et des gouttes d'amours ») met en lumière le tragique auquel sont invariablement vouées les existences au rabais comme celle-ci. L'allitération en « p » (13 occurrences) matérialise une certaine dureté, tandis que l'assonance en « ou » (11 occurrences) suggère la douleur.
Merci pour ce partage ! |
Lulu
9/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Ostende ; j'adore le nom de cette ville... Il me fait rêver rien qu'en le prononçant. Je n'y suis pourtant jamais allée, mais souvent en est-il ainsi des lieux que l'on voudrait visiter. On leur attribue un côté exotique particulier.
J'aime beaucoup ce poème aux images très claires. Il n'y a pas d'ambiguïtés. Tout est perceptible. J'ai bien aimé l'expression des "petits jours chagrins" ; de même que le vers suivant : "Elle osait un "chéri", sans réclamer beaucoup". Vous dites tant dans ces mots. C'est beau et profond. En revanche, je n'ai pas aimé l'expression suivante : "sa mignonne gueule". Je trouve qu'elle fait tache par rapport à l'ensemble. Sinon, je me représente bien les marins, la mer et les goélands, le port et ce "Elle" si fragile... Un bien beau poème. |
Damy
10/4/2015
|
|
cervantes
13/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
Nouveau sur ce site, je ne me permettrai pas d'émettre un jugement négatif sur tel ou tel poème, tel ou tel auteur. Petit à petit, je lis les écrits de cet immense site, et de loin en loin je trouve des pépites, des chefs d’œuvre qui me touchent au plus profond de l'âme.
Votre poésie en fait partie. Elle est magnifique de fond et de forme. Je ne redirai pas tout ce que d'autres ont dit mieux que moi (Brel...) mais je tiens simplement a vous demander humblement de continuer à nous aider à Vivre par vos poèmes, votre humanité. Merci d'exister. |
Pussicat
8/5/2015
|
bonsoir Damy,
je viens de recevoir une claque ! je poursuis ma lecture des textes postés dans la catégorie "Poésie classique" et j'avoue ma surprise : la forme classique se fond dans l'universel d'un thème vieux comme l'origine du monde... vous osez l'enjambement avec audace dès le premier vers, et la suite déroule une histoire presque banale, déplumée, dénudée, sans fard et déjà lu mais qui sous votre plume prend des accents belgeois à la Brel, à la vie, à ces ventres qui crient, à ces bittes d'amarrage... et ce vers si beau, si tragique : "Les marins, amarrés au ventre d’une fille," Et ce regard extérieur, ce "Je" impuissant : "Je la voyais, là-bas, aux petits jours chagrins,...", qui est-il ? Magnifique ! Cette version d'un texte lu il y a plusieurs années, dans un ailleurs, gagne en force et vous avez bien fait. à bientôt de vous lire |
Vincente
3/6/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↓
|
Bonsoir Damy,
J'arrive un peu tardivement sur votre poème, mais je ne peux me retenir de vous faire part de l'émotion qu'il m'a procuré. On entre très vite en affliction en regardant avec vous cette frêle jeune femme. Vos "prises de positions géographiques" me semblent les bienvenues pour installer votre récit dans un cadre aux paysages familiers, avec Brel, les ports et leurs marins en errance, les filles de joie... Ostende, et la figure dépouillée de l'émigrée. Tout cela, redit avec vos mots singuliers, en fait une retrouvaille par un autre chemin. Vous nous plongez de suite dans ces airs gris de vie en sursis, sans temps mort... De la détresse de ces "lieux communs", vous nous faites subir l'immersion du corps désespéré de votre sujet, cette jeune femme dont je vois le suicide physique dans la troisième strophe. Il suivait le suicide affectif qui lui faisait quémander par "un chéri" l'amour d'elle putain. "Nayant pour seul désir qu'une tendresse au cou " n'est-ce pas la corde de l'étranglée ? "Elle osait un "chéri", sans réclamer beaucoup," Tout ce déroulé est aussi pathétique que beau. Je me surprends à être heureux de profiter de cette tristesse qui vous a inspiré ce tableau, je devrais en avoir un peu honte et vous en vouloir tout de même un peu ! et bien non, je m'en réjouis ...! |
Anonyme
10/8/2017
|
Bonjour,
Contrairement à la plupart des lecteurs, je ne suis pas arrivé à entrer dans ce texte. Quelque chose d'indéfinissable me met à l'écart sans que je puisse véritablement dire de quoi il s'agit. Une impression de "déjà-lu" peut-être, ces ombres de marins qui grognent en pissant sous les ombres des quais...comment dire... on a là une lourdeur qui me gêne. Bien entendu l'allusion à la chanson de Brel est transparente mais est-elle utile ? Je n'en suis pas persuadé (ou bien suis-je précisément persuadé du contraire ? ) Votre Ostende n'est pas le mien ; le mien restera probablement à jamais celui de Jean-Roger Caussimon mais c'est probablement une question d'âge...moi qui suis vieux comme l'hiver ! Je préfère ne pas mettre d'appréciation pour ne pas gâcher le bel ordonnancement des louanges qui précèdent. A vous relire. |