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Vincent
15/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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avec votre texte j'entre dans un monde
un monde inventé dans lequel je me trouve bien vos couleurs et vos sons sont ceux que je recherhe la texture aussi particulièrement La mousse-laine Qui recouvre les cœurs Dormant à la fontaine ; |
Anonyme
29/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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Belle musique des mots et cavalcade douce d'images dans ma tête...
Je préfère la deuxième question, plus "profonde" à la première essentiellement esthétique en espérant que vous n'avez pas voulu jouer avec les sons pour jouer avec les mots... |
Purana
30/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un joli petit poème écrit sous une forme originale et avec des mots très évocateurs.
J'aime l'ambiance presque médiévale et je trouve les interrogations délicates et timides. L'ensemble nous offre un texte agréable à lire, comme si l'on regardait un monde plein de douceur à travers le prisme d'un globe transparent. Merci pour ce partage ! |
Robot
14/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le charme de ces quelques vers emporte plus loin que les mots, car la vision des images, la subtilité les métaphores, le jeu des sonorités, concourent à la beauté de ce poème, si court mais d'une expression tellement dense.
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jfmoods
14/4/2015
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Le jeu des anaphores (« Es-tu », « Ou bien ») matérialise le vague refrain de ce diptyque. Malgré l'absence de rimes, l'écho des tétrasyllabes, des hexasyllabes et des signes de ponctuation à l'intérieur de ce texte constitué de deux phrases souligne l'équilibre de chacune des parties. La présence subtile des cinq sens (vue : « carmin », toucher : « peau », goût : « menthe », « fontaine », odorat : « flacon renversé », ouïe : « mon rire ») ainsi que la répartition des pronoms personnels sujets (« tu » x 2, « j' ») suggère l'image d'un couple amoureux, de l'harmonie dont il se trouve auréolé. Le complément de lieu (« Où brûlent des épines ») laisse entendre que tout rapport conflictuel est aboli. L'étrange métonymie (« pli carmin de l'étoffe ») semble avaliser la présence de lèvres métaphoriques, tandis que « la menthe », dont le parfum plane, pourrait désigner une bouche qui s'apprête à déposer un baiser. Le champ lexical de l'ensommeillement (« étendue », métaphore : « la peau du sommeil », « rêve », « dormant »), le glissement néologique (« mousseline » / « mousse-laine », qui transmue légèreté en épaisseur), le recours au pluriel (métonymie : « les coeurs ») ainsi que l'utilisation du mot « sort » plaident pour une interprétation fantasmée de l'évocation amoureuse.
Merci pour ce partage ! |
Francis
15/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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De belles métaphores conduisent le lecteur dans un univers d'une grande douceur, presque magique. Tous les sens sont en éveil. L'encrier du poète est devenu le flacon d'une fée.
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Anonyme
16/4/2015
a aimé ce texte
Bien
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Belle forme, de belles images, une belle musique, mais qui est ce « tu » dont il est question ?
Pour moi le mystère reste entier, et un peu comme avec le second degré de certains textes que je n'atteins pas, je m'en retourne ignorant, pas vraiment touché, titillé certes, vaguement intrigué, mais comme il y a déjà tant à percevoir, sentir, comprendre, là où l'objet de l'écriture est moins caché...je passe. Peut-être que le titre pourrait donner une indication, s'il était différent. Cordialement. C. |
Anonyme
17/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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De belles images, ce qui donne à ce poème un attrait fort poétique en phase avec la forme choisie.
"Es-tu mon rire ?" "Es-tu le rêve ?" Deux questions essentielles, donc, que se pose ce mystérieux personnage... |
Bleuterre
23/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle simplicité apparente du verbe dans une recherche savante de sonorités et d'images ....
j'aime énormément l'image de "la menthe à l'orée de mes cils" |
Anonyme
11/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Tout est joliment, sauf là où j'accroche " La mousse-laine ", pas facile à prononcer à haute voix, et l'image ne paraît particulièrement agréable.
L'ensemble du poème m'a fait le témoin de belles sensations. Il y a aussi un petit côté décalé dans le phrasé engageant qui m'a surpris aimablement. J'aime tout particulièrement cette strophe : " Le pli carmin De l'étoffe étendue Sur la peau du sommeil ; " |