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Robot
7/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Les adjectifs donnent une lecture grandiloquente à un texte qui aurait mérité une expression plus directe pour en renforcer l'impact. J'ai plus apprécié le fond que la forme; Le dernier quatrain est soit superflu soit mal placé, j'aurais bien vu ce poème s'achever sur "tachant à jamais les cieux" plus poètique que le vers "de tes funestes heures".
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leni
23/8/2015
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triste page d'histoire écrite par un hérédo- syphilitique Devoir de mémoire c'est toujours utile La forme est un choix de l'auteur J'y suis peu sensible Mais il en faut pour tous les gouts
Salut cordial à vous Leni |
Anonyme
23/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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A sa manière, trop grandiloquente pour le sujet, ce texte nous rappelle une des périodes les plus terribles de l'histoire contemporaine.
Plus précisément l'asservissement d'un peuple aux idées et promesses d'un illuminé. A mon avis, l'apostrophe du dernier quatrain n'était pas utile. Nous avions compris... " Les pantins aux chants partisans Jettent une botte devant l'autre " je trouve cette image assez visuelle. |
Blacksad
23/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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Un sujet original mais qui mériterait un peu plus de subtilité je pense. Des formules (trop) premier degré (ex : bourreaux d'enfants, pillards des arts élégants) avec un ton presque lyrique qui me semble excessif.
"Le ralliement à la moustache" donne un côté tragi-comique par exemple, on ne sait plus si le texte cherche à émouvoir, à dénoncer, à décrire, à faire rire... Ca aurait pu être un texte superbe car il y a une bonne idée de départ et certaines tournures agréables, mais là, je n'arrive pas à rentrer dedans... mais c'est évidemment subjectif. |
papipoete
23/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour danyle; un moustachu fou, peintre à ses heures de vierge à l'enfant, promit monts et merveilles à un peuple affamé. Il en tînt certaines au prix de "quelques détails de l'histoire", comme l'affirmerait Jean Marie "le borgne"; mais la fin du rêve fut noire, sous la cendre d'un bunker et celle des bombes sur Dresdes! Ainsi se tût le "Führer" à jamais...
Votre tableau vert de gris est bien illustré, mais je qualifierais plutôt de "contemporaine" votre chronique, avec ses phrases complètes. |