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Anonyme
23/5/2008
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Eh bien ... sincèrement, je ne comprends pas grand-chose à ce texte ... et pourtant j'en adore les sonorités. Dommage, j'aimerais en capter plus, mais même après plusieurs lectures, beaucoup de choses me demeurent obscures.
Oui, tu nous parles de ton pays, de ta langue ... et j'aimerais bien comprendre, j'aimerais bien ressentir mieux. En tout cas, musicalement parlant, j'ai beaucoup aimé. |
Anonyme
23/5/2008
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Assez provocateur, David est coutumier du fait...
"Aux contrats d'adultère et aux désirs d'inceste" par exemple... Second degrès, espérons le. Moi aussi suis perplexe, c'est quoi ta secte? La dernière strophe me plaît... J'ai pas trouvé la clé du poème non plus... Edit: moi aussi je me fous des trousseaux de la compréhension, pourtant ici comme un certain malaise... Pardon... |
Ariumette
23/5/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai adoré! Comment expliquer un ressenti étrange! La clé de ton poème, pardon mais je m'en moque! Comme une peinture abstraite on en fait ce qu'on veut... Alors, je lève ma plume à mes non dits pesants!
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Anonyme
23/5/2008
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"A tous mes liens" - "Aux aveux" - "Aux vols" - "Aux contrats"... etc...
Ensuite ? On leur dit merde ? On leur jette un seau d'eau ? On leur envoie un huissier ? Bref, à tous ces gens-là, on leur fait quoi ? Et donc, une sensation de manque, d'inachevé. C'est un peu comme si un orateur commençait son discours par "A vous, mes camarades des mauvais jours, à vous braves commères de ce quartier mal famé, à vous sales garnements..." puis descendrait brutalement de l'estrade, comme ça, sans tambour ni trompettes ! Alors, si c'est pour aller pisser un coup, vu l'urgence, OK. Mais qu'il remonte sur l'estrade et continue son truc, bon sang ! Cela dit, de très belles formules et une musicalité certaine. Donc - et suivant la cotation « Ninjavert » - je mets « j’ai beaucoup aimé ». (Pour en savoir plus sur cette cotation, voir le thread Evaluations : j’adopte « l’échelle de Ninjavert », sur la Grand Place d’Oniris.) |
Anonyme
26/5/2008
a aimé ce texte
Un peu
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"Mieux vaut cuit et saignant, que tartare à tout âge". Que voilà une métaphore pour le moins culinaire, mais tellement percutante.
Comme les autres, j'ai un peu l'impression que tu n'es pas arrivé là où tu croyais. Les mots quelquefois sont de fameux trompeurs. Très bonne versification, mais la musique qui en résulte ne suffit pas tout à fait. |
Christo
3/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Chapeau bas.
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Fattorius
3/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Les vers 5 et 7 sont trop longs, et quelques hiatus pourraient être gommés (aveux/aux, sang/à) pour une meilleure fluidité de ces alexandrins par ailleurs bien fichus, qui ont une certaine force expressive. Merci!
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Anonyme
3/3/2009
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J'aime la férocité des mots, les phrases qu'on dirait jetées... aux hyènes et aux loups.
J'aime la voix que j'entends. Son souffle. Je n'en vois qu'un pour chanter ça. Ferrat. C'est lui que j'entends quand je lis ce poème. |