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Anonyme
6/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très beau sonnet, fluide et sonore à souhait. Un bémol pour le dernier rejet, qui a du mal à passer.
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FIACRE
6/6/2009
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Dommage le " font mes passions " contraint à une diérèse pa-ssi-ions lourde à la mâchoire.
Sinon le sonnet sonne bien recousu. |
widjet
6/6/2009
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J'a tout compris. Et en plus j'ai bien aimé.
Widjet |
Anonyme
6/6/2009
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Je n'ai pas aimé "en toute attenti-on" peu fluide pour moi. Mais tout le reste du poème m'a plu, ces désaccords intenses qui s'appaisent en réconciliation, et une dernière strophe très heureuse à mon sens.
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Anonyme
7/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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"Cadavre exquis: jeu collectif inventé par les surréalistes vers 1925."
Je n'ai pas compris, moi. Ni le titre, ni le poème. Cela ressemble à un poème d'amour dans la forme, je suppose qu'il n'en est rien. Le "Poème vert" de l'intro ne m'a pas trop aidé, s'agirait-il de la Terre? Un poème "écolo"?.. En tout cas j'aime bien l'écriture ici, la deuxième strophe aura ma préférence. Force et inspiration! |
thea
7/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai beaucoup aimé...bien qu'un doute sur là, où tu as voulu nous emmener..mais reste le talent ..les mots..j'aime c'est tout
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nico84
7/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J’ai bien aimé la manière dont tu présentes la mort de cette femme, qui devient belle aux yeux de son mari fou qui n’a plus à entendre son désaccord, sa révolte. Entendre sa voix tout simplement. Bravo pour ce paradoxe fond, forme, le ton et la réalité. Très bien rendu.
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LeopoldPartisan
8/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il y a dans ce sonnet une élégance gainsbourienne qui me plait pas mal. Un doute m'assaille alors : suis-je mois aussi l'un de ses pervers qui ont clamés avec force que l'amour est sans issue, à moins que l'un des deux trépasse, l'autre de préférence.
Rien à dire pour ma part sur la prononciation, ni sur la versification etc. car personnellement je n'en ai cure ni regret. L'important étant finalement que le corps de Marilou repose sous la mousse. |
Anonyme
9/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'adore l'humour noir de ce poème.
Un fou furieux de sa femme/amante qui lui a sans doute fait des misères. Et lui il l'a tuée et sans doute lacérée de lames pour ensuite recoudre ses plaies. Et les siennes en même temps. Pour la garder un peu comme une momie "le buste" (Taxidermie ?) Ou bien s'agit-il d'un psychopathe qui dépèce des femmes et reconstitue une femme parfaite avec les morceaux choisis. (suite peut-être à (encore) une femme qui lui aurait fait du mal) bon, ok, je suis influencé par tous ces thrillers morbides que l'on peut voir depuis un certain temps sur nos écrans. Mais ton poème me fait penser à un peu tout ça. En plus je trouve ça assez remarquable de mettre ceci en sonnet. |
hayley
12/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup la fluidité de ce poème, il se donne à boire frais comme au revers des mots : "Alors j'ai pris sur moi, Poussin, de te recoudre, et rendre l'opaline au lieu du vermillon" me parle comme la peau peut porter un message. Un poème cousu de fil d'or !
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pieralun
23/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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glacial mais très beau dans le rythme et dans les mots
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CharlesVerbaud
6/11/2012
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Une erreur de rime aux quatrains, la rime masculine est plurielle au premier, puis singulière au deuxième.
Erreur aussi dans l'alternance des rimes aux tercets : juxtaposition de deux rimes féminines buste / épanouie. Hiatus tu es au vers 12. A vrai dire je n'ai pas compris grand chose. Est-ce le mythe de Frankenstein revu au féminin ? Pourquoi le monde est-il plus juste à la fin ? Parce que vous l'avez tuée ? Le principe du cadavre exquis est de faire compléter au fur et à mesure un texte par divers auteur qui ne connaissent que la fin de la phrase précédente. Est-ce ce que vous avez fait ? Ce texte me semble avoir ni queue ni tête. |