|
|
Anonyme
28/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Comme disent les jeunes: MDR!
Pauvre Hervé........ Sérieusement: un talent génial dans la parodie et le détournement. |
Anonyme
20/2/2009
a aimé ce texte
Bien
|
J'étais passé à côté de çui-ci... Assez bien trouvé la reprise "nous n'irons plus jamais/Nos nids rompus jappaient"... Bien poilant même si des nids qui jappent... CUIOUAFFF?
Bon sinon c'est du GRAND n'importe quoi, n'importe où, pas forcément n'importe comment... Ah oui, petite mention aussi pour "l'orque hurle à l'épaularde", pourquoi ça? Ben je ne suis pas bien sûr de le savoir moi-même... Bref je salue le travail (d'avoir écouté "Mortcouenne"... Heu Vilard, en boucle pour nous pondre ça...) Merci David, merci... |
Caly01
15/6/2009
|
Plus qu'étrange ce texte... J'ai du mal à le digérer.
Je vais en lire d'autres pour me faire une nouvelle idée, qui sait? |
silvieta
12/1/2017
a aimé ce texte
Passionnément
|
Des "laborinis" aussi, ces quatrains parodiques dont les rimes parfois très riches charrient blessures et violence (épées...hyènes...échardes...).
On ne comprend pas tout sinon qu'il s'agit d'une dispute, d'une rupture peut-être, mais la force des sonorités, des jeux de mots et des images, en particulier les antithèses telles que "palombe/plombe" ou "pleurer/hyènes" nous soulève au delà du signifiant pour nous plonger dans les profonds signifiés de l'inconscient. Je garderai longtemps en mémoire les extraordinaires "nos nids rompus jappaient à faire pleurer deux hyènes " et le refrain "CAPRICE INFINI", tellement et encore plus beau que son prédécesseur Hervévillardesque. |