|
|
lotus
16/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'aime beaucoup ton texte et l'idée de ta supposition, que je devine ardente comme la braise.
Ebullition, volcan, braise, feu, fournaise...laissent entrevoir une passion brûlante. Je n'ai pas compris pourquoi un point d'interrogation en troisième ligne du premier quatrain. Détail de ponctuation qui n'enlève rien à la qualité du poème. |
Anonyme
16/2/2009
a aimé ce texte
Bien
|
La passion sera tellement brûlante que les carottes seront carbonisées...Et alors, ce sera la fin des haricots. Il y a de quoi en avoir gros sur la patate...
Placer "les carottes sont cuites" dans un sonnet classique, fallait le faire! Bravo! Foin de mes piètres jeux de mots potagers de potache (rustre et malpolie), j'aime bien ce sonnet. Qui malgré tout manque à la fin d'étincelles. On était en plein dans le feu de l'action, et plutôt qu'une supposition, j'attendais une éruption, une pointe, une érection volcanique, en quelque sorte. |
marimay
16/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour David,
Elle regarde les lignes de fuite et tu regardes la ligne de son cou : approche silencieuse et séduction ! Tu avances plus vite qu'elle, encore un pas... j'aime bien ce dernier vers qui ne dévoile pas le dénouement. |
Anonyme
16/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Effectivement un très beau poème, un peu à deux vitesses, à deux regards...
J'ai vraiment apprécié, merci David |
FredericBruls
16/2/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Très joli en effet. Oniris serait-il donc un site de poètes (a) mateurs ?
Ps : le rapprochement du verbe "ébruite" du premier vers et "bruit" du deuxième vers m'a quand même un peu gêné. Mais ce n'est pas bien grave. |
Anonyme
16/2/2009
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime particulièrement le vers des "carottes" Vraiment bienvenu.
Petite réserve quant au début sinon rien à dire. C'est bien. Merci |
Anonyme
16/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Original, drôle et bien écrit!
Très plaisant en tous cas! |
Nongag
17/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Vite au motel! (Hi Hi!)
Ça couve, les braises sont ardentes... Beau poème sur le désir, cette magnifique manifestation de la vie. |
kullab
17/2/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Tout un programme : d'abord on cuit des carottes à feu doux et puis hop ! on finit dans un volcan en ébullition !
J'ai bien aimé le mélange des champs lexicaux (c'est comme ça qu'on dit ?) du feu et de la route. |
Anonyme
18/2/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Une très belle idée.
Un poème tout en douceur. Quand même un cht'iot bémol pour "les carottes sont cuites"... "Si les raves ne sont pas cuites, on commenc'ra par les choux..." Ah oui, aussi une belle limpidité à souligner, David sait être clair...? |
Anonyme
18/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Il y a comme un ralentissement de l'action, tout semble décortiqué. On sent l'approche à patte de velours, une toile qui se tisse.
C'est un poème vraiment plaisant. |
Anonyme
21/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Oh moi qui n'aime rien tant que le moderne, me voilà faite par un drôle de classique ! Quelle délicieuse ambiance, quelle retenue, quelle fantasmagorie développée dans ces possibles. J'aime beaucoup.
|
Selenim
25/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un beau poème sur le désir et l'attente.
Je m'interroge sur la pertinence de ce point d'interrogation: "M'imaginant sans voir où sont posés ses yeux ?" |
jfmoods
3/2/2015
|
Les italiques, qui marquent le questionnement intérieur de la femme, préfigurent le basculement de la narration (omnisciente à interne) dans les trois dernières strophes. Je crois que c'est l'abondance des formes négatives - ou exprimant l'image d'une négation - (« rien ne », « sans » x 3, « non plus », « n'... que », « sinon », « n'... plus que ») qui fait immanquablement penser à Mallarmé. Tu cultives volontiers une certaine forme de cloisonnement. C'est moins le cas dans ce sonnet, dont le sens est plus explicite. J'aime le caractère enchanteur de ce passage, cette échéance, toujours repoussée...
« Sans pouvoir retenir d'aller un peu plus loin. Restant sur ses talons, je couve cette braise. » Ce rapport si particulier au désir me renvoie à la fin du poème « Tes pas », de Paul Valéry. « Car j'ai vécu de vous attendre, Et mon coeur n'était que vos pas. » Merci pour ce partage ! |
David
8/2/2015
|
Merci à vous, quelques mots par ici
|