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Anonyme
20/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ain vraiment aimé.
Primo pour le titre où je vois une référence implicite à Noir Dés' mais je peux me tromper! Ensuite le poème: c'est loufoque, fou, original. J'adore! J'adore ces vers en prticuliers: "Alors le ciel tomba, l’aplatit comme un taon, Pour en faire un vinyle, et ses plumes de paon Ne feront plus la roue, un sillon sous la plaine. " Par contre je suis plus réticent sur ça: "À se vautrer languide au ruisseau tortueux, Ses larmes s’y jetaient, des cercles vertueux Caressaient son visage, et puis ce fut novembre." C'est trop plat, un peu fade, presque cliché, mais est ce volontaire? Peut être, vu la quantité de double sens du texte. Bon je vais pas bouder ma joie non plus! |
Anonyme
20/11/2009
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J'aime particulièrement la phrase de résumé^^, la première partie...
Et je sais pas les tercets me plaisent moins. Alors mon commentaire ne te servira pas à grand chose parce que je vois pas comment décortiquer mon manque d'accroche pour la fin. Je peux te dire que je trouve les quatrains très musicaux. Les tercets un peu... plus vagues, mais plus fortes dans les images. J'aime bien le ciel qui tombe. Mais je sais pas y a un truc... bref, je ne note pas... je commente parce que j'ai lu et que je veux te livrer un ressenti que j'arrive pas à exprimer... désolée. Et merci! |
jaimme
21/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai relu plusieurs fois. J'y vois un sens, ou deux, annoncés par l'exergue. Cueille le jour, idiot de Narcisse, sinon décembre va arriver à grand pas et réduire tes ardeurs à néant! Même si en septembre de ta vie tes larmes t'empêchent de jouir (oups...) de la vie!
Je n'aime pas trop l'image du vinyle, je la comprends bien (je pense) mais elle m'arrête un peu dans le contexte. Belle idée. Traitement original. J'aime assez. Merci David. |
lotus
21/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pas con du tout une érection...je ne m'étends pas...sur l'intro...
Texte traité avec un style "Davidéen" que j'ai lu avec plaisir.Il m'a fait penser au texte "le lait des narcisses" que tu connais peut-être. Les métaphores déroutent et l'imagination du lecteur doit faire son chemin par delà les mois et les saisons.Les plaines sont vastes et les reliefs, pointus...comme ton langage. |
pieralun
21/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne savais pas que l'admiration de soi pouvait aller jusqu'à l'érection.
Beaucoup de rythme dans ce sonnet, de l'humour également: j'ai bien aimé la chute. Un très bon texte |
Anonyme
21/12/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je n'ai rien compris.
Mais qu'importe, j'ai pris plaisir à lire et à relire ce texte. La prosodie est nickel chrome, les tonalités très agréables. On ressent plus la musique des mots que leur signification. L'humour est omniprésent, un humour plutôt loufoque, à commencer par ces rimes en "embre" dans les quatrains. N'importe quel grimaud trouverait trop fastoche de faire rimer entre eux les mois d'automne, et d'une certaine façon il aurait raison. Mais ici, cette liberté apporte au lecteur incrédule un surcroit de plaisir. Le premier tercet, sans relief, permet de reprendre son souffle avant le second, complètement frappadingue. Merci, grand merci à David pour ce moment jubilatoire. |
Damy
11/4/2010
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Cela ne vous servira probablement de rien de vous dire que je n'y ai rien compris, m'évertuant pourtant à dénicher l'érection..."chaque membre"? "Au ventre"? "Les pics en créneaux"? le "paon"?
Tant pis pour moi, car la musique y était... |
Anonyme
11/4/2010
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Est-ce la nymphe Écho qui altère ma compréhension ? Je ne sais et le dis sans modération : je n'y ai pas compris grand chose. Le "sillon sous la plaine" est trop profond pour moi.
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David
11/4/2010
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Quelques mots et les réponses aux commentaires par ici
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