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Scrib
21/3/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Étonnant... : tombeau funéraire, marbre assassin, plénipotentière ambassadrice, tombeau poétique...
Où est le fond ? Cela me semble une suite de mauvais mots... Pourtant d'habitude, je lis volontiers David, mais sur ce coup-là, j'ai presque envie de le dire (c'est facile...) : " Tu aurais du le faire..." en parlant du titre... |
widjet
21/3/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Il y a de la recherche, du travail et de l'implication dans ces quelques vers mais aussi de l'opacité dans leur compréhension, je dois bien l'admettre (enfin d'après moi).
A encourager malgré tout. J'encourage :-)) |
calouet
21/3/2008
a aimé ce texte
Un peu
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De la simplicité merde! Sérieusement, david, je n'ai rien contre toi, au contraire, mais là j'ai l'impression que ce texte a été écrit pour toi bien plus que pour de potentiels lecteurs... La recherche lexicale, la qualité des sonorités, la précision des pieds, le travail d'un façon générale, tout ça tu l'as fait. Mais le fond David?... C'est incompréhensible, pire que nébuleux, c'est hermétique...
Tu auras sans doute de belles "notes", de la part de lecteurs poètes qui aiment à lire ce qu'ils ne comprennent pas, pour le simple plaisir de flâner entre deux idées, de gambade au sein d'une myriade de jolis mots... Mais pour un bourrin dans mon genre, c'est totalement indigeste. Joli, mais indigeste. |
David
18/1/2009
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Merci pour vos commentaires, c'est vrai qu'en poesie surtout, les lecteurs sont plus rares que ceux qui en écrivent. J'ai pensé au titre d'abord, même si vous ne me le notez pas, il n'a pas du tout jouer son role il me semble, j'ai pensé à le remplacer par "érotomanie et nécrophagie" mais non, c'est pas terrible alors:
Colocataire Tu es propriétaire au moment de l’écrire La plénipotentiaire ambassadrice en pire De ses reflets polis, sous le marbre assassin Des rêves avertis, trêves de traversin Tu es thuriféraire à la malencontreuse Ce bûcher funéraire à la sèche pleureuse A la gorge ployée, dont ne sourd aucun son L’étranglement mené de rencontre façon Tu es l’auriculaire à sabrer sans remord Pour revivre à l’envers un félon réconfort Au sofa du déni où s’acrobatent en tout Un qui reprend, merci, tes jambes à son cou D’un mot crépusculaire au caveau poétique Où gît alimentaire un autre émoi clinique Elle lui trace un cordeau, croc en jambes mauvais Où il courre à tombeau ouvert comme un damné C'est l'histoire d'une rencontre ou de deux paires de jambe. Voir aussi: http://www.oniris.be/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=2253&post_id=22793#forumpost22793 |
nico84
23/3/2008
a aimé ce texte
Pas ↑
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David, moi aussi je t'apprécie mais là, même si je t'encourage fortement à écrire, à partager, échanger, je n'ai vraipment rien compris de ton poème et de ton intervention.
Je pense donc qu'il faudrait ouvrir un forum pour que tu puisse répondre ànos interrogations. Merci en tout pour l'effort :) Le 8, "pas assez travaillé" est peut être ici "trop travaillé" ou "trop hermétique" à mon goût. |
Anonyme
27/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bon, j'ai lu le poème, après j'ai lu ton forum explicatif et
j'ai relu le poème... Des mots m'étaient inconnus, mais le fond est relativement clair je trouve... "écrire, rimées, Apollinaire, tombeau poétique..." Pas plus hermétique que beaucoup d'autres poèmes présents sur le site, en tout cas pas pour moi, pas de références mythologiques obscures ni une multitude de mots savants... Bref pas si opaque que cela. Très imagé, bien rythmé. Pas mal du tout à mon sens. |