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Anonyme
28/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'auteur s'est imposé une jolie contrainte: dissimuler des rimes, souvent riches, au coeur de ses vers qui en sont dépourvus .
C'est d'un très bel effet. Ces vraies-fausses rimes donnent toute sa force à ce poéme. |
Anonyme
28/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tu as classé cette poésie en "classique"; soit, elle est faite d'hexasyllabes et d'alexandrins, mais c'est plutôt sa modernité qu'on retient avec ses rimes décalées qui forcent le lecteur à avancer, et l'emmène de vers en vers, de strophe en strophe. Pour cela ça me rappelle l'écriture de Jacques Réda.
De très belles images: "la règle graduée de ma frousse"; "épingler des soleils"; "il neige à mes trottoirs". |
Anonyme
28/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoups d'effets raffinés et agréables. De l'élégance qui ne lasse pas, un esprit poétique qui sait dire la tendresse sans la guimauve.
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aldenor
28/12/2008
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Trop d’énigmes à démêler. J’ai eu beau tourner et retourner le rébus de la fin ; rien à faire. Encore heureux que tu nous en prévienne. En fait tout a l’air de cacher quelque chose dans ce poème, à commencer par Love d’Ikare (Vol d’Icare ? lequel encolle ses plumes ?).
Sur la première strophe, je surnage et d’ailleurs je la trouve bien belle. Encore que je me demande pourquoi il n’y a pas d’e muet à « caché ». Ce qui prouve sans doute que je n’y surnage peut-être même pas. Les énigmes, je n’ai rien contre en tant que langage poétique, surtout quand on parle de l’enfance. Tant pis pour moi si je n’ai pas su comprendre. Maintenant, si on venait me dire qu’il n’y a aucune énigme ici, que ce poème doit être pris au premier degré, juste pour la séquence des mots qui le composent, alors non, je me sentirais pipé ! |
FIACRE
28/12/2008
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Juste se laisser porter par des sons, des images au couchant net de l'hiver.
Ouvrir sa " trousse " et respirer à plein souvenir. |
lotus
29/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Le titre est un mystère pour moi, comme le texte...J'ai eu plaisir à lire et relire mais me suis perdue non dans la beauté des mots, mais dans le sens profond d'un texte que je voyais d'avantage en poésie moderne.
Je salue cependant ce don de l'intrigue, car là, je suis intriguée. |
Anonyme
29/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Encore un sonnet qui se cache, David adore cela... Moi aussi.
"Je n’écris plus ton nom Tout au fond de ma trousse Belle écriture. Le premier quatrin est superbe David, vraiment. J'aime assez ces images de western punitif (plumitif) qui se collent à l'amour... |
Anonyme
29/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Encore un poème de l'auteur à la musicalité peu banale. Des images tout à fait intéressante si ce n'est "la météo des coeurs" que j'aime moins. Je cherche encore à comprendre ce titre énigmatique. Le seul lien à la limite que je verrais avec Icare c'est l'allusion au supplice de la plume et du goudron. Mais je n'en suis certain. A trop vouloir me rapprocher de la réponse je risquerais de m'y bruler les ailes.
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