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Anonyme
2/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai aimé ce texte à la facture (trop ?) classique; Qu'importe, les sentiments évoqués sont très forts, la musique est palpable, souveraine. Les derniers vers, impressionnants, résonnent tels une sentence !
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framato
3/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il n'y a pas d'erreur de prosodie, du moins je n'en ai pas relevée. Au niveau des sonorités j'ai été accroché par le é-en et le ou-au - qui ne sont pas des hiatus (forme féminine de mêlée et de joue oblige) mais que je ne trouve pas très heureux néanmoins.
J'aime beaucoup le jeu de sons comme par exemple asile /ou/lazaret /zoo - tandem/baptêmes J'ai bien aimé la parraine... en écho des baptêmes. C'est un texte agréable à lire (grâce aux assonances et allitérations nombreuses mais pas trop insistantes), le dernier vers claque bien et permet des lectures plurielles. |
Anonyme
3/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour ! Même si la prosodie classique est ici respectée, je n'arrive pas à entrer dans ce poème un peu trop énigmatique à mon goût...
Le vers 2 du premier quatrain : Assistent en tandem aux autres des baptèmes, me semble plutôt mal tourné, voire incompréhensible. Le "parraine" du premier vers du premier tercet n'est-il pas plutôt "marraine" ? Beaucoup de doutes de ma part ! Peut-être faut-il reprendre ce texte, ou, peut-être n'ai-je rien compris. |
wancyrs
6/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne connaissait pas ce mot, Métastase. Médiadico dit : Figure de rhétorique, qui consiste à rejeter sur le compte d'autrui les choses que l'orateur est forcé d'avouer. Je ressens quelque chose de fort que je n'arrive pas à expliciter. Je constate néanmoins la construction des vers qui commencent tous par la même lettre dans chaque strophe, sauf dans le dernier tercet. une autre forme de poésie classique ? ou bien une contrainte que l'auteur s'est donné ? j'aimerais bien que l'on m'explique.
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Anonyme
7/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime ce sonnet, mais je ne sais pas vraiment pourquoi! C'est un comble! Mais j'aime ce style assez "grotesque" et critique, cette violence et ce mépris intrinsèque. Bref, j'aime.
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Mr-Barnabooth
15/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème moderne et classique qui ne laisse pas indifférent ...
Une préférence pour les deux tercets ... Amitiés de Mr B. |
Anonyme
15/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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j'ai beau lire je ne vois vraiment pas de quoi ça parle, tomber dans la misère après une vie de luxe peut-être?
la forme: je n'y connais rien au classique, le rythme est fluide, aucune accroche à ma lecture. le ton est pessimiste mais je ne peux rien ajouter d'autre, je n'ai aucun ressenti, ça ne me parle pas, je trouve que le sujet précis n'est pas pointé du doigt, de qui on parle? je suis dans le flou. en revanche j'aime bien le ton donné du dernier vers: "Un nom à ton prénom et tu n'es plus personne" pour ce qu'il peut me renvoyer. |
Lechat
15/10/2010
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Bonjour David
Je vais essayer de résumer mes impressions de lecteur car j'ai un peu toujours les mêmes quand je lis tes textes. 1ere lecture : A part les deux jolis derniers vers, c'est vraiment n'importe quoi. Un ordinateur aurait pu écrire la même chose. 2ème lecture : Tiens, il y a des jeux sur les sonorités : asile // lazaret // zoo, zoo // aux autres ... Le 2ème vers est vraiment catastrophique. Parraine n'existe pas et "par haine" est forcé. 3ème lecture : Finalement, pris un à un chaque vers (à part le deuxième qui me reste toujours en travers de la gorge) présente une certaine musicalité voire une musicalité certaine par un jeu sur les sonorités internes qui se font echo. Différentes sonorités sont passées en revue comme on jouerait sur un clavier. Et tant pis, pour le sens qui reste superflu. Voila, je pourrais multiplier les lectures à l'infini pour y découvrir à chaque fois quelque chose de nouveau mais j'ai l'impression qu'il me manquera toujours une atmosphère globale et un fil conducteur pour y trouver mon compte. Désolé ! Mais à chaque nouveau texte je comprends un peu mieux la voie dans laquelle tu travailles. Donc tout espoir n'est pas perdu ! |
Nemo
15/10/2010
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N'oublions pas que nous sommes dans la rubrique "classique" et qu'il s'agit d'un sonnet, forme particulièrement exigeante.
Je voudrais souligner quelques entorses à la prosodie. Faut-il rappeler que le premier vers impose son rythme à tout le poème. Nous devrions donc avoir un sonnet en décasyllabes ! Cela mis à part : 1.- lazaret : le " t" ne se prononce pas et ne se lie jamais, il y a donc un hiatus; 2.- tandem à l'hémistiche du deuxième vers a une terminaison trop proche des rimes du 2ème et 3ème vers; 3.- Parraine ne semble là que pour former une rime riche avec "par haine", mais le dictionnaire de l'Académie ne le reconnaît pas (encore ?); 4.- l'hiatus formé avec une voyelle nasale est toléré, mais deux dans le même vers (le dernier) c'est un peu trop dans un sonnet. |
Niels
15/10/2010
a aimé ce texte
Bien
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Sur la forme, je suis partagé ; je suis admiratif de certains choix ("par", "par", "par" in T3 ; assonance en a in V1 ; allitération in V4), mais certaines rimes me paraissent forcées (j'aime bien "parraine", pour le coup, même si c'est discutable en "classique", mais "placard" et "trombone" me gênent) et je bloque effectivement sur "tandem - baptêmes". (O-zo-o ne m'amuse qu'à moitié, aussi...)
Sur le fond, j'ai compris la mort et une bonne dose de mysticisme - ou disons, de religion ; je suis peut-être parfaitement passé à côté. Je suis incompétent pour décoder en ce sens "Saint-Stanislas" (et même : je suis preneur d'une explication...). |
David
19/10/2010
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Merci à vous, quelques mots par ici
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shanne
21/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'aime beaucoup ce titre et la présentation de cette poésie, la vie est une plage, là, j'ai eu l'impression de voir des vagues qui prennent des êtres humains, bref, qui grignotent lentement. Asile ou Lazaret, au zoo des bâtards, ce vers me fait penser à la mise à l'écart avant de disparaitre sans trop de bruits ? confirmé par: Inutiles pour ceux qui ne sont plus les mêmes et ce dernier vers, ça prend à la gorge, Un nom à ton prénom et tu n'es plus personne... Bravo à vous |
Damy
25/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Connaissant la rigueur prosodique des sélections du site, je ne peux que me féliciter de lire un sonnet qui me semble personnellement en forme. Je n'y ai pas vu les entorses licencieuses soulignées plus haut, preuve qu'une confiance aveugle au rigorisme, aveugle.
Mais j'ai beaucoup de difficultés à pénétrer l'univers du Lazaret. Le titre m'incite bien sûr à penser que sont mis à l'honneur les laissés pour compte du système. Je trouve donc un peu dommage que le style trop métaphorique (?) trop contraint dans des images artificielles ne libère en moi les émotions qui semblent avoir été recherchées... Bien sûr mon ressenti obscur ne met en jeu que ma lumière blafarde où d'aucuns ont su lire des interprétations . |
Flupke
9/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour David,
Bon je me suis laissé séduire par le surréalisme des images et des enchainements. Les deux dernières lignes sont percutantes. J'ai bien apprécié la recherche au niveau des sonorités, assez plaisant. Bref bravo, car ce genre de sonnet n'est pas exactement ma tasse de thé, mais pourtant il m'a plu. Joli tour de force. Amicalement, Flupke |
nicotine
11/11/2010
a aimé ce texte
Pas
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Un tour de force ? A-A-A-A ; I-I-I-I ; A-A-A-A ; U-U. Ça chatouille à la fin.
Je trouve ce texte limite abscons avec me semble-t-il une syntaxe approximative et parfois erronée (2ème et 10ème vers). La lecture de ce texte me fut difficile et pénible à dire vrai. Bon courage pour la suite. |