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Anonyme
20/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Que tombe une hypothèque"...
J'aime ici le foisonnement, une sorte de richesse suave et fort agréable. |
Anonyme
20/7/2011
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Commentaire modéré
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CharlesVerbaud
31/10/2012
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Ce poème aussi ne me semble pas à sa place en "classique".
Pas de rime, pluie au deuxième vers avec un e non élidé, de même que statues au suivant, afflicti-on diérèse. Pour le fond, je n'ai rien compris. Comme l'un de vos autres poèmes, il faut reconstituer les vers aussi, n'est-ce pas ? Ainsi parlait la femme De Loth aux jours de pluie ; répondait l’héroïne Dans la salle sans bruit des statues de vivants Au joug perpétuel, à moins que l’on n’empoigne Ce que leurs doigts nus hèlent. etc... |
Eclisse
11/5/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour David,
Un peu pétrifiée à cette lecture car les émerveilleuses de ton poème m'évoquent les vitrines du Red Light District d'Amsterdam. Le cerbère du labyrinthe touche-t-il sa part de l'hypothèque? J'aime beaucoup "les mains aveugles" de la dernière strophe. Un mot pour expliquer les "nouveaux ignorants"? |
David
13/5/2014
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Quelques mots par ici
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