|
|
placebo
18/1/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Rha, j'ai perdu mon commentaire… désolé à l'auteur mais je vais faire plus court cette fois-ci.
Alors… il y a des vers entiers dont j'ai compris les mots mais pas le sens, la 2e moitié de la 1ere strophe et la 2e strophe en entier. Le champ lexical de la nourriture m'a un peu perturbé tout le long, je ne vois pas où l'auteur veut en venir. Pas compris non plus (est-ce le sens du 2e vers ?) la raison pour laquelle les trois premiers chiffres n'étaient pas repris. Je pense que la forme du sonnet n'est vraiment pas la plus adaptée pour ce texte, on a l'impression que vous essayez de caser plusieurs chiffres et de "développer" pendant les deux vers qui restent, ça ne m'inspire pas du tout. Quelque chose d'un peu plus libre pourrait être meilleur. Des mots sonnent bizarrement aussi. "sans ne plus faire un choix" -> le choix ? ça casse la prosodie donc il faut bien sur changer (un truc genre "sans plus devoir choisir entre la poule ou l'œuf"). La dernière strophe m'a le plus plu (avec le 4e vers, bien que je ne l'ai pas compris). L'atmosphère tranche avec le reste, plus reposante, calme. Peut-être laisser quelques indications en résumé, aussi ? 'fin, je dis ça pour les gens comme moi qui auraient du mal :p Bonne continuation, placebo |
Arielle
23/1/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Musique et prosodie impeccables, le sonnet déroule sa syntaxe parfaite en un vrai plaisir pour l'oreille.
Au delà, pour ce qui est du sens, je me sens comme la poule devant une fourchette : par quel bout vais-je la prendre ? Passent des nombres : "cette huître" (7-8 ?) "Ici, c'est" (6-7 ?) qui n'en sont peut-être pas. Passent des heures et sur cette tartine je sens bien que je vais me casser les dents. Je laisse à d'autres le soin d'en faire leur beurre. J'avoue quitter la table en restant sur ma faim avec l'impression qu'on a mis du sel dans mon café. |
Anonyme
11/2/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Le tic tac d'introduction fait penser à une horloge, soit 24 heures, en rapport avec le titre: nombre.
Mais vous ne décomptez que les chiffres (de 1 à 9)! Le sens de cette poésie me semble perturbée par la concordance des rimes. Ce qui donne des non-sens et des rimes "bruyantes, cassantes" (boeuf, carences). Le tout abouti à pas grand-chose. Il manque un développement de ces chiffres pour atteindre un nombre. |
Miguel
2/2/2012
a aimé ce texte
Un peu
|
Je ne puis me prononcer sur ce poème dont l'hermétisme me laisse complètement déconcerté ; il y a une multitude d'images ou expressions que je ne comprends pas. Peut-être suis-je sot, mais cette alliance d'huitre et de boeuf ne me parle pas vraiment. Je ne veux pas condamner un texte dont peut-être les subtilités m'échappent ; je m'abstiens de toute appréciation.
|
funambule
6/2/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Le tictac annonciateur ne m'aura point aidé à pénétrer l’hermétisme du texte. Comme les "voyelles" de Rimbaud qui ne me disent pas tout leurs secrets je prendrais le texte tel quel, sans me poser plus de questions, pour le jeu et la musicalité, les passages de mots amusés. J'ai l'intuition que ce texte vaut mieux que je que j'arrive à en voir... mais c'est ainsi!
|
widjet
6/2/2012
a aimé ce texte
Pas
|
Alors, qu'est ce que j'ai compris moi ?
Bon, la plus simple est bien le premier tercet avec le petit déjeuner. Quoi d'autre ? À quatre pas, tempête, où mon œil vaut son bœuf ...Parce que oeil de boeuf ? Cinq à perdre ses doigts Les 5 doigts de la main... Bien aimé le Alors qu’un nouveau jour a perdu l’opercule mais moi le "sans même faire un bruit" que je trouve disgracieux à l'oreille. Cette histoire de bus presque veuf, en revanche, me laisse perplexe. Un jour, promis, je lirai tout David et je me creuserai davatange la tête ! Widjet |
wancyrs
7/2/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Il y a quelque chose de fascinant dans ce texte, et je ne sais pourquoi je m'y suis penché... peut-être à cause du dilemme œuf poule... Ce dilemme où les scientifiques et les croyants s'affrontèrent dans les années de l'après Darwin et ses travaux sur l'évolution de l'espèce... Voilà ce qui m'a dirigé, avec le mot pénitences, vers une nuit de méditation.
D'abord j'ai cru que "nombre" faisait allusion à "nombres", quatrième livre de la Bible, mais le fait qu'il n'y ait pas d's m'a poussé à chercher ailleurs. Alors j'ai cherché un peu dans la numérologie, et je suis tombé sur ceci : "Cent vingt trois est une invitation au questionnement, une fable pour penser, rêver, imaginer, dépasser. Nous voudrions que cela soit joyeux et profond à la fois, faire sentir tout le plaisir que l'on peut prendre à se mettre en question, le vertige que cela peut procurer." Pièce de théâtre qui s'est joué à Reims en 2006, mais ce n'est pas la pièce de théâtre qui est important, mais le thème... 1,2,3 prélude à la méditation du prêtre, ces nombres qui font le vide et le conditionne pour ce qu'il s'apprête à faire ; et lorsqu'on sait que César de Bus était un prêtre, on peut bien comprendre ce bus qui est presque veuf... Dans le premier tercet je pense au miracle de la prière, de la pénitence, et tout comme Jésus multiplia le pain et les poissons après avoir prié, le pain mie devient tartine, beurre et fruit, du moins je pense. Je crois n'avoir pas tout compris, mais j'aime le mystère de ce texte et juste pour le 1h30 à cogiter sur le sens des mots, des chiffres, je suis un peu comblé... j'attends les explications, en espérant qu'elles viendront |
David
10/2/2012
|
Quelques mots par ici.
|
sousmarin
20/2/2012
|
Commentaire modéré
|
sousmarin
24/2/2012
a aimé ce texte
Pas
|
Déconcerter le lecteur peut être une bonne idée mais qui a ses limites…allégrement franchies ici.
Texte que ne me dit pas grand-chose et qui se contente de jouer sur des schémas de répétition (1, 2,3 …) ou des sonorités, qui certes facilitent la lecture mais dont le sens reste obscur, pour ne pas dire incompréhensible. Est-ce voulu ? Y-a-t-il un sens final ? En tout cas, un repas qui m’apparaît comme fort indigeste. |