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Anonyme
23/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le monde qui dort à tes pieds, ronger son frein, jeter comme
un gant... Lieux communs non? Sinon, "dans le gras du chagrin", "le traversin de combe amputé de mon corps", "Prières qui se fument"... Là je dis oui, original, perso, inspiré... J'ai aimé dans l'ensemble. |
nico84
24/4/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a vraiment des choses que je ne comprend pas, je n'ai peut être pas assez de pouvoir d'abstraction et pourtant je suis sensible à certaines expressions tout comme notrac.
Moi je dis oui mais je le trouve vraiment hermétique pour un lecteur aussi peu instruit que moi ! Ou peut être un manque de sensibilité, de receptivité ou de culture, je ne comprends pas certaines images. Par contre, j'aime la fin. |
Anonyme
24/4/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je le confesse humblement, je suis complètement dérouté par ce texte. C'est quoi un vent de sémaphore, ou traversin de come. Comme l'un des commentateurs j'aurai un faible pour la dernière strophe, pour moi la plus compréhensible
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mimich
5/5/2008
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Je serai assez d'accord avec les commentaires précédents;Certaines images, certaines alliances de mots restent pour moi obscures.
Ce que crois avoir compris, c'est que l'auteur nous décrit ses états d'ême au cours d'une nuit d'insomnie, il fume sans arrêt, l'esprit tourmenté par un mystérieux chagrin(tu meurs?) oui la dernières strophe me parle davantage:le jour se lève enfin et ce sera comme une délivrance.(j'aime bien reformuler le contenu d'un texte pour en prendre conscience) L'auteur peut-il nous éclairer? |