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rosebud
12/1/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Allons-y:
Eh bien tu l'as voulu. Ca t'a un drôle de goût, Pas vraiment vermoulu, Pas non plus Canigou, Pas un goût de griotte, Comment dire: un goût d'chiotte! Ca ne m'a tant déplu que ça - il faut assumer. Bon, je n'ai pas flairé l'histoire de la valise, ni des anchois qu'on vandalise d'ailleurs, mais, je ne sais pas pourquoi, ça m'a fait repenser à Aragon: "Et puis qu'on ait ou non vendu son chinchilla Son hermine ou son phoque Il vous reste du moins cet amer plaisir-là Vitupérer l'époque" |
Anonyme
26/1/2013
a aimé ce texte
Bien
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Pareil que le comm précédent le mien. Je trouve l'ensemble d'honnête facture poétique. Le contenu, une secousse, un reproche, un agacement se comprend, dans le sens où je dis : pour une fois que je comprends ce que David cherche à exprimer, dans le sens où ce n'est pas opaque. :)
Un poème plutôt bien écrit, un titre décalé et moqueur, une sorte de pamphlet d'aujourd'hui. |
martin
26/1/2013
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Commentaire modéré
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Anonyme
1/2/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'apprécie ce poème qui mêle quelques termes religieux à des ingrédients de cuisine et qui donne cette étrange mixture.
il y a surtout une sonorité particulière qui me plait vraiment dans ce texte un peu comme une formule incantatoire pour invoquer je ne sais trop quoi. Peut-être les esprits protecteurs de valises : ) Bref ! Si le sens m'échappe, le son lui me parle. |
Miguel
26/1/2013
a aimé ce texte
Bien
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Il y a toujours dans les poèmes David quelque chose qui m'échappe, mais je trouve à celui-ci un je ne sais quoi qui ne me laisse pas indiffèrent. Un peu comme dans la poèsie moderne où le plaisir est davantage dans le ressenti que dans une interprétation rationnelle du texte.
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brabant
26/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour David,
Finalement ELLE ne lui demande pas de faire sa valise. ça doit être un vieux couple où la vie ne manque pas de piquant. Et où chacun sait à quoi s'en tenir par rapport à l'autre. De l'eau dans le gaz, beaucoup de non-dits pour quelques dits mais un ciment béton, de celui qui emprisonne les pieds des culbutos, au féminin comme au masculin. Suivant le moment ça peut être amusant ou désastreux. Probablement la généralité des couples qui n'ont pas eu le courage de se séparer... Ben oui quoi... - Toi, plus Tarzan ! - Toi, plus Jane non plus ! Na ! p s : ok, pas trop de câpres, mais pas d'accord pour l'épeautre, c'est bon pour le transit... et les anchois, ben ils s'en foutent, pourraient même se passer des câpres. :))) TB parce que j'ai compris (Bon j'ai privilégié un point de vue ; il pourrait être autre, mais cela reviendrait au même ; une mécanique, plein de montres), plus facile en octosyllabes. :D |
Anonyme
30/1/2013
a aimé ce texte
Pas
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J'ai cru au début qu'il était une volonté d'écrire des octosyllabes avec un e à la césure et je me suis dit « Ah, une considération qui se fait rare — la césure de l'octo' — c'est mal fait, mais intéressant !", puis je me suis rendu compte que non, ces mots n'étaient pas faits de considérations intéressantes.
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David
6/2/2013
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Quelques mots par ici !
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