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Marquisard
20/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai du mal à cadrer la scene niveau historique, et j'ai flashplayer en rade, du coup je prends comme c'est, avec ce que j'ai.
Et une fois n'est pas coutume j'aime franchement bien. je ne sais pas trop pourquoi j'ai posée la voix de gainsbourg sur ces vers, ça passe plutôt bien. C'est bien imagé, la scene apparait clairement, sons et couleurs, le dernier tercet laisse une douce mélancolie nostalgique, c'est particulier, agréable. Un petit accrochage sur "Egosille à l'ozone". |
Anonyme
20/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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David, je suis encore une fois dépassée par l'excentricité de tes vers. C'est loin de l'anachronisme que rabâchent les pairs. Je remarque une recherche permanente de nouveauté, qui confère le style de l'auteur. Merci pour ce poème vivant et bien pensé.
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Chene
20/10/2009
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Bonjour David
Après quatre lectures, j'en suis toujours au même point. Je cherche le sujet réel du verbe du deuxième vers et à comprendre la forme particulière donnée à ce verbe. "Egosille à l'ozone". Il me semble bien, à moins que l'on me contredise, qu'il s'agit d'un verbe pronominal (s'égosiller). Je comprends bien le sens de "s'égosiller à l'ozone", mais il me semble que chimiquement c'est pas tout à fait ça: c'est l'hélium (présent dans l'héliox HelO2) qui donne une voix de Donald Duck... De là à faire un rapprochement entre "the buggles" (clairons ou buggles en orchestre symphonique ou jazz band) et le son nasillard lié à l'absorption d'un gaz inerte... Humm... Comme dirait le dernier des Moïcans, c'est remorqué par le scalp. Lol Ceci étant, outre un besoin de décompresser entre deux lectures (à cause de l'ozone (O3)), j'en suis encore à essayer de percer l'hermétisme de ton poème. J'ai bien saisi l'allusion à la chanson du groupe "The Buggles" qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, soit dit en passant. Quant à la forme de tes alexandrins, peu de chose à en dire : peut-être un hiatus au passage à "zébrée où" et un autre à "plaie amusée". Sinon je m'interroge sur le choix de la forme contrainte du sonnet pour un tel sujet... Pourquoi pas, mais ça fait un peu exercice de plongée en apnée ! En attendant, quelques explications bienvenues, je m'abstiens d'évaluer ton poème. Chene |
Lapsus
21/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai cherché à cerner quel haut fait d'armes inconnu avait pu se dérouler au Nouveau Mexique.
Et puis j'ai fini par comprendre que la scène était une transplantation de toutes les guerres de rue modernes où la technologie militaire se déploie sans pour autant que la peur lui cède. Le dernier quatrain est une réussite, avec ce sourire au béton et cette image foncièrement poétique qui fait se confronter la technologie : la sous-munition et sa force brute, la platine disque et son charme désuet. Autre temps, autre objet. |
Mr-Barnabooth
21/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bel exercice que cette manœuvre militaire décrite en un sonnet.
Quelques confusions pour mon esprit par endroit mais une qualité sonore indéniable alimente la salve de vers de ton poème. Amicalement Mr B. |
FIACRE
21/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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" Dieu que la guerre est jolie " s'exclamait Apollinaire. Ici, la " jonquille ", fleur de sang détache cette description de son aspect sordide.
Réussi dans la distance. |
Anonyme
21/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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De ce poème dont beaucoup de subtilités m'échappent, j'apprécie :
- le thème, - les excellents jeux de sonorités des "bunkers d'Albuquerque", "égosille à l'ozone", sergent qui gamberge" - et la jolie formule finale, qui embellit tant bien que mal le drame qui vient de se jouer. Ensuite, des questionnements : - qui égosille quoi à l'ozone ? - pourquoi un subit passé simple au début du dernier tercet, quand le reste est au présent ? - qui est ce "elle" : la torpille ? ou torpille n'est-il ici que le verbe ? Dans l'attente de quelques éclaircissements peut-être ... |
thea
24/10/2009
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plusieurs lectures n'ont rien donné j'ai du mal à rentrer dans votre poème...la forme ciselée des alexandrins me semble quelque peu chahutée. Bien sur de l'invention de l'imagination..une certaine créativité..et là je m'interroge encore sur ce qu'est la poésie..
je m'abstiens de noter un autre texte sans doute |
Anonyme
25/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un seul regret, une incohérence dès le premier vers, mais comment faire autrement pour respecter la rime : aux murs criblés d'impact... non impossible de cribler plusieurs murs avec un seul impact...
En dehors de cette faute MAJEURE, le reste est très très bon, quasi parfait pour la forme et le fond terriblement parlant... sauf que : au second vers encore cet ozone qui se prend à avoir un effet d'hélium... C'est vraiment dommage, car ça m'a empêché d'entrer dans ta poésie... |
David
1/11/2009
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Quelques mots ici.
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