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Michel64
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très beau poème.
Je trouve juste dommage que vous vous soyez donné cette contrainte de mots (rimant en "endre") au début de chaque paragraphe ainsi que le nombre de vers fixe. Ce qui est un peu paradoxal pour du libre. Ainsi j'aurais bien enlevé : "vers l’épicentre dermique" "des langues mortes des discours stériles" et "Prétendre ne rien prétendre" Par exemple sur le dernier paragraphe on aurait eu : "Cueillir délicatement les mots incertains du poème filtrés dans le charbon noir des rêves et l’élixir bleu du printemps " qui aurait suffit à mon bonheur. Désolé de chipoter un peu sur un texte qui tel quel me plait déjà beaucoup. Michel |
Marite
16/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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La régularité du nombre de vers dans chaque strophe m'a empêchée de percevoir ce qui est exprimé dans ce poème. Les vers libres permettent aux mots de suivre le cours des émotions, sans frein, à condition de ne pas abuser de découpages intempestifs pour respecter, artificiellement, une quelconque "forme" perçue comme étant poétique.
De belles expressions auraient méritées d'être mieux mises en valeur, en respectant inconditionnellement l'inspiration et la respiration. - guettant le battement d'ailes d’un souffle inattendu ... - cognant sur le tambour vide du monde ... - Prétendre ne rien prétendre cueillir délicatement les mots incertains du poème filtrés dans le charbon noir des rêves et l’élixir bleu du printemps Cette dernière strophe me plaît tout particulièrement. |
BeL13ver
29/4/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Ce poème, simple et beau, m'a enchanté. Il y a une vraie progression dans le récit, permise par le verbe "tendre" et ses composés qui enchantent l'oreille en introduisant chaque strophe. Ce texte évoque le silence de l'inspiration, et la tendresse (rappelé par l'usage des composés de tendre) des mots qui viennent à l'esprit. Le poète semble faire corps avec cette nature qu'il décrit comme un peintre la peint. La dernière strophe marque une rupture, avec ce participe passé qui remplace le participe présent placé à la fin du vers.
Bravo ! |
costic
29/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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beaucoup aimé l'idée d'être étendu sous un arbres et toutes les sensations qui en découlent. les images vivent et enracinent des perceptions très justes.
Un seul passage: prétendre ne rien prétendre... semble un peu artificiel à mon goût... Pour le reste invitation alléchante à prendre le temps de s'étaler délicatement sous les frondaisons. |
papipoete
30/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour DianeSrd,
Sous un arbre s'étendre, détendre, attendre, entendre, tendre, prétendre et écrire un poème de vers en liberté, inspirés par ces verbes que votre esprit engendre, suggère à votre plume ! NB une fois l'oeuvre créée, laissez reposer un instant et savourez l'extase procurée dans la 1ère strophe en particulier, et vagabondez au fil des phrases ! La suite de ces impressions est fort poétique, à part un infime bémol " le charbon noir des rêves " qui m'évoque davantage un cauchemar ! Un instant bien agréable sous votre arbre ! |
Anonyme
7/5/2017
a aimé ce texte
Pas
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"Mots pour un poème", les mots sont posés bien sûr, est-ce que cela fait pour autant "un poème", alchimie complexe et mystérieuse qui crée l'émotion, la vibration des sens, du sens, ici je reste sur ma faim.
Combien ai-je lu de poème sur ce sujet, très périlleux, peut-on expliqué inexplicable et surtout pourquoi le vouloir à tout prix ... Je suis à chaque fois déçu, et vous ne faites pas exception, mais sans doute que j'attends trop de ce genre de texte où l'on cherche à me donner un commencement d'explication. |
Provencao
11/9/2017
a aimé ce texte
Bien
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Quand les moments de solitude sous l'arbre prennent cette dimension, je me sens transportée.......et vous avez trouvé à mon sens les mots contenus et contenants.
Je n'ai pas perçu le souffle inattendu.......il me faut peut-être une deuxième lecture.... Merci pour l'instant |