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Poésie en prose
Dimou : Entre chien et loup
 Publié le 26/04/25  -  4 commentaires  -  1124 caractères  -  88 lectures    Autres textes du même auteur

Le beau et la bête.


Entre chien et loup



Le loup, dans un mirage d'interactions, se meut en la vesprée, esbroufeur de l'antimonde, créant incontinué, nourrissant les flous et les possibles, pléthores haut la canopée – cimes de lueur céleste aux variations enferées. Pieu ou prou dégueulant ses singeries, la bête se jète dans la gueule du tout, ouïe, crocs, griffes, ou quand le loup semblant grincer de l'arrière-tempe s'en va plonger dans l'entonnoir verdassé.

Le sang coule sous les troncs. Le chien pactise en la louveterie. Les racines lui volent dans la plume, le capital chapelle s’entame : la haine sur le feu – tambouille de la ville –, il sème ses mots fous, dépravé de caquet ! Charge du cabot, les ronces aux coussins, que son sien d'ogre de strideur ! – de digérer la scission, l'écho ; respirer, à même le choir.

Cueille où flaire ; hâbleur de chien : cuir aux synthétismes.

Écrire ou rester, au globe collectible.

Sur le grain taché d'encre-âge, cogite un perturbé chien et loup.


___________________________________________
Ce texte a été publié avec des mots protégés par PTS.


 
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   Lebarde   
17/4/2025
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
Une poésie en prose, je ne m'y attarde généralement pas, mais je suis ici interpellé et même interloqué par le désir de l'auteur(e) a vouloir à tous prix surprendre par un propos confus bourré de mots, à défaut d'être rares, employés et associés entre eux de façon si curieuse qu'il devient abscons et risible. (à moins que l'orthographe soit volontairement ou pas ignorée ou interprétée!)

"esbroufeur de l'antimonde, créant incontinué,"
"pléthores haut la canopée - cimes de lueur céleste aux variations enferées"? (bon je veux bien mais je ne comprends rien!)

" Pieu ou prou dégueulant ses singeries,"???
"grincer de l'arrière-tempe..."??
"...etc"

Certains s'y retrouveront peut être dans cet hermétisme pédant, pas moi, je suis désolé.

   papipoete   
26/4/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
bonjour Dimou
Quand un texte parait, c'est qu'il plut alors, je m'en viens dessous...car l'auteur attend qu'on en parle, en bien ou en mal c'est selon !
Vous déclariez ne plus craindre de refus, en voilà un texte dont...je ne sais quoi dire, même pas du mal car ses propos me semblent relever, d'une très haute instruction... dont je ne suis guère débordant.
NB je suis sûr pourtant, que ces lignes recevront des louanges, comme lorsque Champolion déchiffra les hiéroglyphes !
mais j'avoue préférer lire :
- il était une fois une jolie princesse qui...
ou bien
Maître corbeau sur l'if perché, attendait de ma mie l'appel...contre quelque pitance
PS je relis une dernière fois :
... créant incontinué ?
désolé cher poète !
Edit à 16h51, après qu'ayant passé la tondeuse, réfléchissant...
" le sang coule... il sème ses mots fous, dépravé de caquet... charge du cabot... les ronces aux coussins "
tiens, tiens, cette phrase n'évoquerait-elle pas une audition " dans un bureau ovale, sur un fauteuil de ronces, un innocent qu'on torture, un cabot de service qui jappe ? "
tiens, tiens ?
si je ne me trompe point, cela pourtant ne me sauta pas aux yeux, comme un fauve sur un agneau !
allez, je m'en vais modifier ma notation

   Cyrill   
26/4/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Ma journée sera vadimesque ou ne sera pas !
Fallait oser ce poème fait d’à-peu-près sémantiques et syntaxiques. Ça donne une scène saisissante et dynamique, en même temps que matière à cogiter. Néologismes et claquement sonores comme celle des mâchoires, quel est cet être hybride venant « respirer à même le choir » ? Certes pas un gars simple allant benoîtement cueillir la brimbelle ou la rose des prés et s’étourdir devant la primevère qui s’ouvre. Il y a dans ce portrait quelque chose de complexe et fascinant. Quelque chose en mutation, comme la poésie elle-même qui mute pour sortir de son carcan.
Voilà bien de la prose qui bouscule les habitudes. J’espère en lire encore de cette veine-là.
Fallait oser je dis, et en payer le prix...

   Cristale   
26/4/2025
Bonjour Dimou,

Si ici gît l'antique poésie sous le derrière des vents nouveaux, demain je m'en allerons postulater au couvoir des soeurs cristallines.
Mais, auquel cas il te resterait quelques fragments des boutures de ton vocabulaire, je te saurais gré de bien vouloir m'en céder un chouilla pour mon jardinet. Histoire de les, et de me, cultiver entre deux pater et trois avé.

Le loup du premier paragraphe me fait penser à un célèbre chef d'Etat...
Je finis par plaindre le chien... le faut-il ?

Sinon, autrement dit, j'ai compris que pouic, que tchi, que dalle quoi, de ta prose où je prends la pose avant de me faire la malle.

Pour ne pas avoir l'air de n'avoir l'air de rien sur un mode littéraire qui m'est inconnu du comprenoir, le doute devant profiter à l'auteur, note maxi, et note mini pour m'avoir laissée pantoise sur la touche.


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