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cervantes
8/11/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Cet Aladin voudrait être charmeur et épicurien. Je le ressens surtout paresseux et terre à terre dans certains mots choisis:
tant pis, filmant, Se pâme au soleil, quota.. La poésie que l'on devine derrière quelques vers Il a dans son Coran, glissés entre deux pages, Le cliché d'une femme et trois fils du fouta s'enlise à mon sens dans une description un peu plate. Pourtant nulle magie en ce divin nuage Au final lecture d'un moment heureux certes qui évoque plus le Club Méditerranée qu'un souvenir intense. |
Vincendix
9/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Heureux cet Aladin sur son tapis magique,
Vapotant son Coran aux parfums de chicha… Dommage pour le héros que cette vie de pacha ne dure qu’une semaine, mais c’est toujours bon à prendre et, pour le lecteur que je suis, c’est une opportunité de déguster sans modération un poème fait de mots pétillants et joyeux. |
Anonyme
22/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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Il faut que l'auteur reprenne son dernier quatrain qui devrait commencer par une rime féminine.
L'alternance est rompue. EDIT LE 22/11 : le quatrain n'est pas repris mais la ctégorie changée ce qui revient au même. Je n'arrive pas trop ce que l'auteur veut nous dire, peut-être rien, finalement. Les deux premiers quatrains me font penser au blues du biznessman mais ça ne va pas plus loin. |
pieralun
22/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup cette démystification d'Aladin: un tapis sans pouvoir, une lampe sans génie, des cigares et des nanas.....peut être au club med comme le suggère le premier commentateur.
Un symbole des contes des " mille et une nuits " sous l'emprise de la luxure de notre monde occidental. Celà dit, il était légèrement coquin le gamin au turban, et sans doute préfère-t-il la morsure de la plume de Diptyque aux balles d'une kalech lui reprochant son allégeance au grand satan. À mon ami Hananke qui trouve un petit peu lourd les 3 vers de chute, il ne peut imaginer l'érotisme torride que peuvent véhiculer les trois fils du fouta qui enserrait la taille de la nana qui imprime le cliché.... |
Anonyme
22/11/2015
a aimé ce texte
Pas
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Je trouve que cela manque de relief, progressivement on tombe dans la banalité, le personnage a perdu de sa superbe, et l'écrit devient ennuyeux, j'ai eu beau faire plusieurs lectures, il n'en est rien ressorti, de probant, cela se lit bien mais sans plus.
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Automnale
22/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Si je n’avais pris connaissance de l’incipit, peut-être aurais-je lu une invitation au voyage, une escapade comme je les apprécie, un dépaysement… Cependant, si je saisis bien, il s’agit aussi de la description d’un poète charmeur qui, mieux que personne, possède l’art et la manière de caresser les mots. A l’image de la lampe d’Aladin, des Mille et une Nuits, ses textes ont le pouvoir de transporter ses lecteurs.
Puisque je ne demandais pas mieux que de m’envoler, j’ai suivi le poète avec d’autant plus de plaisir qu’il m’a emmenée au bord de rivages inconnus. Comme lui, j’ai étendu mon tapis, me suis exposée au soleil le temps d’une semaine, me suis dévêtue et fait brûler ma peau. Le soir, je l’ai vu, heureux comme un pacha, fumant un Havane et contemplant une volute. A ses côtés, une lampe, vapotant une tisane, libérait une brume aux parfums de chicha. Aucune magie en ce divin nuage. Pourtant, lorsqu’il frottait sa plume, apparaissaient une histoire, les contours d’une image, des mots tristes ou joyeux. Et j’ai imaginé dans son Coran, glissés entre deux pages, le cliché d’une femme et trois fils du fouta qu’elle avait à la taille. Dans ce poème « Mon Aladin », j’ai l’impression - vraie ou fausse - que l’auteur nous raconte un joli souvenir, celui d’un être cher (un père, peut-être ?, mais pas forcément…) qui avait - qui l’a peut-être encore - le don d’écrire et, de ce fait, le pouvoir d’émerveiller son entourage. J’ai aimé rencontré les mots « chicha » (pipe à eau, sorte de narguilé) et « fouta « (vêtement que les femmes, arabes peut-être, portent autour des reins). En revanche, je me demande si nous ne pourrions pas changer les mots «climatique » et « quota » (un peu décalés dans un contexte de magie). En conclusion, ce vagabondage, en Asie ou au Moyen-Orient, m’a réchauffée et fait rêver... J’y ai même croisé - c’est dire ! - la princesse Badroulboudour… Et j'ai cru apercevoir des regards d'enfants... Lors de la première publication de l’auteur sur Oniris, j’avais détecté, entre les lignes, une certaine richesse de vie, de style, une promesse littéraire, de l'originalité, de la drôlerie... Eh bien, j’éprouve le même sentiment avec cette seconde publication. Certains auteurs, dont on ignore tout, nous donnent très envie de les connaître davantage. Avec Diptyque, c’est exactement le cas. |
Anonyme
27/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup apprécié ce poème qui m'a fait rêver en me transportant dans un cadre délicieusement reposant .Existe-t-il un endroit aussi calme et agréable qui soit malgré tout à l'abri du tumulte des touristes ? Dans ce cas, au lieu d'une semaine, et à la place de Aladin, j'aurais prolongé mon séjour à l'infini... Ce poème m'a vraiment fait rêver !
Bravo Diptyque. |