|
|
papipoete
22/3/2017
a aimé ce texte
Bien
|
classique
pomme du jardin d'Eden à laquelle succomba Eve la " pécheresse ", tu pousses toujours, tentes et attires femmes et hommes vers l'amour, non point péché ! NB et si la génèse choisît l'homme plutôt que la femme cédant à la tentation ? des fautes prosodiques dans votre texte ; 3e vers " rouges " le E sonore à la césure 4e vers " tu/es " hiatus 5e vers 13 pieds 9e vers " sur ta peau/ont " hiatus J'ai un doute, mais le E muet au pluriel ( immortelles/Ô ) reste-t-il muet ? papipoète |
Donaldo75
24/3/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour,
Il y a un classicisme un peu forcé dans ce sonnet à la pomme. La forme est respectée, la lecture est agréable, on imagine bien un gros barbu déclamer ses vers devant une classe fatiguée d'une heure de cours consacré à la poésie classique. Ne boudons pas notre plaisir. Merci pour le cours de diction, Donaldo |
archibald
29/3/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
Un texte qui ne pourra pas passer en classique. Il y a des problèmes de coupes aux hémistiches : immortelle-s Ô, rouge-s en, intense-s à, palpable-s au, rouges/criant.
Les rimes masculines sont trop pauvres également (il faudrait la même consonne d'appui). Les références à Dionysos, Aphrodites, Hélènes (avec un "S" ?), Pâris et Merlin m'échappent, mais c'est peut-être ma culture qui est prise en défaut. L'idée est bonne, mais il faudrait à mon sens retravailler ce texte pour atteindre au néo-classique que ce poème réclamerait. |
TheDreamer
16/4/2017
|
Hélas ! De nombreuses fautes interdisent de classer ce poème en catégorie classique :
- dès le premier vers, "Ô courbes immortelles..." : la césure est cassée par l'emploi du pluriel qui ajoute une syllabe au vers le rendant surnuméraire. - au 3e vers l'on retrouve la même erreur : "De nos lèvres rouges..." avec une césure brisée et toujours avec l'emploi du pluriel. Il est impératif d'éviter à tout prix l'emploi du pluriel sur les rimes féminines à la césure, car, celui-ci empêche l'élision. - au 4e vers l'on trouve un hiatus, interdit dans la forme classique : "TU/ES l'écho fruité...". - au 5e vers : "Aux fantasmes intenses...", toujours la même erreur de non-respect de la césure. Apparemment la règle concernant celle-ci n'est pas assimilée, pas plus que les autres règles de la prosodie classique. - au 6e vers : "Aux délices palpables...", encore la même erreur consistant à ne pas compter une rime plurielle et la même sanction : un vers surnuméraire de 13 syllabes. - au 8e vers, encore et toujours le même souci de non-respect de la césure et la même problématique : un vers de 13 syllabes. Bon, je m'arrête ici. Presque tous les vers comportant au moins une faute, l'auteur doit revoir intégralement sa copie et bien comprendre que la poésie classique s'apprend et ne peut être assimilée s'en s'investir un minimum dans l'apprentissage de la prosodie. Édition - Je ne laisse aucune note pour ne pas trop pénaliser l'auteur de ce texte qui l'avait placé avant publication dans la catégorie "classique". |
Anonyme
16/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Un soupçon d'érotisme dans ce sonnet allusif au sempiternel péché (!!) de EVE.
"je te rends hommage, en noble alexandrin Car ivresse, plaisir, orgasme, volupté Au fond ne sont qu'amour ; non le fruit du péché." voilà bien une conclusion objective. |
Anonyme
16/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Bien que ce sonnet ne respecte aucune règle en matière de prosodie classique, je l'aime bien pour l'atmosphère qu'il dégage, mais sans plus. Un peu trop de références qui n'ont pas grand-chose à voir entre elles : Dionysos, Aphrodites, Hélènes, Pâris et Merlin (qui ne sont pas de la même époque, et de loin). "En noble alexandrin", voilà ce qu'il aurait fallu.
|
madawaza
22/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Dolybela
Pas du tout compétent dans les règles de la prosodie classique, je retiens le sujet et son ambiance : "Ivresse, plaisir, orgasme et volupté ne sont qu'amour... Tous ces mots qui me parlent. A+ |