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Anonyme
2/1/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour,
Votre texte reflète parfaitement les conversations sms. On ne comprend rien . Des bribes de mots. Comment voulez vous que des lecteurs étrangers à votre vie s'y intéressent? |
madawaza
4/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'aime beaucoup ce rythme SNCF qui m'emmène de gare en gare.
Pas de parole, que des pensées, que des émotions. Les images et les mots sont intenses jusqu'au terminus. Grand bravo. |
Mauron
8/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très bien dans l'ensemble, ça "file" comme un train. Seul bémol selon moi, seule incohérence, le "et": "Et un peu de toi est parti avec lui" qui produit un hiatus déplaisant, rend le rythme bancal et rajoute une copule dans un poème où c'est le "style paratactique" qui domine (j'aime assez ce mot de "paratactique", ou "parataxique" qui évoque un peu lui aussi les sons des roues d'un train sur les aiguillages ou les jonctions des rails)...
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widjet
20/1/2016
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Style télégraphique ou comment passer une émotion à la moissonneuse batteuse. Mais c'est un parti pris d'auteur (pour donner un rythme de train justement). Soit.
Je suis pas forcément contre le genre hachuré, mais là c'est trop pour moi, j'ai besoin de temps à autre d'une ou deux jolies phrases (avec un verbe) et les seules qui pointent ici sont assez convenues. Je passe mon tour et n'évalue pas. W |
Anonyme
20/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je trouve originale la façon dont ce texte est écrit. Le style texto, mais qui nous fait suivre l'auteur au fil de ses pensées.
Cet " Ange noir, regard vert ", éprouvé par une récente rupture ; sa réponse hâtive ", et le paysage qui défile. Des choses de la vie, exprimées dans un langage haché. J'aime beaucoup. |
Ascar
20/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai bien aimé tant sur le fonds que sur la forme et ça m'a fait repenser à un vieux texte que j'avais écrit dont voici le début:
Des regards qui se noient Dans la marée humaine Des valises que l’on traine Comme on traine sa peine Mon cœur qui se débat Et ta main dans la mienne C’est l’été qui s’en va Dans ce train avec toi Je t’enverrai des sms, quai des promesses, Je t’aimerai toujours, quai de l’amour, On se serre, on s’étreint, quai des chagrins La vie reprend son cours, quai des retours. merci |
Anonyme
20/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Votre poème me rappelle un souvenir – c’est déjà un bon signe – d’un jour très lointain où j’avais laissé une personne que j’aimais beaucoup pour partir en train à l’autre bout du pays, et tout le long du voyage et encore bien après – jusqu’à la première lettre reçue (il n'y avait pas de portables comme aujourd’hui donc pas de texto…) qui avait agi comme un baume apaisant mais aussi prolongeant cette douce mélancolie de l’absence (quand on sait, quand on croit, qu’elle ne durera pas) – mes pensées allaient vers elle, un peu comme vos mots, par petits “bonds” (ce n'est pas le bon mot, mais je ne trouve pas l'autre). Tout ça pour dire que vous avez trouvé des images et un rythme très intéressant et juste – il me semble – pour traduire (donner à sentir, à voir) ce cheminement des pensées dans la durée de la séparation, jusqu’à ce qu’au terminus…il faille bien descendre du train, et se faisant regarder où l’on marche, donc moins penser à l'autre, pour un moment. À vous relire C. |
Robot
20/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème veut nous entraîner sur deux rythmes. Celui du train et celui de la pensée . Le train file sur sa voie sans heurt tandis que la pensée va au gré des réflexions du narrateur. Le train court et la pensée va et vient se mettant en décalage avec la progression de la machine puis revient à la réalité. En fin de course, rien n'a changé.
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Anonyme
20/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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C'est tout à fait cela, des images fugaces, de sentiments mélangés, l'endroit est propice à ce genre d'état, il nous transporte dans tous les sens du terme, lieu des retrouvailles et des séparations, bonheur et malheur cohabite, tout cela dans l'indifférence générale, machine infernale;
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Vincendix
20/1/2016
a aimé ce texte
Pas ↓
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Je vois un train" courir" avec ses petites jambes d’acier, je vois un oiseau bleu dans un ciel rouge, une main froide sur un piano blanc, une lune perçant un ciel trop noir, un ange noir au regard vert, une neige immaculée (pourquoi pas noire aussi ?), un soleil impitoyable comme l’univers de Dallas, un reste de lumière, une taille trop fine, un sommeil trop rare…. Ouf ! Deux minutes d’arrêt…
Un rythme infernal comme la machine… enfin ! Terminus ! |
Anonyme
20/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Merci, lou.
Comme Elena j'adore la fin, la machine qui s'accélère, Hurlements.... .... Terminus Mais aussi le début "textos sans fin" Le rythme est très marqué, et pas seulement grâce aux vers qui vont de plus en plus vite. Les sonorités jouent aussi un rôle dans cette rapidité folle du train. Si quelqu'un ne comprend pas ce que c'est que d'écrire à N, il faudrait lui faire lire ce poème. Encore bravo Ton premier fan, Isma |
Francis
21/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai aimé ce parallélisme entre les soubresauts du train et le cœur qui s'emballe ou entre les paysages qui défilent et les images emportées dans la mémoire. J'ai aimé ce crescendo qui emmène le lecteur jusqu'aux mots violents, jusqu'aux hurlements.
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Lulu
20/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
je découvre ce texte avec un peu de retard, mais mieux vaut tard que jamais ! Je l'ai beaucoup aimé. Je me suis imaginé ce voyage à la fois réel et en pensées. J'ai particulièrement aimé la simplicité de votre écriture. On est proche des textos... tout y est concis, mais cela n'exclue pas de dire l'essentiel d'un réveil (il me semble...) en douceur. Ce que je n'ai pas trop aimé, ce sont les répétitions qui me semblent inutiles "Le train file"... Une fois suffisait, je pense. Bonne continuation. |
Donaldo75
22/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Dolybela,
Par curiosité, je suis allé lire les commentaires, vite fait, histoire de voir comment ce poème a été reçu à l'époque. Deux écoles s'affrontent, c'est le moins qu'on puisse dire. Pour ma part, j'ai trouvé ce poème vivant, bien ancré dans son époque, justement, et en aucun cas choquant par la brièveté de ses vers, la sonorité télégraphique, bien au contraire. J'ai imaginé le poète en train de regarder par la fenêtre la nature et les bâtiments défiler, avec comme métronome le claquement des traverses au passage du train. Et la poésie est bien présente, n'en déplaise à celles et ceux qui n'aiment pas la forme adoptée. Bravo ! Donaldo |