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Miguel
8/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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La grande absente ici est la grammaire. Or la grammaire c'est le sens. Mais ce texte est assez acerbe pour qu'il en ressorte une intention de l'auteur, intention injurieuse pour les croyants (délire, histoire de fous, à dormir debout, etc ; dans ce cas Louis Pasteur était fou ; et des fous comme l'Abbé Pierre ou Mère Teresa, le monde en manque plutôt ; mais on peut préférer la sagesse d'un athée comme Staline). Et le grand soir, est-ce celui de la Révolution ? Dans ce cas c'est une autre sorte de foi.
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Vincent
17/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour,
Ce qui est a mourir de rire c'est votre texte La dimension spirituelle ne peut que faire grandir il faut avoir un égo surdimensionné pour se permettre d'injurier gratuitement en parlant d'histoire de fous je vous pleins, pour ma part se poser la question sur l'univers et sa création est plutôt une forme d'intelligence et je respecte profondément ceux qui ont la foi |
Dugenou
17/3/2023
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Bonjour dom1,
Plutot qu'une poésie, je trouve votre texte à la limite du pamphlet... avec, comme fond, un message du style 'ne prenons pas nos messies pour des lanternes', message qui, je pense, réussira à trouver son public (dont je ne suis pas). En attendant, l'injure faite aux croyants est manifeste. Bof bof... |
papipoete
17/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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bonjour dom1
Des vers un peu trop libres, qui se contentent de dire, comme sur une affiche " ce soir, est mis en vente une croyance ; un tuto pour croire sans réfléchir, des histoires à dormir debout " NB je suis mal à l'aise pour trouver ce " manifeste " guère poétique, et digérer ces paroles contre ce que l'on appelle la FOI La foi en quelques chose, en quelqu'un ; nous ne sommes plus au temps du clergé, où il fallait haïr le païen ! Aujourd'hui, on croit ou pas, on va à Lourdes pour la Vierge ou l'endroit tout bonnement ; on pleure devant Notre Dame en flamme, croyant ou athée cela ne nuit à quiconque... |
Corto
17/3/2023
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Pour une fois je parlerai plus de la forme que du fond.
Sur le fond en effet que vous preniez plaisir à rire "de ses histoires de fous", peu me chaut vu que ce débat restera tant que l'humain pensera. Mais côté rédactionnel je trouve que vous avez bâclé votre sujet. Peu de formulations précises, peu de logiques compréhensibles, peu de finesse dans l'humour, peu de construction poétique. A mon avis pour parler de l'esprit, saint ou pas saint, mieux vaudrait remettre l'ouvrage sur le métier. |
fanny
17/3/2023
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Il faut reconnaître que vous ne faîtes pas dans la dentelle, et en vers irréguliers en plus.
La recherche spirituelle personnelle ne me semble pas remise en cause, s'y exprime plutôt un certain anticléricalisme et il faut reconnaitre que les représentants religieux ont parfois des comportements très éloignés des auréoles célestes dont ils nous rabattent les oreilles (celles des femmes doublement rabattues). Le texte me semble dans la thématique actuelle de la dualité de l'être humain et souligne le fait que malgré les aversions des modèles religieux imposés, les questionnements restent entiers et qu'à l'approche de la dernière heure, l'espoir d'un haut-delà est bien présent, quelle qu'en soit l'histoire. |
Marite
17/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Toujours assez étrange de trouver, dans les adeptes fanatiques de la tolérance autant d'intolérance envers qui ne pense pas aveuglément comme eux ... Je n'ai rien trouvé de poétique dans cet écrit qui aurait davantage eu sa place dans la catégorie "réflexion/dissertation" en étant présenté en prose. Le dernier "vers" me rend curieuse de trouver un autre écrit de l'auteur ayant pour thème " le grand soir" évoqué ...
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poldutor
17/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour dom1
Et vlan, encore un coup contre les croyants...seuls les mécréants sont honorables...du charabia dans la façon de démolir "ceux qui croient au Ciel" J'aimerai bien vous voir "le jour du grand soir" ! poldutor |
senglar
17/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour DOM1,
De par son vers court et son allure dépouillée ce bref poème à des façons de Rutebeuf. Brièveté qui rime par ailleurs avec impact. On y dénonce la foi du charbonnier qui s'en tient aux images du catéchisme. Il y a du Brassens restituant dans certains vers : ''qui donne mets à dire, … qui donne grès à rire, …' pour exemples. La voie ainsi tracée n'est pas forcément aisée qui peut apparaître caricaturale. Je ne trouve néanmoins pas forcément inutile ce genre de rappel à l'heure des communautarismes. Je me souviens du récit que le curé de mon village m'a fait pré-adolescent de ce soldat romain qui tendit une éponge imbibée de vinaigre au Christ crucifié qui réclamait à boire comme un exemple d'excès de cruauté alors que le vinaigre allongé d'eau était la boisson ordinaire du légionnaire en campagne. Le geste était donc compassionnel et non d'une cruauté surajoutée. C'est ce genre de manipulation-là qui est dénoncée ici où l'on marchande une vie éternelle pour récompense d'une vie d'obéissance au rite catholique. Senglar l'Apostat constant postant |
Donaldo75
17/3/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Je sens que je vais encore être orthogonal à la moyenne des commentaires que j’ai lus sur ce poème. Pour ma part, je l’ai trouvé fort car rythmé, impactant à la lecture, fluide, j’en passe et des plus musicaux. Je peux le lire à l’envers j’ai la même impression de réussite, de poésie instantanée comme le permettrait la chanson. Et ça, c'est carrément rafraichissant.
Bravo ! |
Ascar
17/3/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Je devine que vous faites exprès d'écrire ainsi. En passant vos textes et vos commentaires en revue se dessine un style, une appropriation singulière des mots ce qui n'est pas pour me déplaire. Si la forme déroute dans un premier temps, on peut vite retrouver le chemin du sens avec un peu d'effort. Ce pamphlet a pour but de donner votre position sur la croyance chrétienne et, peut-être, par extrapolation sur la croyance en générale. Il n'y a pas de quoi fouetter un chat.
Déjà, sur les 10 000 religions que l'humanité aurait inventé, on peut se dire de façon tout à fait cartésienne, que 9999 ont tort en supposant que cet esprit supérieur existe vraiment. Et pourquoi pas ? Ce qui me gène dans la religion, c'est la part insignifiante laissée aux femmes. Du coup ça me fait penser que c'est une religion d'hommes faites par les hommes pour le pouvoir des hommes. Quand on fustige les talibans (et à raison) , on n'oublie que nous avons brûlé Jeanne d'Arc et tant d'autres femmes (inquisition). Je ne crois pas que l'athéisme soit une forme de croyance, c'est comme dire que le vide est une forme de matière... Sur le fonds, je trouve le propos bien rendu. Sans être exceptionnel, c'est un texte qui se tient bien. "Une religion dite "universelle" n'est qu'une secte qui a réussi commercialement parlant." François Cavanna - 1923-2014 - Lettre ouverte aux culs-bénits, 1994 |
Atom
17/3/2023
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Une énième production qui se fout des Cathos... pourquoi pas ?
Mais j'ai l'impression de lire ici encore la même rengaine, les mêmes clichés... dont on a fait le tour et le demi tour. |
David
17/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour Dom1,
J'aime bien les poèmes ponctués, ici, il a une forme de longue phrase rythmée par ses virgules. Je pourrais imaginer des endroits où placer plutôt un point ou un point virgule, mais le choix qui est fait est rapide, un martèlement. Je pense au film "le tambour" et je me dis que cette ponctuation est là pour ajouter à l'énervement. L'émotion recherchée - la poésie en œuvre - ça serait l'énervement au niveau de la forme mais également du fond. "L'abbé... (va)... rejoindre l'évéché" Galopin, va ! j'ai envie d'écrire pour commenter simplement ce passage. Plus loin c'est plus acerbe avec "fans du saint esprit" puisque la bible, c'est le choix d'un dieu unique contre les "idolâtres", ni veau d'or, ni Patrick Bruel. je le dis ainsi pour souligner la nature ironique de qualifier de fans des croyants. "ses histoire de fous", ça serait un compliment dans une discussion d'ados ou de jeunes gens, un gage d'étonnements, de surprises, de plaisirs. Ce que je trouve un peu triste, c'est que la maladie mentale n'est pas un manque de vertu, c'est sans doute par une terreur plus profonde que le sujet du poème que c'est employé comme invective. Un autre passage me semble joliment poétique aussi, c'est : "pour prier une histoire, à dormir tout debout" Je comprend que ça évoque le christ crucifié, et en effet, on dirait qu'il dort... debout. Il faut un regard détaché, naïf, poétique, pour le remarquer. Quand on voit un christ crucifié, on est sensé savoir à peu près l'histoire, et surtout qu'il est mort, donc pour l'imaginer dormir, il faut imaginer le voir hors du contexte. C'est quasiment impossible. Il y aurait des tribus en Amazonie qui n'ont jamais vu de blancs, encore aujourd'hui, alors peut-être eux le pourraient, ou un poète. La fin sur "le grand soir", je me demande si ce n'est pas encore un suprême humour. Nulle part dans la bible, ni traduite, ni en grec, ni en araméen, l'apocalypse et/ou le retour du christ n'est qualifié de "grand soir". C'est le vocabulaire de la révolution communiste !!! Comme c'est encore une longue histoire, je veux juste commenter que ce "grand soir", c'est la victoire, ou la dernière bataille, contre le capitalisme. Pas seulement contre "l'abbé", néanmoins considéré comme un dealer de "l'opium du peuple", pour paraphraser la célèbre métaphore. Donc un poème qui rejoue cette algarade entre le communisme et la chrétienté, avec un bout de talent pour l'énervement dans le fond comme dans la forme. |
Mokhtar
19/3/2023
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22, v’là Voltaire. Rangez vos pourpres tabliers. Sale temps pour la calotte.
Énième diatribe contre la chrétienté. Avec certificat de bas thème. Combat ringard contre des troupes en déliquescence. Par ceux qui font une telle fixette contre la croix qu’ils adorent tirer sur une ambulance. C’est d’un facile…Est-ce avec les doctrines haineuses des véhéments du « contre » et de la riposte que l’on bâtit des cathédrales ? D’ailleurs, l’exercice est sans risque. Point de bombes, de poignards ou de kalaches chez les mémés à chapelet. Et les caricatures du pape n’ont jamais mis en péril le moindre cheveu des gars de Charlie. Aucun risque pour les M. Propre et leur poudre arrêt-curés, ni pour les catéchistes de l’athéisme. Fichu pays ! Fichu, le pays ! On lui arrache ses racines pour faire place nette pour les rhizomes des... L’histoire est balayée d’un revers de main méprisant. La terre est disponible. Mais Dieu a horreur du vide. Les « Candide » anesthésiés par leurs tocs et leurs phobies d’arrière-garde vont pouvoir se réveiller dans les contrées chères à « Zadig ». Et à domicile s’il vous plait. Pourquoi dans ce pays ne voit-on du Christianisme que la Foi ? Et l’histoire ? Et la culture ? Et le patrimoine ? Et la morale… Bon. J’ai tort de m’énerver : en fait, la calotte qui me préoccupe le plus, c’est la calotte glaciaire. Dont la disparition est certainement un pas de plus vers "le grand soir" de la vie terrestre. EDIT du 19/03 : Trop concentré sur le fonds, j'ai, à tort, omis la forme. J'aime beaucoup, en vers libre, cette façon irrégulière de gérer les rimes qui, mine de rien, donne de l'harmonie au style. |
Provencao
18/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour dom1,
J'ai lu plusieurs fois votre écrit et derrière ces vers s'ébauche un appui de la vérité. Pour que cette vérité soit indemne, il faut à mon sens, contre l'intransigeance, accepter les croyances hétéroclites, les affres et les confusions, tout en se désavouant des croyances outrées: réflexions qui mènent à des obstacles : la difficulté d'agir, la stérilité d'être dans l'échange (à chacun sa vérité, alors pourquoi être dans l'élaboration ?) , l'abdication de toute aspiration de conscience (si rien n'est certain ou que tout se gratifie , autant exister sans s'inquiéter de ce qui est authenticité ou pas).... Au plaisir de vous lire Cordialement |
Edgard
18/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour Dom1,
Le thème abordé est casse-gueule,bien sûr, mais la liberté de chacun de s'exprimer existe. "Croire", peu à peu, a tendance à remplacer "réfléchir, tolérer, argumenter", c'est vrai. La bigoterie ce n'est pas la spiritualité, la manipulation ce n'est pas la religion, le sectarisme, ce n'est pas le partage de la foi. Va pour la liberté d'opinion. Mais je pense qu'ici, ni le langage, ni la grammaire ne sont au niveau du pamphlet. Je ne ressens pas beaucoup de force poétique dans ce texte. C'est brut, aride, sans hauteur. C'est ça qui me chagrine et pourquoi je n'entre pas dans votre "poème". La volonté de faire passer un message ne peut se dispenser de la forme, et la forme ne me semble pas être au rendez-vous. Dommage. A la prochaine. |
Yannblev
22/3/2023
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Bonjour Dom.1,
Depuis Pascal et même avant, la question de la foi et de la raison est souvent sur la table. Pourquoi pas sur l’écritoire du poète ? Attention quand même pour « bouffer du curé et de ses ouailles » il faut peut-être quand même bien préparer sa cuisine poétique sinon on risque de provoquer des indigestions. Personnellement, comme lecteur j’ai un estomac assez solide mais je pense quand même que votre poésie gagnerait beaucoup en choisissant mieux ses ingrédients et épices, en les accommodant et les mitonnant plus délicatement voire en les piquant d’un brin d’humour. Car enfin ce thème n’est pas négligeable et mérite sans doute d’être évoqué sans complaisance mais aussi sans intolérance. User du dogme pour conspuer un dogme c’est toujours du dogmatisme. Merci de votre message. |