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newman
9/6/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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bonjour,
chez elle ,je sens que beaucoup de choses sont inaccessibles,et surtout l'amour. mais tout cela est exprimé par l'auteur par une écriture confuse,rédigée un peu trop facilement: chez toi c'est tout pareil et oui c'est tout pareil:répétition inutile chez toi pourtant j'y suis bien et bien oui j'y suis bien:encore inutile dommage,car je sentais un certain rythme. |
Anonyme
11/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime beaucoup ce genre de poème qui va chercher dans la sincérité ses accents, dans la simplicité ses émotions au point de pouvoir être comparé - peut-être- à une lettre.
Ici en poésie contemporaine, on pourrait cependant l'imaginer en très douce chanson. Je trouve juste les 1er et 2ième vers de la 4ième strophe un peu hors "champs" : on aurait pu s'attendre à ce que le rythme installé continue (chez toi il y a ... et + préposition). On a, du coup, l'impression que l'auteur(e) est à bout de souffle. Le dernier quatrain, en revanche, donne le ton d'une "finale" avec cette brisure dans le contenu : on passe du descriptif à l'actif : j'y suis bien, je peux rire, je voudrais y mourir). L'avant-dernière strophe reste dans le descriptif mais d'un autre "ordre" que les 3 premières. Un tantinet dommage... Toute l'expression de la difficulté d'apprendre à vivre ensemble... sous le même toit... |
Robot
14/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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Curieuse opposition entre ces quatre premiers quatrains aux conclusions entre le moche et le sinistre et le dernier qui me paraît relever du masochisme ou de l'héroïsme. Non pas que la célébration du "pas beau" me gêne, je suis surtout surpris par le paradoxe.
Voudrais pas y vivre "chez toi" pas très romantique... mais bon chacun ses goûts. On se demande quelle morbidité peut amener le narrateur à rire, en tout cas s'il y a de quoi, on ne le voit pas dans les vers. Voudrais même pas y mourir entre barbelés et macchabées. J'ai cependant trouvé la composition plutôt bien menée. Les rimes presque exclusivement masculines accentuent l'impression de désolation mais engendrent aussi une certaine monotonie de la lecture. |
margueritec
24/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Contenu intéressant par le contraste entre un monde violent, glauque et pourtant une parcelle d'amour qui illumine ce désastre.
Je trouve dommage l'anaphore "chez toi" qui alourdit le poème. J'aurais conservé la première et les deux dernières. Quelques rimes faciles : soleil/sommeil et rire/mourir. |
LeopoldPartisan
25/6/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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pas mal du tout ce "chez toi". Aussi contemporain qu'intemporel.
Il a une extrème simplicité dans l'écriture pour aller à cet essentiel qui malgré tous les malaises, tous les démons du passé, du présent et de l'avenir, c'est là que le narrateur se sent bien. Rien à ajouter sinon que c'est aussi magnifique que magique... |
Pimpette
1/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une grande simplicité d'écriture qui n'est pas sans charme....cela confère une modernité sympathique à un sujet classique...ça aussi c'est sympathique!
On devine pourtant qe tout n'est pas 'rose' chez toi mais c'est écrit avec beaucoup de retenue: "Chez toi il y a des plages Et sur elles des outrages Des chemins entrelacés Des galets et de lourds macchabées" C'est uniquement l'amour, comme toujours, qui fait qu'on est bien... |
Lulu
1/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup la musicalité de ce poème, nettement perceptible dès la première lecture. Cela est rendu possible par l'anaphore et le système des rimes, même si ces dernières ne sont pas riches. Cela suffit, avec le contenu, à en faire une bien belle chanson.
Le thème est triste, mais comme vous le dîtes si bien, il n'y a pas que la guerre. Il y a aussi la vie et le plaisir de vivre, parce que la vie doit l'emporter. Cela me fait penser à "La vie est un miracle", d'Emir Kusturica ; un film d'il y a une bien bonne dizaine d'années. J'aime beaucoup ce "Chez toi". Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Anonyme
1/7/2014
a aimé ce texte
Bien
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Salut c'est TOTO
L'auteur veut-il dire qu'il est bien sur la Terre ? TOTO s'interroge sur ce texte ? Des lourds macchabées ?? TOTO n'arrive pas à rentrer dans l'esprit de l'auteur, il attend avec impatience des explications à tous ses points d'interrogations. |
Bleuterre
1/7/2014
a aimé ce texte
Bien
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J'aime le rythme et le contraste qu'il y a dans ce texte, le paysage de la violence paraît clairement même si un rayon d'amour vient le sauver. Cela pourrait faire une chanson grâce à la répétition du chez toi et la simplicité du texte, simplicité qui n'est qu'apparente, puisque le contraste donne matière à la complexité et à l'ambivalence mort/vie.
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Francis
1/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce n'est pas le paradis mais c'est chez toi ou chez nous alors les derniers vers laissent transpirer la sensibilité et l'envie de s'amarrer au rivage de lourds galets. J'ai pensé à cette chanson qui disait: " chez nous ça sent la soupe et le bébé qui dort..."
J'aime : " des ongles fendus ou cassés, de lourds macchabées". |
JeanMarc
26/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Très contemporain, très humain, très émouvant....
J'aime cette écriture qui s'agite avec le stylo, une écriture parfois de malaise, de moments compliqués à vivre,... Chacun y trouve ce qu'il veut et c'est pour moi cela de la poésie, laisser au lecteur la possibilité d'y mettre des images, des suites improbables peut-être probables... La poésie permet de se retrouver, ou de s'éloigner mais elle doit permettre de passer de bons moments comme je viens de la faire Bravo |
papipoete
7/12/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour dom1
Chez toi, c'est pas la joie ; il y a des plaies contre le mur, le plafond qui pleure de tristes échos, j'avance dans ton couloir comme dans une tranchée, et ces cris de souffrance qui résonnent dans la maisonnée entière... que du malheur collé partout et pourtant ici, je suis bien chez toi. NB une demeure hantée, où des pages de guerre écrivent partout, des lignes de sang, des lignes de front où l'on mourrait dans les barbelés, empêtrés dans des jambes des bras...les balles qui sifflent aux oreilles et les joues qui se rappellent les gifles d'enfant ! Un foyer ardent où le héros a tant de baume à passer sur ce pauvre être, sur ce coeur à chérir au point d'y pouvoir mourir. la dernière strophe, cri de l'espoir est mon passage préféré ! Résolument contemporain ce texte égrène ses douloureuses assonances. |